Origine de la vie et panspermie : les lichens sont durs à tuer ! Les premiers organismes vivants sont-ils apparus sur Terre ou ailleurs dans l’espace ? Dans la seconde hypothèse, la vie pourrait se répandre de systèmes planétaires en systèmes planétaires dans la Voie lactée . Cette théorie de la panspermie vient de recevoir un soutien avec la preuve apportée par l’ Esa que des lichens peuvent supporter plus d’un an d’exposition aux conditions de l’espace.
Dès le XIX e siècle, Darwin avait émis une hypothèse sur l’ origine de la vie dans une lettre en ces termes : « Il est souvent affirmé que les conditions permettant la première production d'un être vivant sont tout aussi bien réunies actuellement qu'elles ne l'ont jamais été dans le passé. . Mais si (et oh ! Mais cette petite mare chaude devait-elle nécessairement se trouver sur Terre ? Remarquablement, le premier à avoir proposé un tel moyen n’était autre que lord Kelvin en 1871. Le boson de Higgs en trois minutes. 10 ruptures technologiques prophétisées par le MIT. 01net. le 28/04/14 à 19h05 Puces neuromorphiques, énergie éolienne ou impression 3D...
Les années passent et les technologies distinguées par le MIT Technology Review parviennent encore à nous épater. Quant à leurs champs d’application, ils se multiplient rapidement. En atteste le palmarès 2014, qui réserve quelques surprises. Des drones pour l’agriculture de précision Nous vous parlions de l'agriculture de précision lors du Salon de l’agriculture, et à l’occasion d’une interview du fondateur de la société française Delta Drone.
En plus des caméras, la dernière génération de drones civils embarque une flopée de capteurs minuscules : accéléromètre, magnétomètre, gyroscope, GPS, capteur de pression, etc. Grâce aux données récoltées, l’agriculteur pourra repérer le moindre insecte sur une feuille ou identifier précisément les parcelles qui ont besoin d’eau et donc doser très finement pesticides et irrigation. . © Delta Drone Lancer de drone dans un champ. Des smartphones ultrasécurisés © Darpa. Le transhumanisme: ce qui est possible n’est pas toujours souhaitable. Sommaire Qu’est que le transhumanisme ?
Passage de l’homme au posthumain. État de l’art : aujourd’hui ou en est on ? Qui sont les acteurs du transhumanisme? Innovation très controversée : extrait des arguments des partis. Nicolas Gisin : L'impensable hasard. Nicolas Gisin est connu du grand public pour être un des pionniers de la téléportation quantique fondée sur le principe de non-localité dont il a contribué à démontrer le bien-fondé.
A la fin 2012, Nicolas Gisin a publié un bel ouvrage, L’impensable hasard [1] où il expose la notion de corrélation non-locale, de « vrai hasard » et où il explique fort clairement le sens des inégalités de Bell et l’expérience d’Alain Aspect qui permit de les violer. L’ensemble de l’ouvrage explore le monde fou de la non-localité, c’est-à-dire de la corrélation des événements qu’un déplacement continu ne saurait expliquer. En clair, cela signifie que la physique quantique affirme que des objets éloignés dans l’espace peuvent pourtant former un tout cohérent.
A : Les corrélations Appelons maintenant x le choix (et non le résultat) d’Alice et y celui de Bob, avec la valeur 0 pour la gauche et 1 pour la droite. Voyager dans le temps, ou l’exploration des paradoxes… S’il est un thème cher et récurrent de la science-fiction, c’est bien le fameux voyage dans le temps.
Or, plus casse-gueule, on fait pas, tellement en soi le thème contient des germes de paradoxes qu’il est de bon ton pour un auteur (et un lecteur/auditeur/spectateur averti) de repérer, au risque sinon de s’emmêler les pinceaux, et de multiplier les incohérences. La principale difficulté du sujet, c’est que le voyage dans le temps n’existe pas du tout : contrairement au voyage spatial par exemple, qui n’est que le prolongement d’un principe qu’on appréhende parfaitement même si la réalisation technique reste encore à faire, le « temps » reste un concept mal défini : pour les physiciens, c’est plus un outil de mesure, une « dimension », qu’un réel substrat – mais pour un auteur de SF qui se propose d’y « voyager », il est bien obligé de considérer une sorte de structure, ou de texture, (spatio-)temporelle.
Trinh Xuan Thuan : Désir d'infini. Professeur d’astrophysique à l’université de Virginie, défenseur inlassable du principe anthropique, Trinh Xuan Thuan fait partie des noms que nous associons à la science et à la vulgarisation sérieuse.
Après La mélodie secrète (Fayard, 1988) ou encore Le chaos et l’harmonie (Fayard, 1998), c’est à un thème qui lui est cher, l’infini, qu’il a consacré son dernier ouvrage paru chez son éditeur historique, Fayard, Désir d’infini [1], faisant écho à L’infini dans la paume de la main publié avec Matthieu Ricard (Nil éditions, 2000). Le ciel est-il tombé sur une lune de Saturne