Résultats de la recherche. Kino-Québec. / / tout-petits Publications Tout-petits Pour recevoir une version imprimée des documents ou publications Kino-Québec, faites votre demande à madame Rébecca Rouleau. Il est important que vous mentionniez le titre exact des documents. Les documents portant la mention DND ne sont plus disponibles en format papier. Jouer aux exercices!
En tant que nouveau parent, faire régulièrement de l’activité physique peut représenter un défi. Vous trouverez dans ce document des exemples d’activités qui joignent l’utile à l’agréable, car elles vous offrent la possibilité de bouger tout en jouant avec votre enfant. Amusez-vous! S'exercer en s'amusant avec ses petits-enfants! Les jeux et exercices proposés dans cet article permettront aux grands-parents d’améliorer leur condition physique tout en resserrant les liens familiaux avec leurs petits-enfants. S’exercer en s’amusant avec ses petits-enfants! S’exercer en s’amusant avec ses petits-enfants! Tout-petits. Portrait: Tristan Naud, professeur d'éducation physique au primaire | CAROLINE RODGERS | Éducation et enseignement. Pourquoi avez-vous choisi ce métier? J'adore les sports depuis que je suis petit et j'aime les enfants. Être professeur d'éducation physique me permet d'allier les deux. J'aime transmettre ma passion des sports aux enfants.
Aujourd'hui les jeunes bougent moins et des problèmes d'obésité. L'éducation physique est un bon moyen de combattre ce problème. En quoi consiste votre travail? J'éduque les enfants à adopter un mode de vie sain et actif et à développer leur motricité au moyen d'activités physiques variées. Qu'avez-vous fait comme études?
Un baccalauréat en éducation physique et santé à l'UQAM. Quel a été votre cheminement professionnel? Après mon cégep, j'ai travaillé trois ans dans une banque mais je n'aimais pas vraiment cela alors je suis retourné aux études et j'ai commencé un premier baccalauréat en géophysique. Décrivez une journée typique de travail. Quel est votre plus grand défi? Qu'aimez-vous le plus dans ce travail? Qu'est-ce que les gens ignorent de votre métier? Emissions | Écoles à l'examen | Télé-Québec. À l’école Lucien-Pagé, une des plus pauvres de Montréal, le taux de décrochage dépasse les 50 %. Pour renverser la vapeur, on y a créé des programmes destinés à garder les jeunes sur les bancs de l’école : à travers la pratique soutenue de la danse ou du basket, on arrive à motiver et encadrer des jeunes qui pourraient autrement tout lâcher.
Alder Pierre, lui-même issu du programme de basket, est revenu enseigner à Lucien-Pagé pour poursuivre un travail qui fait toute une différence. À Montréal, au coin des rues St-Laurent et Jarry, revêtant des allures de bunker, l’école secondaire Lucien-Pagé abrite trois kilomètres de corridors dans lesquels déambulent 1 400 étudiants originaires des quatre coins du monde. La multiethnicité est un défi et le secteur est défavorisé. Garder les jeunes à l’école et les mener à la réussite est difficile. Voir plus Alder Pierre Professeur d’éducation physique École Lucien-Pagé Montréal.
Untitled. Pour signer cette pétition, vous devez compléter 3 étapes : Étape 1 : remplissez le formulaire sous le texte de la pétition et envoyez-le (vous devez accepter les conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition avant d’envoyer le formulaire). Étape 2 : consultez votre boîte de courriels et ouvrez le message envoyé par l’Assemblée. Étape 3 : dans ce message, cliquez sur le lien vous permettant d’enregistrer votre signature. Vous ne pouvez signer la même pétition qu’une seule fois.
Texte de la pétition CONSIDÉRANT QUE le bilan de santé des jeunes ne cesse de s’alourdir depuis plusieurs années et que des coûts importants en soins de santé sont directement liés à l’inactivité physique des citoyens; CONSIDÉRANT QUE le Programme de formation de l’école québécoise vise la formation de la personne et que l’acquisition de saines habitudes de vie devrait y occuper une place majeure; Conditions à respecter pour pouvoir signer la pétition Date limite pour signer : 8 juillet 2013. Opération WIXX - Un mouvement pour faire bouger les préados.
Les jeunes de 9 à 13 ans ne sont pas suffisamment actifs | Isabelle Pion | Estrie et Régions. (SHERBROOKE) Québec en forme a lancé partout dans la province la campagne WIXX, ciblant les jeunes de 9 à 13 ans. L'objectif : éviter qu'ils ne cessent d'être actifs, puisqu'on observe vers l'âge de 13 ans et 14 ans une chute importante de l'activité physique, explique Marilie Laferté, directrice de la campagne WIXX chez Québec en Forme. « Les jeunes sont de plus en plus inactifs.
Avec notre mode de vie, on s'adonne à beaucoup de loisirs passifs : les jeux vidéo, l'internet, la lecture...» De plus, ajoute Mme Laferté, c'est aussi vers cet âge que les jeunes cessent de pratiquer des sports organisés. « Dès neuf ans, à cet âge, les jeunes ne sont pas sédentaires, mais ils commencent à être insuffisamment actifs; ils n'atteignent pas les 60 minutes d'activité physique recommandées par jour.»
Selon des données de Québec en forme, le « plus haut taux d'abandon sportif est observé vers l'âge de 11-12 ans «. Certains ne font que changer de sport, tandis que d'autres cessent complètement. Pour davantage d'éducation physique à l'école | Claudie Archambault | Actualités. Avec le mouvement Pierre Lavoie qui prend de l'ampleur, l'arrivée du mois de mai rappelle l'importance de bouger dans la plupart des écoles primaires québécoises. Cependant, le reste de l'année, le temps accordé à l'activité physique semble insuffisant. Même si la responsabilité d'initier les jeunes au sport ne relève pas seulement du système scolaire, il n'en demeure pas moins que celui-ci constitue un environnement favorable afin de faire valoir les saines habitudes de vie.
Yves Potvin, enseignant d'éducation physique à l'école Le Tandem à Laval, défend à nouveau cette cause. Une pétition a été lancée au début du mois d'avril par M. Potvin sur le site web de l'Assemblée nationale et on y compte déjà près de6000 signatures. Cela fait 27 ans qu'il enseigne et 13 ans qu'il martèle l'importance de l'activité physique. Au préscolaire, où aucune règle est prescrite en lien à l'activité physique, l'enseignant exigerait minimalement une période de trente minutes par semaine. Activité physique chez les enfants | Le monde selon Mathieu. Concours École active 2013. Une saine alimentation et la pratique régulière d’activités physiques sont indispensables à l’épanouissement des jeunes. De telles habitudes ont une influence positive sur leur croissance, leur bien-être et leurs capacités d’apprentissage.
En effet, l’activité physique et la saine alimentation favorisent la concentration, un facteur lié à la réussite scolaire. L’adoption et le maintien de saines habitudes de vie, la santé ainsi que la réussite scolaire constituent des défis importants et font l’objet d’un consensus social. Le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport s’adresse donc au milieu scolaire avec sa Politique-cadre pour une saine alimentation et un mode de vie physiquement actif . Afin d’augmenter, chez les jeunes, les occasions d’être physiquement actifs et de favoriser l’adoption de saines habitudes alimentaires en milieu scolaire, Kino-Québec et ses partenaires invitent le milieu scolaire à soumettre un projet au .
Publications. Le présent rapport met en lumière et précise la problématique, toujours présente, de la pratique d’activités physiques et sportives chez les adolescentes (12-17 ans), soulevée dans le dernier avis du comité scientifique de Kino-Québec : L’activité physique, le sport et les jeunes – Savoir et agir. On y propose aux différents acteurs concernés, y compris les parents, une variété de stratégies et de mesures répondant à leurs champs d’intérêt. Ce rapport offre, en premier lieu, un portrait actuel de la pratique d’activités physiques et sportives chez les adolescentes. Il présente et explique, en deuxième lieu, les facteurs déterminants, tant individuels qu’environnementaux, qui peuvent affecter cette pratique. En complément de ces réflexions, le document fait état, sous forme de pistes d’action et de recommandations, des principales mesures suggérées dans la littérature sur le sujet.
Activité physique: l'école a des comptes à rendre | Louis-Simon Gauthier et La Presse Canadienne | Actualités. Avec la modernisation de la politique nationale du sport et du loisir, qui figure parmi les priorités du gouvernement péquiste, les experts ont bon espoir de parvenir à faire changer les choses. En octobre dernier, la première ministre Pauline Marois proposait de faire du Québec l'une des nations les plus en forme du monde d'ici 10 ans. Un récent sondage nous apprenait également que 96 % des Québécois souhaitaient qu'on offre aux jeunes plus d'occasions de faire de l'activité physique à l'école. «Quand on sait que seulement 7 % des jeunes canadiens sont suffisamment actifs, on réalise à quel point il est urgent d'agir», souligne Suzie Pellerin, directrice de la Coalition Poids. Les cinq recommandations Le ministère de l'Éducation ne doit plus suggérer un temps minimal pour les cours d'éducation physique, mais bien en imposer un certain nombre, ce qui n'est pas le cas en ce moment.
L'étude propose ensuite d'encadrer les récréations dans des cours d'écoles mieux aménagées. Accueil - Qu?bec en Forme. L'école doit faire bouger les jeunes davantage, estime un comité d'experts | Pierre Saint-Arnaud | Santé. C'est la conclusion à laquelle arrive un comité d'experts réunis par la Coalition québécoise sur la problématique du poids, qui formule cinq recommandations pour permettre aux jeunes d'être plus actifs à l'école. Au premier chef, les experts estiment que le ministère de l'Éducation ne doit plus suggérer un temps minimal consacré à l'éducation physique, mais bien l'imposer et le rendre obligatoire.
Les experts recommandent également de favoriser les activités physiques parascolaires et à l'interne, d'intégrer l'activité physique à d'autres programmes d'enseignement, d'organiser des récréations actives dans les cours d'école et de favoriser les déplacements actifs entre le domicile et l'école. La Coalition poids rappelle que la première ministre du Québec, Pauline Marois, proposait dans son discours inaugural de viser l'objectif que la population québécoise devienne une des nations les plus en forme du monde d'ici 10 ans.
L'exercice est bénéfique pour les enfants hyperactifs. Un programme d'activité physique peut améliorer significativement les comportements et les fonctions cognitives des enfants aux prises avec un trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH). Claudia Verret, diplômée en kinésiologie de l'Université de Montréal et professeure à l'Université du Québec à Montréal a démontré qu'un programme d'exercice de 10 semaines avait un effet positif sur les interactions sociales d'enfants atteints du TDAH.
«Trois midis par semaine, nous réunissions un groupe de 10 enfants qui, pendant 45 minutes, s'adonnaient à un sport collectif comme le basketball ou le soccer», explique-t-elle. L'exercice physique pratiqué devait permettre d'atteindre une fréquence cardiaque de moyenne à élevée. Ces enfants étaient ensuite comparés à 11 sujets souffrant aussi du TDAH, mais qui ne participaient pas aux activités. Canadian Olympic School Program. Le Programme scolaire olympique canadien (PSOC), présenté par le Groupe financier RBC, a connu une croissance exponentielle au mois de janvier, ayant dépassé la barre des 50 000 membres. Au cours des trois dernières années, le nombre de membres a plus que triplé pour arriver au niveau actuel, avec plus de 52 500 enseignants, directeurs d’école et élèves passionnés des Jeux olympiques et de l’équipe olympique canadienne. « La croissance a de loin dépassé nos rêves les plus fous, » a déclaré Bruce Deacon, gestionnaire, Éducation du Comité olympique canadien. « Lorsque nous avons changé le PSOC, pour passer d’un contenu basé sur le curriculum à un contenu basé sur les valeurs en 2007, nous savions que cela entraînerait la croissance du programme, mais nous ne savions pas que ce serait aussi extraordinaire. » Depuis 1988, le PSOC fournit aux enseignants canadiens des ressources sur le thème des Jeux olympiques.
La trousse scolaire Rouge! Trouver le juste milieu... étudiant | Kevin Johnston | ZONE Sport + études. L'encadrement fait foi de tout pendant les années de formation de nos enfants. Et c'est justement ce qui caractérise les programmes sport-études. Dans l'ancien temps, si vous me permettez l'expression, un jeune passait ses journées en classe et devait se taper des entraînements en soirée. Avec en plus la mission de trouver le temps de faire ses «devoirs». Et disputer ses matchs un peu n'importe quand. Pas une mince affaire.
Un programme sport-études est une fichue de belle invention qui fait disparaître bien des maux de tête. Dans un ratio approximatif de 70 % pédagogique/30 % sportif, un étudiant athlète n'a pas de soucis. Mais qui dit sport-études ne dit pas nécessairement sport étudiant même si bien souvent les deux se croisent. Ce qui fait plaisir, c'est de prendre note de la diversité des programmes offerts au secondaire. «L'effet Rouge et Or» Il n'y a pas de doute que le sport scolaire gagne en popularité. Sachez cependant que ça ne date pas d'hier, le hockey à l'école. Un peu, beaucoup, passionnément | Luc Fournier | ZONE Sport + études. 1 Cours d'éducation physique Toutes les écoles sont tenues de livrer le programme d'éducation physique et à la santé à tous leurs élèves. 2 Activités parascolaires La majorité des écoles secondaires offrent des activités sportives parascolaires, qui se tiennent le midi ou après les cours.
Dans certaines écoles, les activités se déroulent exclusivement à l'intérieur des murs de l'établissement. 3 Programmes de concentration D'autres écoles en offrent un peu plus, par des programmes de concentration. Certains programmes de concentration ajouteront aussi des entraînements parascolaires, pour maximiser le temps consacré au sport. 4 Sport-études Enfin, il y a le programme sport-études, reconnu par le ministère de l'Éducation. Le volet sport est sous la responsabilité des fédérations sportives, une condition sine qua non pour qu'une école puisse appeler son programme sport-études. Plusieurs écoles ayant des programmes sport-études offrent aussi des programmes de concentration en sport.
Des exigences précises pour l'école et l'élève | Luc Fournier | ZONE Sport + études. «Il y a des examens qui sont faits de plusieurs natures pour être certain que les deux parties [l'école et la fédération sportive] remplissent leurs obligations pour que l'encadrement permette véritablement de concilier la réussite scolaire et la réussite sportive», explique Albert Marier, à la direction du sport, du loisir et de l'activité physique du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport (MELS). «Le Ministère regarde si une école est capable d'adapter son horaire pédagogique en le faisant passer de 100 % du temps en classe à 70 % du temps en classe...» Car la même matière doit être parcourue, mais dans moins de temps. Les écoles doivent aussi démontrer qu'au besoin, elles peuvent adopter des mesures pédagogiques particulières afin d'encadrer les élèves en difficulté. Bien encadrés Pour l'admission des jeunes athlètes, l'école vérifiera notamment les résultats scolaires et leur niveau d'autonomie.
Disciplines en croissance fulgurante | Luc Fournier | ZONE Sport + études. RSEQ Québec-Chaudière-Appalaches: plus que du sport étudiant | Jean-François Tardif | ZONE Sport + études. RSEQ Québec-Chaudière-Appalaches: des origines assez lointaines | Jean-François Tardif | ZONE Sport + études. Centre d'information. Mythes et réalités de la nutrition sportive | Culture physique. Ma Classe Web. Union sportive de l’enseignement du premier degré (USEP)