Le bonheur dans le monde. Sommes-nous faits pour être heureux ? Journées du Bonheur au Travail. 20932. HR V1 web. Le « hygge », la recette danoise du bonheur. S’enrouler dans un plaid et discuter entre amis devant un feu de cheminée… Avec près de dix livres publiés sur le sujet, le mode de vie scandinave s’exporte mieux que jamais.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Vicky Chahine Un dîner entre amis, un chocolat chaud siroté au coin du feu, un après-midi pluvieux passé sur Netflix, ces petits moments qui procurent bien-être et confiance portent un nom au Danemark : le hygge (prononcez « hugueu »). Une « philosophie de vie » plutôt efficace, puisque la nation scandinave caracole depuis plusieurs années en tête des pays les plus heureux du monde, selon les mesures du World Happiness Report, publié par l’ONU. Le bonheur se nicherait donc dans une paire de grosses chaussettes en laine ? Stratégie de survie hivernale En France, point de hygge. Lire aussi : Aarhus, un balcon sur la mer « Il ne s’agit pas d’ignorer les problèmes mais de prendre soin de soi pour avoir la force de les affronter.» Quelle est la recette du bonheur ? Une étude américaine livre la réponse.
Image d'illustration (Crédit : stokpic.com) Peut-on scanner intégralement la vie d'un individu ?
Scruter ses choix professionnels, son parcours amoureux, sa condition physique, de son adolescence jusqu’à ses vieilles années ? Le psychiatre américain et professeur Robert Waldinger l’a fait. La France, 32e pays le plus heureux du monde. VIDÉO - Une étude internationale sur le bonheur publiée ce mercredi classe les pays en fonction du PIB par habitant, de l'espérance de vie, ou encore de l'absence de corruption. Et le pays le plus heureux du monde est... le Danemark. Numéro un en 2013, ce pays avait perdu cet honneur au profit de la Suisse en 2015, mais retrouve le titre cette année à en croire un rapport très sérieux sur le Bonheur mondial (World Happiness Report), publié ce mercredi. Cette étude, comme celle publiée tous les ans par l'Onu, essaie de quantifier le bonheur des populations afin de construire des sociétés plus saines et efficaces. 126 pays ont été classés en fonction de différents critères: le PIB par habitant, les soutiens sociaux, l'espérance de vie, la liberté sociale, la générosité et l'absence de corruption.
La science du bonheur (au travail) Le changement n’a parfois besoin que d’une idée, d’un être ou d’une décision.
Donc est-il venu le moment de faire le bien après avoir bien fait dans les corporations ? Focalisons-nous sur les compétences qui font du sens à notre existence Jusqu’au bien-être au travail dans la reconnaissance de notre performance. Les innovations entrainent des rêves et des évolutions ; des révolutions. La recherche de solutions incarnée dans sa mise en application. L’implication des actionnaires, l’inspiration des managers, La direction est visionnaire quand la mission est planétaire.
Robert Waldinger. Returning from my three-week, silent retreat, I’m reminded why I value silence and am learning to lean into a quieter life.
Detached from the busyness of everyday life, at the Boundless Way Zen Temple in Worcester, MA, I was able to re-center myself on what’s most important—what actually makes life rich and fulfilling. This happened effortlessly, just by creating space and stillness. Our culture does not value silence. We prioritize busyness. We fill our lives with endless tasks. Here are just a few ways that making time and space for quiet can help us live life more fully. 1) Quiet helps clarify what’s most important—now and tomorrow. When we lead busy, frantic lives, we find that the foundational aspects of life (like our relationships and our health) give way to concern about what’s not important—things like success and wealth. Sitting still helps us get re-acquainted with our priorities. Go longer. Sitting still, doing nothing, allows the space to focus again on what matters.
Vie agréable, bonne vie et vie remplie de sens d'après Martin Seligman (2002) - Fabrique SpinozaFabrique Spinoza. D’après la psychologie positive de Martin Seligman, une vie heureuse est une vie à la fois agréable, bonne et remplie de sens.
La vie agréable se réfère à l’expérience d’une prépondérance de moments plaisants sur les moments désagréables. La bonne vie désigne l’engagement de la personne dans des activités principales qui correspondent à ses capacités, où le sujet est pleinement immergé, absorbé dans des pratiques. Il peut parfois vivre le « flux », expérience mentale positive d’absorption complète dans une tache. La bonne vie est reliée aux concepts d’efficacité ou d’effectivité personnelles, c’est à dire la capacité de l’individu à accomplir une tâche lui-même.
Survivre un hiver au Danemark / Scandinavia Dreaming. Le froid pointe le bout de son nez à Copenhague.
Pour tout sudiste, l’idée de passer l’hiver dans la noirceur polaire provoque une crise d’angoisse. Plus de peur que de mal : en fait on s’habitue à tout ! Mais ce n’est pas sans aide…Nous ne sommes pas des vampires, et quand on a grandi au sud de l’Europe, il y a des réflexes qu’on a pas (encore). Voici quelques conseils, que j’ai entendus ou que je pratique : pour l’instant ça marche ! 3 PILIERS DU BONHEUR SELON MARTIN SELIGMAN. Martin Seligman psychologue, directeur du Centre de recherche en psychologie positive à l’université de Pennsylvanie, définit la psychologie positive comme le domaine étudiant ce qui donne du sens à sa vie.
La psychologie positive est révolutionnaire puisqu’elle s’intéresse à ce qui rend les gens heureux, aux conditions favorisant la voie de notre plein épanouissement ! Martin Seligman et ses collègues ont ainsi élargi ce domaine de recherche en considérant la poursuite du plaisir et de sens comme étant différentes orientations (chemins) vers le bonheur qui peuvent être adoptées simultanément par une personne.
Il y ajoute une troisième orientation qui est celle de la poursuite de l’engagement.