Coronavirus : quand des avions volent à vide pour conserver leurs créneaux au Royaume-Uni. Selon l’Association internationale du transport aérien, citée par CNN, les compagnies aériennes pourraient perdre 113 milliards de dollars à cause de la crise liée au coronavirus.
Et à en croire The Times et Business Insider, certaines tentent de réduire les frais, quitte à s’attirer les foudres des écologistes. Depuis le début de l’épidémie, des compagnies aériennes britanniques auraient décidé de faire voler des avions à vide afin de ne pas perdre leurs créneaux de vols. Selon les lois européennes, elles doivent en effet effectuer 80% de leurs vols si elles ne veulent pas perdre ces créneaux.
Business Insider pointe du doigt les "milliers de litres de carburants" qui ont été utilisés pour faire voler ces avions "fantômes". >> Lire aussi - Coronavirus : le pic de l'épidémie est-il proche ? Mais cette situation fait grincer des dents au sommet de l’Etat. >> Lire aussi - Coronavirus : Air France "en situation d'urgence économique" Le Barca dépasse la barre du milliard d'euros de chiffre d'affaires, première mondiale. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter Football Cela a été annoncé jeudi lors de l’Assemblée générale des socios: le Barca prévoit un chiffre d’affaires, dès cette saison, de 1,047 milliard d’euros et deviendrait ainsi le premier club sportif de l’histoire à dépasser cette barre fatidique des neuf zéros.
Gaspillage alimentaire : comment le marché de Rungis tente de diminuer le gâchis. Casino : comment Naouri a joué et perdu avec son empire. Agriculture : la fraise française, plus chère, mais plébiscitée. À Marseille (Bouches-du-Rhône), les habitants privilégient les fraises françaises par rapport à leurs cousines espagnoles, avec une vraie différence de prix, à variété égale.
Pour les Espagnoles, la barquette de 500 grammes d'Andalousie coûte 1,99 €, contre 5,50 € pour celles de Carpentras (Vaucluse). "Le coût de production d'une fraise française ne sera jamais le même qu'une fraise espagnole tout simplement parce que les coûts sont différents. Il y a le coût de la main-d'œuvre qui est incomparable, il y a tout le volet de la lutte raisonnée, c'est-à-dire la diminution des traitements, protection de l'environnement et toutes les charges de l'entreprise", dévoile Virginie Fraysse, productrice de fraises à Carpentras. En France, un ouvrier agricole est payé sur la base du smic brut mensuel fixé à 1 521 € contre 1 050 € en Espagne. Une production raisonnée loin de l'agriculture intensive ibérique avec des serres à perte de vue.
Le JT JT de 13h du dimanche 19 mai 2019 L'intégrale. Toujours plus nombreux, toujours plus rentables... L’insolent succès des cinémas multiplexes. Les chiffres vertigineux du business de Stéphane Plaza. Stéphane Plaza est partout !
À la télévision, sur les planches de théâtre, au cinéma… l'agent immobilier aux multiples facettes a encore une dernière corde à son arc : son réseau d'agences immobilières. En association avec M6, il a lancé son propre business, Stéphane Plaza immobilier. Pour l'heure, c'est une vraie réussite : 320 boutiques ont déjà ouvert et 407 autres sont attendues d’ici à la fin de l’année, explique Le Parisien. Les chiffres, eux, font tourner la tête. L’an dernier, la société a généré un chiffre d’affaires de 11,3 millions d’euros (M€) contre 1,9 million en 2015. Une réussite qui peut rapidement faire perdre la tête. Pour Volkswagen, la facture du dieselgate atteint un niveau délirant. Retrouvez ce contenu plus tard en appuyant sur ce bouton.
Amazon confirme sa rentabilité, grâce au «cloud» Guillaume Pepy présente la «nouvelle SNCF» de 2020. Pizza Industrielle : Cherchez les Ingrédients ! Catherine Guillouard : « La RATP investit chaque année un tiers de son chiffre d’affaires » « Les consommateurs ne mesurent pas les étapes nécessaires avant d’obtenir une tablette de chocolat »
Capital Lingerie, jeans, doudoune : les secrets des marques francaises qui reussissent N. Lidl fait peau neuve et s’inspire du design de Monoprix. Sans titre. Sogilis, une entreprise disruptive : les équipes présentent la société. Great Place To Work 2018 DECATHLON FRANCE. Le palmarès 2018 des entreprises où il fait bon travailler. Coca-Cola à la recherche de la boisson du futur. Taxes sur les sodas, ventes en berne… le géant traverse une crise existentielle.
Il doit revoir ses formules et inventer les boissons du futur. Visite exclusive de son labo européen. Jean-Christophe Lombard a l’œil pétillant de celui qui va vous jouer un tour. Le directeur du centre R&D européen de Coca-Cola pose devant vous deux formules de Fanta. L’une est jaune pâle, l’autre plus orangée. En Grèce ou en Belgique, le Fanta affiche un jaune vif, alors qu’il vire à l’orange soutenu en Suède. >> À lire aussi - En avalant Tropico, Coca-Cola achète sa première marque française Mis à mal, Coca investit pour se réinventer Les machines de pasteurisation flambant neuves l’attestent : le groupe a investi au total 15 millions de dollars ces dix-huit derniers mois pour muscler sa recherche. La multinationale est par ailleurs régulièrement épinglée sur ses responsabilités environnementales.
Capital - Un repenti de l'agroalimentaire dénonce les pratiques des industriels. Sans titre. C’est la fabrique à présidents.
Celle qui a formé Emmanuel Macron, François Hollande, Jacques Chirac et Valéry Giscard d’Estaing. Celle qui forge les élites dirigeantes de l’Etat et de certaines entreprises du CAC 40 : l’ENA. Mais dans les coulisses de l’Ecole nationale d’administration où les futurs pilotes de la République font leurs classes, les voyants financiers sont au rouge. La masse salariale pèse trop lourd. Les nouvelles missions imposées par l’Etat coûtent cher alors que la subvention publique stagne. Résultat, le déficit augmente et si rien ne change, l’école, qui dispose encore d’une petite réserve pour éponger, fera banqueroute d’ici quatre ans.
La situation se dégrade depuis plusieurs années. Mission impossible pour boucler un budget à l’équilibre Le déficit a atteint 2,8 millions d’euros l’an dernier, sur un budget de 40,8 millions d’euros. SNCF: Démissions, licenciements, emploi des jeunes... SUD-Rail dénonce un «bilan social désastreux» en 2017. Démissions, départs précipités, licenciements… SUD-Rail, troisième syndicat de la SNCF, dénonce ce mardi dans un communiqué le « bilan social désastreux » du groupe ferroviaire en 2017.
Les chiffres de ce bilan social 2017 doivent être présentés en octobre au comité central d’entreprise, a indiqué à l’AFP un porte-parole de la SNCF. Ce bilan « socialement catastrophique » a été réalisé l’année où la SNCF avait engrangé un bénéfice net de 1,33 milliard d’euros, souligne SUD-Rail dans son communiqué. Le port du Havre dans le viseur de la Cour des Comptes. Un terminal d'une centaine d'hectares, avec un espace de stockage pour 2600 conteneurs, forcément, le projet coûte cher.
Un peu trop même, puisque le nouveau terminal multimodal du port du Havre a coûté 10,9 millions de plus que prévu. La Cour des Comptes s'est donc penchée sur le cas de cette construction, dont le maître d'ouvrage LH2T a été placé en redressement judiciaire seulement quelques mois après la fin du chantier. Selon l'institution de contrôle des comptes public, le projet a été lancé "à la hâte sans analyse préalable et dans des conditions protégeant mal les intérêts publics". Un projet mal ficelé. Sénégal : le projet Boto pourrait produire annuellement 140 000 onces d’or sur près de 13 ans (étude) A suivre aujourd'hui... CAPGEMINI.
(AOF) - Capgemini a réalisé un très bon troisième trimestre et a relévé son objectif de croissance pour 2018.
Le groupe de conseil et de services informatiques a généré un chiffre d’affaires consolidé de 3,228 milliards d’euros, en hausse de 8,7% à taux de change constants. Il a augmenté de 7,7% en données publiées. La croissance organique du groupe, c’est-à-dire hors impact des devises et des variations de périmètre, a atteint 6,3%. Les activités Digital & Cloud sont en hausse de plus de 20% à taux de change constants au troisième trimestre, ce qui porte leur part dans l'activité du Groupe à environ 45%. Auchan va mal, les Mulliez reprennent la chaîne en main. Le patron de Kiabi, Edgard Bonte, remplace Régis Degelcke à la tête du groupe de distribution. Changement de têtes chez Auchan. Arrivé il y a tout juste 18 mois à la tête du groupe, Régis Degelcke a été remplacé par Edgard Bonte, le patron de Kiabi depuis huit ans, rapportent Les Echos.
Wilhelm Hubner, qui occupait jusqu'à présent la fonction de directeur général cède également sa place. Son poste étant tout simplement supprimé. Air France : une entreprise en bonne santé ? DECRYPTAGE - Le groupe Air France-KLM est en bonne santé économique. Focus sur l'impact de la grève sur les résultats de la compagnie avec Lucie Chaumette, dans sa chronique "Les indispensables". Le groupe Air France-KLM enregistre des résultats positifs pour la troisième année consécutive. Rien que pour Air France, le bénéfice d'exploitation a atteint les 588 millions d'euros pour l'année 2017.
La grève risque pourtant d'impacter les résultats pour cette année 2018 et a déjà fait perdre 300 millions d'euros à la compagnie. Uber a perdu 4,5 milliards de dollars en 2017.