Paris-Saclay, une Silicon Valley à la française. Bibliographie | citer cet article À une vingtaine de kilomètres au sud de Paris, sur le plateau de Saclay qui est à cheval sur les départements de l’Essonne et des Yvelines, l’État a décidé en 2008 de créer de manière volontariste, en s’appuyant sur un potentiel déjà considérable, un grand pôle universitaire et scientifique de rang mondial : Paris-Saclay.
S’inspirant officiellement de modèles anglo-saxons emblématiques, ce nouveau cluster a pour ambition affirmée de devenir une « Silicon Valley » ou un « Cambridge à la française ». Présenté comme un moteur d’innovation et un levier de développement économique, il vise à renforcer la compétitivité de la France dans l’économie de la connaissance dans un contexte mondial de plus en plus concurrentiel. Pour les géographes, universitaires ou enseignants du secondaire, cette opération majeure est un objet d’étude particulièrement intéressant aux échelles locale, régionale, nationale, européenne et mondiale. 1. 1.1. 1.2. 1.3. 2. 2.1. 2.2. 2.3. Audience à risque autour du Center Parcs de Roybon. Roybon: Pourquoi faire un nouveau Center parks à côté d'un terrain militaire?
Un petit point sur un projet de village de vacances de la compagnie Center Parks ( assez aberrant et plus qu'inutile, nuisible au futur d'une région et pouvant avoir des conséquences graves sur son réseau hydrique.
Tout d'abord, on peut constater que la commission d'enquête « loi sur l’eau » relative au projet d’implantation d’un Center Parcs à Roybon (Isère) considère que " la destruction ou la dégradation de 110 à 120 ha de zone humide sur le seul site d’emprise (et non pas seulement 71 ha comme le dossier d’enquête le présente), en tête de bassin versant, dans un milieu à enjeu patrimonial, ne peut pas être compensée par la valorisation de milieux fonctionnels existants, répartis dans la région Rhône-Alpes. Essonne : Bataille de l'information sur le Plateau de Saclay. L’établissement public d’aménagement organisait mardi matin une visite en bus des chantiers du Plateau.
L’occasion pour les opposants au projet d’urbanisation d’interpeller les journalistes présents. Comme chaque année, l’établissement public en charge de l’aménagement du Plateau de Saclay (EPA Paris-Saclay), affrète un bus, pour faire visiter les lieux aux journalistes. L’occasion de faire le point sur les chantiers en cours dans les zones de Polytechnique et du Moulon, puis du côté des Yvelines, et de promouvoir le projet de « cluster » auprès de différents médias, nationaux, locaux ou spécialisés.
Au total, une vingtaine de journalistes (ndlr : la rédaction d’Essonne Info n’était pas conviée) ont pris part au départ du bus à Denfert-Rochereau. Vives critiques autour de la future université Paris-Saclay. Recevez nos newsletters : A moins d’un an de son inauguration officielle, ce campus censé rivaliser à terme avec Harvard ou Cambridge ne remporte toujours pas l’adhésion des étudiants et des chercheurs.
Situé à 25 kilomètres au sud de la Tour Eiffel, le plateau de Saclay, parfois surnommé la «Silicon Valley à la française», doit accueillir d’ici 2018 un gigantesque campus au milieu des champs. Un projet sans précédent ,qui regroupera dix grandes écoles, trois universités, dix instituts de recherche et 8.000 logements étudiants. L’objectif du projet initié en 2008 par Nicolas Sarkozy? Intégrer le Top 10 du fameux classement des universités de Shanghai, alors que le meilleur établissement français en 2012, l’université Paris-Sud, pointait seulement à la 37ème place. «Tant qu’il n’y aura pas de transports, Saclay restera une zone déserte» Or les transports sont essentiels pour une vraie vie de campus. «Centrale et Polytechnique ne peuvent pas se supporter» (Avec AFP) Les pôles de Compétitivité - Aerospace Valley - Moteur de croissance et d'emploi. L'Etat vend une partie de l'aéroport de Toulouse à un consortium chinois. Le ministère de l'économie a annoncé, jeudi 4 décembre, avoir choisi le consortium chinois Symbiose, associé au canadien SNC-Lavalin, comme futur acquéreur d'une participation de 49,9 % dans l'aéroport de Toulouse-Blagnac pour 308 millions d'euros.
Dans un entretien à La Dépêche du Midi, le ministre de l'économie, Emmanuel Macron, précise qu'il ne « s'agit pas d'une privatisation mais bien d'une ouverture de capital dans laquelle les collectivités locales et l'Etat restent majoritaires avec 50,01 % du capital ». « On ne vend pas l'aéroport, on ne vend pas les pistes ni les bâtiments, qui restent propriété de l'Etat », a encore plaidé le ministre. Selon le quotidien régional, les Chinois pourraient « dans un second temps céder jusqu'à 16 % de leur participation à un investisseur français type Caisse des dépôts, EDF Invest ou encore Crédit agricole Predica ». Quatre consortiums étaient en lice pour ce rachat : FPI est loin d’être un inconnu à Toulouse. Me mo Minatec. Contre le Minatec de Caen. Vous souvenez-vous du temps pas si lointain où toutes sortes d’imbéciles et de menteurs nous assuraient que "les nanotechnologies n’existent pas" ?
Qu’il ne s’agissait que d’un "bluff" des labos pour pomper des crédits ?