Créer un site Internet gratuit. Réalité virtuelle le Courrier International. Les jeux vidéo sont-ils bons pour le cerveau ? Les jeux vidéo ont la réputation d’être violents et débilitants.
Pourtant, de récentes études montrent qu’ils améliorent des capacités cognitives différentes selon le type de jeu. Les risques pour la santé restent très limités et peuvent facilement être évités. Depuis la sortie de Pong en 1972, les jeux vidéo n’ont cessé de s’améliorer et de se diversifier. Certains font partie de notre patrimoine culturel, comme Space Invaders, Pac-Man ou Tetris. Avec les jeux vidéo d’aujourd’hui, il est possible d’incarner tour à tour un sportif, un psychanalyste, une mère de famille, un pilote de chasse, un chirurgien, un soldat… Leurs décors peuvent nous immerger dans des lieux contemporains, historiques ou mythiques, dans une représentation métaphorique du cerveau ou dans des univers oniriques délirants. Stimulants pour le cerveau Depuis les récentes découvertes sur la plasticité cérébrale, on sait que l’environnement peut modifier les connexions synaptiques du cerveau.
Le risque réduit d’épilepsie. Psy et Geek ;-) 11 effets des jeux sur le cerveau. Des études américaines pointent les effets positifs des jeux vidéo. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez nos CGU et l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts.
Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Accueil Newsletter Newsletter Actualités Contrairement aux idées reçues, la pratique des jeux vidéo ne rend pas violent. Pour la plupart des Américains, il y a un lien direct entre les jeux vidéo et la violence, affirmait récemment un sondage Harris. A l’époque, certains experts avaient en effet accusés les jeux vidéo d’engendrer la violence. InRead invented by Teads De nombreux jeux vidéo ont donc une vocation éducative. Les jeux vidéo ont « mauvaise réputation parce qu'on y joue souvent de manière excessive » mais les accuser des maux de la société est « simpliste », dit-il. Jouer développe les compétences Cécile Bolesse Tweeter. La réalité virtuelle produira, dans le futur, les mêmes effets que le LSD. Cette affirmation ne vient pas d’un illuminé mais de l’une des plus grandes chercheuses travaillant pour Microsoft.
L’experte estime, qu’à l’horizon de 2027, la réalité virtuelle devrait produire des hallucinations et des effets similaires à ceux du LSD à ses utilisateurs et altérera leur perception de la réalité. Chaque fin d’année, Microsoft demande à ses plus grands chercheurs de leur donner une prédiction du futur technologique pour l’année à venir ainsi que sur 10 ans. Cette année, le géant du logiciel fait honneur aux femmes et a interrogé 17 de ses plus brillantes chercheuses, toutes spécialisées dans une domaine distinct. Bien que la vision du futur soit assez idéaliste pour beaucoup des plus gros cerveaux de la firme de Redmond, la perception d’une des expertes fait froid dans le dos et incite à la réflexion.
Différents risques liés à la réalité virtuelle ont d’ores et déjà été mis à jour cependant, la comparaison avec les effets du LSD est nouvelle et inquiétante. Via. Quels sont les aspects positifs et pervers des jeux vidéos? LES JEUX VIDEO : BIEN OU NOCIFS ? « Le blog SES du LPB. De nos jours, il est presque impossible d’écouter une conversation d’adolescents sans entendre parler de l’univers virtuel que nous offrent les nouveaux supports technologiques de ces quelques dernières décennies.
Séries télévisées, réseaux sociaux ou encore jeux vidéos, les jeunes sont aujourd’hui tous exposés à une « deuxième vie » virtuelle. Il est facile de s’identifier à une star d’une série TV, de se faire des centaines d’ « amis » sur les réseaux sociaux ou encore de réaliser ses pulsions les plus folles dans les jeux vidéos. Ces derniers, en particulier, proposent des thèmes très variés et sont destinés à différents publics.
Néanmoins, ce sont les adolescents qui sont le plus attirés par ce qu’appellent certains scientifiques un « exutoire ».