L’intelligence artificielle intégrale pourrait signifier la fin de la race humaine. « L’intelligence artificielle intégrale pourrait signifier la fin de la race humaine » Par Delphine Cuny | 03/12/2014, 16:00 | 279 mots Le brillant physicien britannique, qui souffre d'une dystrophie neuromusculaire attribuée à une sclérose latérale amyotrophique (SLA), se sert pour communiquer d’un logiciel utilisant une forme basique d’intelligence artificielle.
(Crédits : Reuters) Le brillant physicien Stephen Hawking s’inquiète des conséquences du développement de cette technologie qui pourrait dépasser l’intelligence humaine. Elon Musk, le fondateur de Tesla et SpaceX, estime aussi qu'elle constitue « une menace existentielle. » Personne ne l'accusera d'obscurantisme et pourtant l'éminent physicien britannique Stephen Hawking ne cache pas son inquiétude à l'égard de l'intelligence artificielle. . « Le développement d'une intelligence artificielle intégrale pourrait signifier la fin de la race humaine. » JRC Annual Report 2015 - EU Science Hub. Coop-group : SiNews. Social-IN3 propose une sélection d'ouvrages de culture numérique, partagé avec la S-I (Suisse Informatique) Peut-être que c'est mieux en chrono inversevoici mes contributions pour les SI news de AOUT 2018 ; elles se trouvent voici mes contributions pour les SI news de MAI 2016 Mai 2016 concernant l'interpellation du l'ex-Conseiller National Gilles Petitpierre du 7 octobre 1981 : L'informatique, partie intégrante de la culture générale de l'homme moderne ?
...... il y a déjà 35 ans ....!!!!! Voici mes contributions pour les SI news de JUIN 2016 et l’info pour la PK du 30 juin ; elles se trouvent (incroyable ce qui a été fait les derniers 6 mois avec LIN et ce n’est qu’un début quand LIN tournera à plein régime) • voici mes contributions pour les SI news de JUILLET-AOÛT 2017 ; elles se trouvent voici mes contributions pour les SI news de FEVRIER 2018 ; elles se trouvent. IS UNIT WEB SITE - IPTS - JRC - EC. Stand up for your freedom to install free software. Microsoft has announced that if computer makers wish to distribute machines with the Windows 8 compatibility logo, they will have to implement a measure called "Secure Boot.
" However, it is currently up for grabs whether this technology will live up to its name, or will instead earn the name Restricted Boot. When done correctly, "Secure Boot" is designed to protect against malware by preventing computers from loading unauthorized binary programs when booting. In practice, this means that computers implementing it won't boot unauthorized operating systems -- including initially authorized systems that have been modified without being re-approved. This could be a feature deserving of the name, as long as the user is able to authorize the programs she wants to use, so she can run free software written and modified by herself or people she trusts.
Barack Obama a ordonné les attaques Stuxnet contre l'Iran. Crédit D.R.
Le ver Stuxnet, mis au point par des agences américaines et israéliennes, a bien été créé pour cibler le programme nucléaire iranien, selon le New York Times. Le président américain Barack Obama a ordonné les cyberattaques avec le malware Stuxnet contre l'Iran pour ralentir le développement du programme nucléaire du pays, selon un article publié dans The New York Times. Le journal, citant des sources anonymes, a rapporté que, dans les premiers jours de sa présidence, M. Obama a accéléré le projet connu sous le nom de code Olympic Games et initié par l'administration de George W. Bush. Le président Obama a envisagé de stopper les cyber-attaques après que Stuxnet ait commencé à compromettre d'autres ordinateurs, mais, selon le NY Times, il a décidé de poursuivre le programme. Un ver très sophistiqué Stuxnet a été découvert en juillet 2010, lorsqu'une entreprise de sécurité basée en Biélorussie a détecté le ver sur des ordinateurs appartenant à un client iranien.
3 commissions du Parlement européen se prononcent contre ACTA. En votant ce jeudi contre le traité de lutte internationale contre la piraterie, trois commissions du Parlement européen viennent de planter trois nouveaux clous dans le cercueil de l'accord de commerce anticontrefaçon ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) qui comporte un volet secret sur le flicage d'Internet.
La commission des libertés civiles a voté massivement contre ACTA, dont l'objectif est de faire respecter les droits de propriété intellectuelle, de même que la commission des affaires juridiques et celle de l'Industrie ont voté le rejet du traité. L'accord ne peut entrer en vigueur que s'il est ratifié par 6 des 11 États signataires, à savoir l'Union européenne, l'Australie, le Canada, le Japon, la Corée du Sud, le Maroc, le Mexique, la Nouvelle-Zélande, Singapour, les États-Unis et la Suisse.
Dans le cas où l'accord ne serait approuvé que par le Parlement européen, la loi ne vaudrait que pour l'U.E. Flicage organisé d'Internet avec les FAI Des critiques justifiés. Solange Ghernaouti Hélie - HEC Lausanne.