background preloader

Sciences participatives

Facebook Twitter

Sciences participatives

`bodycard 0881

#Bota10km : jouez avec The Plant Game. Le marathon #Bota10km vous invite à sortir pour explorer la flore des 10 kilomètres alentours, mais il existe aussi un moyen de vous exercer à l’identification de plantes depuis chez vous avec The Plant Game ! Monde urbain, monde libre, monde rural… Où que vous soyez, exercez-vous en vous amusant avec les entraînements The Plant Game dédiés ! «The Plant Game», qu’est-ce que c’est ? The Plant Game est un jeu développé par l’Inria dans le cadre du projet Floris’Tic. Il permet de : se perfectionner en botanique tout en s’amusant.participer à un projet de science participative de grande ampleur sur la biodiversité. La règle est simple : le jeu vous propose plusieurs photos d’une plante dont il vous faut retrouver le nom parmi plusieurs propositions. Comment jouer ? Il existe un entraînement tutoriel directement sur The Plant Game. Au total, ce sont 240 espèces les plus communes de nos villes qui sont présentées dans ces 2 jeux !

Mission « Au fil des saisons » En savoir plus sur #Bota10km. 14. Qu'apportent les sciences participatives à la rech. et à la préservation de la biodiversité ? Aidez les astronomes à chercher des trous noirs. Des milliers de trous noirs à portée de clic : ce nouveau programme de sciences participatives, baptisé LOFAR Radio Galaxy Zoo, "donne à quiconque possède un ordinateur la possibilité d'aider la communauté scientifique" à interpréter les données recueillies par le radiotélescope LOFAR, un ensemble d'antennes réparties à travers l'Europe, explique dans un communiqué l'Observatoire de Paris-PSL, qui exploite la partie française du réseau. Une image radio du ciel LOFAR, qui observe les ondes radio émises dans l'Univers, est en train de construire une vaste image du "ciel radio" : contrairement aux images prises avec des télescopes optiques, les étoiles et les galaxies n'y sont pas directement visibles. On y voit en revanche des structures aux formes complexes, dont l'origine reste mystérieuse. 150.000 sources à identifier Or les scientifiques ont besoin de localiser les trous noirs, de connaître leur "galaxie hôte".

Une image radio du ciel 150.000 sources à identifier. Astéroïdes : avec l'eVscope, tout le monde peut aider à déterminer leurs formes. Le réseau mondial d'eVscope poursuit sa montée en puissance pour faire de la science citoyenne participative. Comme prévu, il permet d'étudier la forme et les caractéristiques de certains astéroïdes, aidant ainsi à explorer le Système solaire et à percer ses secrets. Cela vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Test de l'eVscope d'Unistellar, un télescope pas comme les autres Nous avons testé l’eVscope de la startup française Unistellar. EV pour « enhanced vision », vison amplifiée. Doté d’un capteur très sensible, cet instrument d’un nouveau genre, connecté, vous dévoile les objets du cosmos, comme aucun autre télescope peut le faire. Cela fait quelques années que Futura vous fait suivre les développements et la saga d'un nouveau télescope à destination du grand public, l'eVscope (Enhanced Vision Telescope).

C'est le fruit d'une start-up française, appelée Unistellar, et nous avions notamment fait une interview de l'un des membres d'Unistellar, l'astronome français Franck Marchis. Chercheurs : quels services rendus à la cité ? Nos collègues suisses possèdent une très belle expression pour identifier ce que les universitaires doivent concevoir comme un prolongement naturel de leur activité d’enseignants-chercheurs au-delà des murs de nos universités : « service à la cité ».

En effet, dans l’évaluation des activités annuelles, ils sont interrogés sur la façon dont ils s’emploient à diffuser, au-delà d’un public d’étudiants et de confrères et consœurs, leurs savoirs et les fruits de leur réflexion. C’est loin d’être injustifié, surtout si on est salarié de l’État. Comment en effet imaginer que le haut niveau d’expertise acquis par les académiques ne contribue pas aussi au débat public ?

Et la question vaut aussi pour la France. Les modalités possibles sont si nombreuses que chacun, selon son tempérament, sa discipline, ses objets précis d’étude, peut trouver matière à intervention dans la cité. Nous tenterons ici d’en dresser les contours et les motivations possibles. La science hors les murs La science autrement. Citoyens des sciences : quand chercheurs et public collaborent. Cet article est publié dans le cadre de la Fête de la Science 2017, qui se tient du 7 au 15 octobre, et dont The Conversation France est partenaire. Retrouvez tous les débats et les événements de votre région sur le site Fetedelascience.fr. Vous avez dit « sciences participatives » ? L’expression résonne différemment selon la personne qui l’entend ou l’utilise. Elle n’est pas la seule à décrire les collaborations entre chercheurs et citoyens : recherche participative, sciences citoyennes, science avec et pour la société, public engagement.

Le rapport Houllier, remis en février 2016, définit les sciences participatives plus largement, comme des « formes de production de connaissances scientifiques auxquelles des acteurs non-scientifiques-professionnels, qu’il s’agisse d’individus ou de groupes, participent de façon active et délibérée ». Des sujets variés À l’origine, au XVIe siècle, les sciences participatives étaient naturalistes… et élitistes. L’Amérique du Nord et l’Europe dominent.

Confiné avec un jardin ? Aidez les chercheurs à étudier les insectes pollinisateurs. Le Spipoll (Suivi photographique des insectes pollinisateurs) est un projet de sciences participatives qui vise à étudier la pollinisation. Une idée d’activité originale si vous avez un jardin en cette période de confinement. Qui a dit que confinement rimait avec enfermement ? Si vous avez un jardin, le Spipoll (Suivi photographique des insectes pollinisateurs) vous permet de mettre le nez dehors et de contribuer à la recherche scientifique. Le tout en toute légalité, un luxe. Depuis 2008, ce projet de sciences participatives vise à étudier la pollinisation. Plus précisément, les interactions entre les insectes pollinisateurs et les plantes.

Photographier sa plante Concrètement, comment cela fonctionne ? Ce projet a permis d'importantes avancées dans la recherche sur la pollinisation. Ce projet a déjà sollicité plus de 2.500 participants et créé plus de 44.000 collections. Pour participer, rendez-vous sur le site du Spipoll. A lire aussi : Cours : Devenez Observateur des Saisons. Ce kit est à destination des observateurs et des relais de l'Observatoire des Saisons.

Il est ouvert à tous et sans limite dans le temps et s’articule en 3 séquences. Vous trouverez plus de détails dans l'onglet Contenu. RÉALISÉ PAR TELA BOTANICA (maîtrise d’œuvre et d'ouvrage) Tela Botanica est une association créée en 1999 regroupant un large réseau de botanistes francophones. Elle a pour vocation de : favoriser l'échange d'informations entre botanistes, animer des projets grâce aux outils numériques, produire des données libres de droit sur la flore, sensibiliser et former à la botanique. Ce kit est réalisé dans le cadre du projet LABbota, projet co-financé par le fond européen de développement régional. Tournage et montage des vidéos L'Inria pour la mise à disposition du système d'entraînement The Plant Game Isabelle Chuine pour son expertise et ses conseils Les ressources produites dans le cadre de ce kit sont en licence CC BY-SA 4.0.

Téléchargez le Communiqué de Presse Contact presse : Cultivez des haricots pour le projet de science citoyenne INCREASE. Inscrivez-vous maintenant pour le 2ème tour de l’expérience scientifique citoyenne INCREASE ! Celui-ci concerne la culture des haricots. L’expérience de science citoyenne menée dans le cadre de ce projet est un appel à tous les citoyen.ne.s intéressé.e.s à contribuer volontairement et à tester une approche décentralisée innovante de conservation, de multiplication et de partage des semences afin de conserver l’agro-biodiversité. Tout ce dont vous aurez besoin est un accès à un champ, un jardin, une terrasse ou un balcon. Le projet de recherche INCREASE a officiellement démarré le 1er mai 2020. Financé par le programme de recherche et d’innovation Horizon 2020 de l’Union européenne, il se déroulera sur 5 ans.

INCREASE vise à améliorer la gestion et l’utilisation des ressources génétiques végétales en promouvant le rôle de la diversité des cultures dans l’agriculture européenne. Votre engagement vous donnera un accès complet à un large éventail d’activités. Pourquoi participer ? 1. 2. 3. Devenez cueilleurs de météorites. Que s’est-il passé début mars dans le Lot-et-Garonne à proximité de la ville d’Aiguillon ?

Une question était sur toutes les lèvres, dans le supermarché, au détour d’un champ, au coin d’une rue : « Alors ? Est-ce que vous l’avez trouvée ? » Un peu plus loin, on pouvait apercevoir une ligne formée de personnes, masquées et concentrées, les yeux scrutant le sol, à la recherche de l’objet qui manque à l’appel. Des journalistes sont également venus par dizaines pour couvrir cet événement insolite. Tout le monde cherchait une météorite. Tout a commencé le samedi 27 février 2021 à 22h43, lorsqu’une magnifique étoile filante très lumineuse, aussi appelée « bolide », a survolé le sud-ouest de la France, sous les yeux de plusieurs dizaines de témoins. Ces mêmes questions intéressent les astronomes et les cosmochimistes qui s’intéressent aux processus de formation du système solaire. Quelle est l’origine de la lumière des étoiles filantes Un réseau de caméras pour observer les bolides célestes. Du tracteur au carnet de comptage, un projet de sciences participatives 100 % agricole.

En mai 2019, le rapport de l’IPBES désignait notre système agroalimentaire, agriculture intensive en tête, comme l’un des principaux facteurs responsables de l’érosion de la biodiversité. Les changements d’usage des sols, le travail intensif des terres, l’homogénéisation des paysages et l’utilisation d’intrants chimiques (pesticides, fertilisation minérale) y étaient pointés du doigt. Si les scientifiques s’accordent aujourd’hui sur ces liens de cause à effet, relier dynamiques de biodiversité et pratiques agricoles relève d’un véritable défi dès lors qu’on se place sur de grandes échelles. La plupart des études se basent en effet, pour des raisons pratiques, sur des expérimentations en laboratoire, au mieux sur une ou quelques dizaines de parcelles ; et elles se déploient sur des temps relativement courts. Pour tirer des conclusions générales, les chercheurs se voient donc contraints de s’appuyer sur des suppositions, au mieux des extrapolations.

Dans la peau d’un agriculteur-naturaliste. Faire sortir les musées français de leurs cadres. Tous les quatre ans, le Conseil international des musées (ICOM) se réunit dans une grande ville du monde. En septembre 2019, l’ICOM a réuni 4500 délégués de 120 pays à Kyoto, notamment pour voter une nouvelle définition du musée. Il s’agissait de moderniser la dernière définition qui, bien que datant de 2007, remontait dans ses principes aux années 60.

Selon celle-ci, un musée est « une institution permanente sans but lucratif au service de la société et de son développement, ouverte au public, qui acquiert, conserve, étudie, expose et transmet le patrimoine matériel et immatériel de l’humanité et de son environnement à des fins d’étude, d’éducation et de délectation ». Estimant que les musées doivent vivre avec leur temps et employer le langage du XXIe siècle, certains délégués ont proposé une nouvelle définition du musée. Face à celle-ci, nombre de délégations sont montées au créneau, pour des raisons de forme et de fond. Winkin Y., 2020, Réinventer les musées ? Geckolocalisation : aidez au repérage des lézards à pattes ventouses. Alors que les Tarentes de Maurétanie conquièrent le sud de la France, des chercheurs de Toulouse (Haute-Garonne) ont lancé une opération de « science participative » afin de cartographier l’implantation de cette espèce de gecko.

Ils aiment les températures élevées, la chaleur dégagée par les aménagements urbains. On peut les voir la nuit chasser les insectes dans la lumière des lampadaires. Eux, ce sont les Tarentes de Maurétanie, de gros lézards aux pattes ventouses, que l’on croise de plus en plus dans le sud de la France. Bordeaux, Lyon, Toulouse… L’espèce semble se plaire dans le sud de la France. C’est pourquoi des chercheurs toulousains ont lancé une vaste opération de Geckolocalisation, appelant les citoyens à signaler la présence de ces lézards.

Une espèce en pleine expansion La Tarente de Mauritanie, un lézard gecko à Marseille – © Gérard Bottino Lire aussi : Biodiversité : une carte interactive pour trouver des espèces inconnues consoGlobe vous recommande aussi... INPN espèces. Présentation de l’application Lancée en mai 2016, par l’UMS PatriNat (Muséum national d’Histoire naturelle - Office français pour la biodiversité - CNRS), la première version de l’application mobile INPN Espèces permettait de faire découvrir à l’utilisateur la biodiversité proche (Faune, Flore, Fonge), à l’échelle de sa commune. La seconde version, déployée en juin 2018, permet désormais de participer à l’inventaire de cette biodiversité. C’est un véritable outil de sciences participatives facilement accessible pour nos élèves et en lien direct avec les experts du MNHN. Cette approche participative permet l’étude de la biodiversité dans le cadre des Objectifs de développement durable : ODD 14 (vie aquatique) et ODD 15 (vie terrestre).

Le concept de INPN espèces : Quelques exemples d’utilisation en SVT En cycle 3, dans l’étude de l’environnement proche, l’application peut être utilisée comme outil pour faire l’inventaire de la biodiversité locale. Découvrir la présentation de l’application. La recherche participative, textes et contenus de référence – mise à jour 2020 | Sciences Citoyennes. Le rapport « La recherche participative comme mode de production des savoirs, un état des lieux des pratiques en France » a été rédigé en 2012, en partenariat avec la Fondation de France, afin de dresser un panorama représentatif des pratiques de recherche participative en France et d’identifier différents éléments pour une meilleure compréhension des blocages, ressources et mécanismes à l’oeuvre. Les constats et préconisations formulées restent tout à fait d’actualité. Repenser l’évaluation de la recherche participative Les spécificités de la recherche participative comme mode alternatif de production de savoirs scientifiques imposent de définir des modalités d’évaluation différentes de ce que propose le cadre dominant de l’évaluation scientifique.

L’apport des savoirs co-construits ne se limitent pas à leur qualité scientifique mais tient aussi à leur pertinence sociale et aux méthodologies de collaboration utilisées entre chercheurs et non-chercheurs pour les élaborer. Par exemple: La science ouverte : refaire circuler le savoir librement. Au Muséum national d’histoire naturelle, les échanges entre savants du pays et du monde entier ont toujours été des vecteurs essentiels de la production et de la diffusion de la connaissance scientifique. Les archives administratives et scientifiques de l’établissement témoignent d’une conversation ininterrompue entre chercheurs aux quatre coins de la planète : relations de voyages, journaux d’expéditions, correspondances, envois croisés entre spécialistes de caisses ou colis de spécimens, d’enveloppes garnies de graines, de photographies, de tirés à part, d’ouvrages… Un incessant ballet d’idées, d’indices et d’objets qu’on n’appelait pas encore des données et qui se dispensait souvent de toute tractation financière.

Cette ouverture au monde s’est accompagnée d’une ouverture aux personnes. Bref, bien avant la révolution numérique qui a été un formidable accélérateur de ces échanges, on faisait de la science ouverte sans le savoir. Science ouverte ! La science participative comme outil de suivi des espèces invasives, une stratégie payante. Le protocole de Lichens GO! - PartiCitaE. Les citoyens, des scientifiques amateurs qui font toute la différence. Les observatoires de Vigie-Nature. Les rapports entre humain et nature depuis 10 ans en 6 tendances.

Les sciences participatives à l’honneur dans un article de la Société écologique Britannique. Mieux connaître les sciences participatives. Mission flore : à la recherche de la Spiranthe d’automne en Isère. Monter un projet de sciences participatives en 10 conseils. OpenKeys.science, des clés de détermination pour ouvrir les portes de la biodiversité. Participez à BirdLab avec votre smartphone. Petit guide pour apprentis naturalistes confinés. Pour une co-construction des savoirs – par Aude Lapprand dans Culture et Recherche | Sciences Citoyennes. Science citoyenne et interdisciplinarité pour observer les oiseaux. Sciences participatives. Sciences participatives. Sciences participatives. Sciences participatives : DRYrivERS, une application smartphone pour surveiller l’assèchement des rivières - Geo.fr. Sciences participatives au jardin.

Strasbourg : des bourdons aux plantes sauvages, les citoyens invités à faire l’inventaire de la biodiversité ordinaire. sTREEts, l’arche de Noé des plantes sauvages. Suivez la flore des pieds d’arbres en ville avec sTREEts. Téléchargez l'application smartphone Phenomer - Phenomer. Un projet de sciences participatives pour dresser le portrait des zones humides d'altitude. Une enquête participative pour recenser les hérissons de France.

Vigie Terre. « Herbes folles » : mieux les connaitre et participer à leur suivi. À la recherche de primevères officinales.