Réfugiés oubliés : les Palestiniens au Liban. Ce webdocumentaire vous amène dans les rues et ruelles de ce camp surpeuplé à la rencontre de ceux et de celles qui y vivent depuis plus de 60 ans.
Des enfants, politisés dès leur plus jeune âge, qui s'inventent des guerres dans la cour, Fatma dont le fils verse son maigre argent de poche pour aider ses frères et soeur, ou encore le vieux Tawil qui a vécu l'exode de 1948 et qui cherche désespérément la clé égarée de sa maison de Palestine, découvrez la vie quotidienne de tous ces gens, ces apatrides de la Nakba - la catastrophe - qui a laissé tout un peuple dans le désoeuvrement et l'oubli.
Africa to Australia. Portraits d'un Nouveau Monde. Un mur qui sépare deux mondes D'immenses piliers métalliques plantés dans le désert séparent les Etats-Unis et le Mexique sur presque un tiers des 3600 kilomètres de frontière.
Ce mur, qui fait polémique aux Etats-Unis, a pour objectif d'arrêter l'immigration illégale et le trafic de drogue. Mais il n'entame la détermination des migrants qui, pour traverser, doivent s'enfoncer plus loin dans le désert. Selon des organisations humanitaires, 5600 migrants ont trouvé la mort depuis 1994 le long de cette frontière. La Californie, initiatrice de la construction du mur La construction du mur entre les Etats-Unis et le Mexique commence en 1994 en Californie avec l'Opération Gatekeeper destinée à « sécuriser et protéger les frontières extérieures des Etats-Unis par la prévention des entrées illégales et par la détection, l'interdiction et l'appréhension des personnes entrant sans papiers, des passeurs, des contrebandiers, et toute personne violant les lois ».
Crédits France Télévisions narrative. Little Burma, le pays clandestin. Portraits d'un Nouveau Monde. Le destin bouleversant des migrants vers l'Europe Je me suis toujours intéressé aux questions relatives à l'immigration, aux diasporas, à l'exil.
En 2001, je m'étais rendu à Sangatte où des centaines de clandestins venus d'Afghanistan, du Pakistan, d'Iran et d'ailleurs, échouaient dans le Centre de la Croix Rouge Internationale dans l'espoir de franchir la Manche vers l'Angleterre. A la nuit tombante, ils sortaient, tels de véritables fantômes errant, vers la ville ou vers le port pour tenter de se glisser dans un camion ou dans un bateau. Près de huit années après, ce centre n'existe plus, ni ce qu'on a appelé "La Jungle", mais les migrants continuent d'affluer de partout aux portes de l'Europe ou dans des zones européennes devenues des sortes de "lieux de transit". Ce phénomène de société grandissant ne va pas cesser.
J'ai voulu continuer le travail photographique que j'avais amorcé en 2001 à Calais et l'étendre à d'autres territoires: Italie, Malte, Grèce dans un premier temps. Crédits. Ma première nuit en France : le récit. Portraits d'un Nouveau Monde. Un village rural devenu une cité de béton Jusqu'à la fin des années 60, Chanteloup-les-Vignes était un village de 2500 habitants.
Avec la construction du grand ensemble immobilier et de la cité de la Noé en 1971 par Emile Aillaud, Chanteloup devient la ville rêvée pour les ménages modestes et les familles immigrées dont la plupart des pères travaillent à l'usine Peugeot de Poissy, à dix minutes de voiture. A 30 kilomètres de Paris, proche d'un bassin économique en plein essor, Chanteloup voit sa population quadrupler en moins de dix ans. A l'époque, l'architecture y est novatrice et moderne. Les appartements sont tout neufs et lumineux. Aujourd'hui, la ville compte près de 10 000 habitants. L'utopie née de la construction de cette ville nouvelle s'est pourtant estompée d'années en années, avec le ralentissement de la croissance économique.
Le tournage du film « La Haine » par Mathieu Kassovitz en 1995, a marqué l'image de Chanteloup. Centre de rétention : la machine à expulser. Les bras de la France : les travailleurs maliens à l’abattoir Kermené en Bretagne : un webdocumentaire FRANCE 24. Nicolas Leblanc Nicolas Leblanc. Je t'aime moi non plus.