Luxe et génération Y : comment les marques de luxe nous séduisent-elles ? "Les marques de luxe doivent parvenir ainsi à recréer leurs cercles de happy fews. On aide parfois des étudiants sur des problématiques autour de la mode et du luxe…Et on a eu un véritable crush pour le travail de Fabienne Fong Yan, qui avec son mémoire de fin d’études à l’ISCOM intitulée « L’expression digitale des marques de luxe dans l’univers du web social« , est sortie major de promotion.
Fabienne met aujourd’hui son talent et sa simplicité au service des marques pour le compte d’une agence de communication. On n’a pas pu s’empêcher de lui laisser notre plume… Etre une marque de luxe sur les médias sociaux : comment continuer à faire de ses consommateurs des happy few ? A l’origine, le luxe appartenait aux happy few, ceux qui étaient initiés à cet univers élitiste et en avaient assimilé les codes. Tendances - Perspectives 2013 : tous les voyants du luxe seront-ils couleur émeraude ? Publié le 16 janvier 2013 Quelles sont les grandes tendances digitales et marketing d’aujourd’hui ou de demain dans le luxe?
Réponses de Louis Vuitton, Burberry, Emporio Armani, Givenchy, Jimmy Choo, Lancôme, Donna Karan, Mercedes et bien d’autres… sans oublier quelques campagnes plus confidentielles mais riches de sens. BLSTK Replay reviendra désormais chaque semaine sur les principales opérations dans le secteur. A quoi pouvons-nous nous attendre dans les mois à venir ? C’est justement l’objet de « Treizewatching », le focus de ce n° 31. Pantone 17-5641. Comme toujours, les experts de tous les domaines s’essaient également à des prédictions pour la nouvelle année. Sophie Perrier content manager @balistikart TAGS : BLSTK Replay / Luxe / Balistik Art Luxe : De la surface à l’interface Luxe : l'Amour est de retour Tribal Shopping : l’influence des tribus sur le Social Commerce Street2Luxe, quand les marques descendent dans la rue Rejoignez-nous et recevez chaque semaine le meilleur d'INFLUENCIA.
Quelles tendances pour le luxe en 2014? Le monde change, le luxe aussi.
Les marques de luxe qui connaîtront le succès en 2014 sont celles qui appliqueront la segmentation la plus pertinente, investiront dans les nouvelles technologies dans le but d’améliorer leur expérience de marque et tireront profit des médias digitaux et sociaux pour interagir avec leurs clients. Définir le luxe Le luxe est en pleine mutation et le sera toujours en 2014. On attribue au luxe des nuances de sens selon les langues, quitte à le rendre méconnaissable. Le luxe désigne-t-il des produits de grande qualité réalisés par des artisans dotés d’un savoir-faire unique, accessibles uniquement à un petit nombre ? Intégrer la technologie Les marques de luxe auront de plus en plus recours aux nouvelles technologies pour créer des expériences plus engageantes pour leurs publics.
Saisir les opportunités digitales En 2014, la grande ruée vers le digital prendra place. Lulu Raghavan. La crise n’épargne plus le luxe. Longtemps champion de la croissance et de la rentabilité, le secteur du luxe est affecté ces derniers mois par une baisse de régime en Asie, des achats de touristes ralentis en Europe et des effets de change qui pèsent sur les comptes.
Le numéro un mondial LVMH a publié cette semaine des résultats semestriels en recul, même si la performance du groupe, qui détient Louis Vuitton, Givenchy, Céline, Loro Piana, Guerlain et pléthore de champagnes prestigieux reste solide. Le marché se tasse en Asie Comme d’autres, LVMH a vu ses ventes plonger au deuxième trimestre au Japon, gros marché du luxe, en raison d’un effet mécanique post-relèvement de la TVA dans ce pays. En temps de crise, le luxe redevient durable. C'est un sujet délicat qui revient souvent dans les commentaires de ce blog : l'écologie serait un truc de bobos, et seuls les plus riches pourraient se payer le luxe d'une consommation responsable.
Mais interrogeons l'épineuse question du luxe, justement: ce secteur de l'économie ne connaît pas la crise et son image est souvent associée à celle des paillettes, du strass et de l’argent qui coule à flot, entre mélange d’excès en tout genre et de futilité assumée. Ceci étant, le vrai luxe n’est-il pas plus durable qu’on ne le pense ?
D’ailleurs, quels sont les vrais luxes aujourd’hui ? Un luxe sans classe Tiré par la hausse de la consommation des riches chinois ou brésiliens, le secteur du luxe connaît une croissance impudique: ses ventes ne cessent de croître, et le fossé continue de se creuser entre les plus riches et les plus pauvres. Le marché du luxe ne connaît pas la crise. Le marché mondial du luxe reste épargné par la crise avec une hausse prévue de 4 à 5% du chiffre d’affaires du secteur en 2013 après une croissance de 10% l’an passé, a annoncé jeudi l’observatoire Altagamma, sur la base d’une étude de la firme Bain and Company.
«Les perspectives du marché mondial sont positives malgré la faiblesse de beaucoup d’économies du monde et un léger ralentissement du rythme au premier trimestre 2013», a annoncé Altagamma dans un communiqué, à propos d’un marché qui a engrangé 212 milliards d’euros de chiffre d’affaires l’an passé. Le luxe ne connait pas la crise. Le luxe continue d’ignorer la conjoncture mondiale déprimée et même les craintes d’un ralentissement de la demande en Chine, son principal moteur de croissance, comme en attestent les résultats insolents des groupes du secteur.
Après Hermès et Swatch, le numéro un mondial LVMH et le groupe PPR, propriétaire notamment de Gucci, ont délivré à leur tour jeudi des semestres de haute facture. Leurs patrons respectifs, Bernard Arnault et François-Henri Pinault, se sont même déclarés confiants dans la capacité de leurs groupes à gagner de nouvelles parts de marché d’ici la fin de l’année. Autrement dit à améliorer encore leurs profits et ce, a souligné LVMH, malgré «un environnement économique incertain en Europe».
Les ventes de Louis Vuitton, qui draine la moitié des profits du groupe, ont encore enregistré une croissance à deux chiffres.