Codex, Illuminated codex, Facsimile, Chansonnier Cordiforme, Montchenu. Synopsis: Jean de Montchenu, a nobleman, apostolic prothonotary, Bishop of Agen (1477) and later of Viviers (1478-1497), commissioned this codex of medieval Italian and French love songs, living up to his reputation as a gallant. The closed book is shaped like a heart which opens into a butterfly composed of the hearts of the two lovers who send love messages to one another in each one of the songs. Obviously, the heart shaped manuscript is extremely rare, but this one is even more unusual because, while there are other books that open into the shape of a heart, there are no others like this one which opens into two or which are as beautifully decorated. The songs in French and Italian, written for different voices, are the work of some of the finest medieval composers. «A la recherche de l'empreinte perdue », un jeu de rôle patrimonial - Patrimoine de France.
Le Pays touristique de l’Oust à Brocéliande lance début février un circuit inédit d’interprétation du patrimoine : équipés d’un smartphone avec géolocalisation, les joueurs-randonneurs parcourent les Landes de Lanvaux à la recherche d’indices leur permettant de résoudre des énigmes pour trouver l’empreinte perdue. Une réalité augmentée associant animations 3D, interactivité et mobilité pour découvrir un territoire de 13 communes. Dans le décor naturel du Pays touristique de l’Oust à Brocéliande, ce jeu de rôle à la frontière de la réalité et de la virtualité met le joueur-randonneur au cœur de l’histoire : il joue le rôle du personnage principal et peut même faire intervenir certains habitants.
Selon les lieux et les circonstances, le Smartphone baptisé « Bidule », fait renaître des personnages historiques ou légendaires, reconstitue les sites aujourd’hui disparus et nous plonge dans les ambiances légendaires. S'amuser le temps d’un week-end ou pendant un plus long séjour en... PATRIMOINE DECOUVERTE. Le siècle de François 1er, du roi guerrier au roi mécène - Patrimoine de France. Roi de Guerre ou Roi des lettres ? Les deux visages de François 1er Après celles de la BNF de mars à juin, et de Blois, de juin à octobre, cette troisième rétrospective permet de voir ce que les deux autres ne pouvaient montrer : les œuvres conservées à Chantilly et interdites d’en sortir, de par la volonté expresse du Duc d’Aumale, fût-ce le temps d’une exposition.
À commencer par l’unique représentation d’époque de la bataille de Marignan, une petite peinture sur parchemin, assez fidèle selon les experts, où on voit le Roi chargeant sur son destrier blanc caparaçonné de bleu fleurdelisé. L’œuvre est attribuée au “maître de la ratière“, un artiste italien qui signait ses œuvres d’une petite souricière. Comme à Blois, l’exposition se compose surtout de livres dont le plus emblématique est le Diodore de Sicile traduit en 1534 par Antoine Macaut, dont le frontispice, utilisé pour l’affiche, montre le roi dans son rôle de mécène écoutant attentivement l’auteur lui présenter son ouvrage.
Le Concept - La Vit'Visite. Ostia Antica, harbour of ancient Rome: a computer reconstruction. Trouver et réserver facilement des visites guidées - Guideapolis. Viviers - Association Nationale des Villes et Pays d'art et d'histoire et des Villes à Secteur Sauvegardé et Protégé. Viviers Viviers, vue aérienne © P. Mortain 3917 Vivarois Située au bord du Rhône sur une zone de passage, entrée de la vallée du Rhône vers les Cévennes et le Massif central, Viviers a donné son nom au Vivarais. Elle fut ville épiscopale dès le Ve siècle, ce qui a créé sa richesse et explique le nombre de ses monuments classés : ville médiévale aux vestiges très présents, Maison des Chevaliers (façade Renaissance), hôtels particuliers du XVIIIe s., dont l’actuel hôtel de ville et l’évêché, ensemble urbain peu transformé par le développement industriel qui s’est effectué en périphérie.
Viviers est le berceau des cimenteries Lafarge et bénéficie d’un patrimoine industriel signifiant : carrières de calcaire, cités ouvrières, fours à chaux… Elle jouit également d’un riche patrimoine naturel par sa situation au bord du fleuve et contre les collines à végétation méditerranéenne. Génèse et contexte général du projet Rue du Château © P Penelon Outils de protection ou de gestion du patrimoine Projets.
Les dolmens de l'Ardèche, un patrimoine riche et méconnu - France 3 Rhône-Alpes. Le saviez-vous ? L'Ardèche est l'un des départements français qui compte la plus grande concentration de dolmens, des sépultures collectives érigées de la fin du Néolithique au début du Bronze ancien. Plus de 800 dolmens ont été recensés sur l'ensemble du département. DM Publié le 02/05/2014 | 10:20, mis à jour le 02/05/2014 | 10:20 © France 3 RA Pour faire connaître ce patrimoine culturel unique et méconnu vieux de plus de 5 000 ans, une association ardéchoise oeuvre depuis une quinzaine d'années pour leur mise en valeur...
Les dolmens de l'Ardèche, un patrimoine méconnu Le reportage de H.Chapelon et N.Ferro - Edition 19/20 Rhône-Alpes du 01/05/14 Ces dolmens se répartissent principalement dans le Bas-Vivarais avec quatre grandes zones :Bourg-Saint-Andéol – Bidon – Saint-Remèze – Orgnac ;Saint-André-de-Cruzières – Grospierres – Saint-Alban-Auriolles ;Saint-Paul-le-Jeune – Banne – Berrias – Casteljau ;Labeaume - Lablachère. L'abbatiale de Cruas, historique. L'abbatiale fut construite au débouché du ravin du ruisseau de Crûle, au-dessus du lit majeur du Rhône. Le site fut occupé au moins depuis la fin du Ier siècle. Sous l'actuelle église abbatiale ont été retrouvés les vestiges d'une villa gallo-romaine, installée sur l'itinéraire de Lyon-Vienne à Nîmes, l'ancienne voie romaine "d'Antonin-le-Pieux", aujourd'hui la N86.
Cette villa fut alors détruite par un incendie. A partir de la fin du Vème siècle, le site fut consacré à la religion avec la construction du premier édifice paléochrétien, à nef unique terminée à l'est par une vaste abside, qui reprend en partie les murs de la villa. Dès lors, plusieurs édifices vont se succéder à commencer par l'abbaye fondée en 804 par les moines bénédictins, à l'initiative d'Eribert, comte du Vivarais, qui sera détruite peu de temps après par une crue de la Crûle. Caverne du Pont d'Arc - Grotte Chauvet Pont d'Arc (UNESCO)
Caverne du Pont d'Arc - Département de l'Ardèche. Accueil - MUSEAL. MuséAl, musée archéologique d'Alba - Département de l'Ardèche. Le Quartier Canonial. Histoire et actualité de l'Ardèche - Site de l'association : Mémoire d'Ardèche et Temps Présent. Accueil - Centre International Construction et Patrimoine de Viviers en Ardèche - Salon de la restauration du patrimoine et de l'éco-réhabilitation. La Revue du Vivarais - Revue d'histoire en Ardèche. Périodique consacré à l'étude du passé en Ardèche. Patrimoine d'Ardèche : églises, châteaux, villes et villages, sites archéologiques, sites naturels... Art-roman.net. Egilse romane. Leonora Carrington. Leonora Carrington OBE (6 April 1917 – 25 May 2011[1]) was a British-born–Mexican artist, surrealist painter and novelist.
She lived most of her adult life in Mexico City, and was one of the last surviving participants in the Surrealist movement of the 1930s.[2] Early life[edit] Carrington was born in Clayton Green, Chorley, Lancashire,[3][4] England. Her father was a wealthy textile manufacturer,[3][5] and her mother, Maureen (née Moorhead), was Irish.[3] She had three brothers: Patrick, Gerald, and Arthur.[6][7] Educated by governesses, tutors, and nuns, she was expelled from two schools, including New Hall School, Chelmsford,[8] for her rebellious behaviour, until her family sent her to Florence where she attended Mrs Penrose's Academy of Art. Her father opposed her career as an artist, but her mother encouraged her. She returned to England and was presented at Court, but according to her, she brought a copy of Aldous Huxley's Eyeless in Gaza (1936) to read instead. Max Ernst[edit] Max Ernst. Max Ernst (2 April 1891 – 1 April 1976) was a German painter, sculptor, graphic artist, and poet.
A prolific artist, Ernst was a primary pioneer of the Dada movement and Surrealism. Biography[edit] Early life[edit] Max Ernst was born in Brühl, near Cologne, the third of nine children of a middle-class Catholic family. His father Philipp was a teacher of the deaf and an amateur painter, a devout Christian and a strict disciplinarian. He inspired in Max a penchant for defying authority, while his interest in painting and sketching in nature influenced Max to take up painting himself.[1] In 1909 Ernst enrolled in the University of Bonn, studying philosophy, art history, literature, psychology and psychiatry. In 1914 Ernst met Hans Arp in Cologne. Dada and surrealism[edit] Ernst was demobilized in 1918 and returned to Cologne. Ernst and Luise's son Ulrich 'Jimmy' Ernst was born on 24 June 1920;[4] he also became a painter. World War II and later life[edit] L'Ange du Foyer, (1937) Paintings[edit] Galerie Hus - Biographie de Max ERNST - Biographie détaillée.
Max Ernst. Peintre allemand, naturalisé américain, puis français (Brühl 1891-Paris 1976). Une inspiration ouverte à tous les courants artistiques nouveaux En 1909, Max Ernst commence des études de philosophie à l'université de Bonn ; il est attiré par la psychopathologie et l'art des aliénés. Il lit Freud, Max Stirner, Dostoïevski, Nietzsche, mais c'est la peinture qui devient sa raison de vivre. Ouvert à tous les courants nouveaux, une évolution rapide le mène de ses premières peintures des années 1909-1913, de style expressionniste, jusqu'au surréalisme. Dans l'intervalle se situe la période de la guerre : à la protestation de dada, antimilitariste, antibourgeoise, anticulturelle, Max Ernst prend une part active, et, grâce à lui, Cologne devient l'un des foyers actifs du mouvement. Une production très riche servie par les techniques les plus variées La production de l'artiste est de plus en plus riche ; sa vie n'est que création continue, et il suffit d'indiquer quelques repères biographiques.
1937 / 1940 : Max Ernst, à Saint-Martin d'Ardèche et au camp des Milles. Leonora Carrington et Max Ernst (archives Lee Miller) Né en 1891 à Brühl, une petite ville de la province rhénane, Max Ernst s'établit en France en 1921. Sept années auparavant, il était mobilisé en tant qu'artilleur ; la violence et la cruauté du premier grand conflit mondial l'ont durement marqué. Vivant en France, il n'avait pas directement ressenti l'ascension du III° Reich, pas plus que la virulence d'un appareil de propagande dont il devint l'une des cibles. Sur la photographie d'un article publié par la presse viennoise pendant l'été de 1937, on reconnaît Hitler et Goebbels qui visitent l'exposition de L'Art dégénéré.
Ils ne se sont pas attardés devant les travaux de Chagall, Kandinski, Klee et Picasso, ils poursuivent leur conversation dans la proximité d'un tableau de Max Ernst qui s'appelle La Belle Jardinière. Juin 1937 / Leonora Carrington. Quelques mois après leur rencontre, Leonora Carrington et Max Ernst décident de vivre à l'écart de la capitale. Epilogues.
Les gorges de l’Ardèche | Villes et Pays d'art et d'histoire en Rhône-Alpes. Viticulture et lavandiculture sur la commune de Bidon / © Thibaut Roy Vue du ciel de Saint-Martin-d’Ardèche / © Tristan Zilberman Vue du ciel sur les gorges, vers l’ouest / © Tristan Zilberman. Villes et Pays d'art et d'histoire en Rhône-Alpes | Art et Histoire en Rhône-Alpes. Le patrimoine, au coeur des français | Actualités. Dans un monde sans cesse marqué par les tumultes, le bruit et parfois la fureur, le patrimoine constitue une valeur sûre. La Fondation du patrimoine constate que nous y sommes de plus en plus attachés, et que, grands-parents, parents, enfants s’y retrouvent pour fêter sa beauté. Le patrimoine rassemble, fédère et porte notre regard vers l’avenir et la clarté. Le patrimoine c’est aussi une richesse, et une source de développement économique, de revitalisation des territoires et d’aménagement de ces derniers.
En 2015, les souscriptions ont permis de générer 143,4 millions d’euros de travaux, ce qui représente 4 245 emplois créés ou maintenus dans le secteur du bâti ancien. Ainsi, la Fondation du patrimoine devrait réaliser en 2015 une année historique en collectant près de 13,5 millions d’euros de dons, soit 26% de plus qu’en 2014 ! Les dons faits à la Fondation du patrimoine étant fléchés, chacun peut choisir d’affecter son don à l’édifice qui lui est proche. Montant du don moyen : Ardèche.