L’OMT met en évidence le potentiel du tourisme interne au service du redressement économique des destinations partout dans le monde. La nouvelle décennie sera-t-elle celle du tourisme lent. Soucieux de la préservation des ressources, certains vacanciers prennent le contre-pied du tourisme de masse et mettent le cap sur des destinations plus proches de leur lieu de vie.
En privilégiant la proximité et la sobriété, ils s’initient au « tourisme lent », modèle touristique dont l’émergence est palpable comme en témoigne certains événements ayant eu lieu en 2019 (première journée nationale du slow-tourisme à Samatan dans le Gers[1], année du slow-tourisme en Italie[2]). A ce jour, il reste néanmoins peu théorisé et défini en France, en dehors d’« un tourisme peu émetteur de CO2, synonyme de patience, de sérénité, de découvertes approfondies, d'améliorations des connaissances et des acquis culturels. » (BABOU, CALLOT, 2009).
Face à cette tendance, cet article revient sur l’organisation actuelle du tourisme en France et questionne dans ce contexte, les perspectives d’évolution du tourisme lent dans la prochaine décennie. Dublin : d’anciens SDF deviennent guides touristiques. Une association irlandaise baptisée « My Streets » permet à des sans-abris de devenir guides touristiques.
Une manière pour eux de se réinsérer et pour les touristes de bénéficier d’une visite originale et atypique de Dublin. Faute de logements à prix abordables, l’Irlande a enregistré 178% de sans-abris supplémentaires ces cinq dernières années. Face à ce triste constat, Austin Campbell, un travailleur social, a eu l’idée de créer une association qui vient en aide et recrute des SDF pour devenir guide touristique. « My Streets » délivre aux participants une formation de trois mois incluant l’histoire de la ville mais aussi des cours d’expression orale. « Cela leur donne une chance de gagner de l’argent, tout en racontant la véritable histoire du sans-abrisme derrière les statistiques » résume Austin Campbell.
A Dublin, les SDF qui, grâce à cette association, ont retrouvé un toit et confiance en eux facturent la visite guidée 40 euros. Publié par David Savary. Covoyage : et si vous partiez avec des inconnus. Occitanie. Un collectif dénonce la politique touristique "climaticide" de la Région. « Nous ne voulons pas être les tête de gondoles d’une politique climaticide ».
Dans une lettre ouverte publiée début août 2019 et adressée, entre autres, à Carole Delga, présidente de la Région Occitanie et à Elisabeth Borne, ministre de la Transition écologique, un collectif de citoyens d’Occitanie dénonce la politique touristique mise en œuvre par la région, notamment via le label Grands sites Occitanie : L’entreprise de Joseph Durand propose des soirées-étape sur un « voilier-refuge » aux randonneurs et aux cyclotouristes qui parcourent le littoral basque... Slow Train : on monte à bord d'un TER ou d'un Corail pour s'offrir un bain de nature. Synthèse de l'étude DGE sur les entreprises innovantes du slow tourisme. Des routes du patrimoine pour découvrir l'Europe hors des sentiers battus. L'Unesco recommande de voyager autrement avec ses nouvelles "Routes du patrimoine de l'Europe".
Depuis l'époque antique ou romantique, l'heure est au tourisme durable. Envie de découvrir l'Europe autrement ? La nouvelle plateforme World Heritage Journeys (Sur la route du patrimoine mondial, en français) de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco) est destinée à promouvoir le tourisme durable. Ces nouveaux itinéraires sont censés contribuer à la sauvegarde du patrimoine naturel et architectural. Parmi les 350 sites européens du patrimoine mondial, 34 ont été choisis.
« Slow vélo » : quand cyclisme rime avec plaisir. Slow Tourisme. Le soutien à des pratiques de tourisme durable.
Développement durable : le département de l'Aube développe le “Slow Tourisme Lab” - France 3 Grand Est. Créé en partenariat avec la technopole de l’Aube et le comité départemental du tourisme, le "Slow Tourisme Lab" est le 1er incubateur au monde de start-up et d’entreprises voulant innover dans le tourisme durable.
Grâce à un panel d’outils, un accompagnement particulier et une mise en réseau des différents acteurs, il permet de détecter les projets innovants en matière de tourisme durable, et de les développer. Le but : favoriser "l’itinérance douce", c'est-à-dire valoriser les savoirs faire locaux et l’économie collaborative tout en préservant le patrimoine local. L’Aube souhaite développer son tourisme de manière "douce", comme le dit Didier Leprince, président du comité du tourisme de l’Aube : "Exit le tourisme de masse, aujourd’hui c’est un tourisme deproximité d’authenticité, on veut rencontrer les gens du territoire qu’on vient découvrir, on veut connaitre leur histoire.
" Tourisme vert en Bretagne : la nouvelle vague ? Voyage responsable et tourisme durable. Le “slow tourisme” prôné dans la Drôme. Pour faire vivre une expérience extraordinaire au client: savoir doser ses attentes et gérer ses perceptions. On parle de l’effet WOW depuis déjà un bon moment, mais qu’est-ce qui le provoque chez le consommateur?
La satisfaction du client se mesure par la différence entre ses attentes et sa perception des résultats. Un produit ou un service est jugé excellent parce qu’il surpasse les attentes du client; celles-ci sont évaluées en fonction de la promesse faite. Donc, pour un WOW assuré, promettez moins, faites-en plus et terminez l’expérience par de l’inattendu ou un moment fort. L’équation est simple. Au lieu de penser produit, pensez expérience. D’entrée de jeu, la Commission canadienne du tourisme (CCT) explique, dans sa boîte à outils, la différence entre les deux notions suivantes: le produit touristique, c’est ce que le voyageur achète tandis que l’expérience touristique, c’est ce dont il se souvient.
La boîte à outils fournit des conseils aux entreprises de toutes tailles afin qu’elles puissent améliorer l’expérience touristique de leur produit. Comment la mesurer? Une méthode toute simple: deux brèves questions qui exigent un oui ou un non comme réponse. Comment l’améliorer? En y intégrant des éléments inattendus, de l’interaction sociale, des avenues d’apprentissage. Une méthode simple pour évaluer la satisfaction du client Deux petites questions à poser au client pour évaluer son expérience touristique: Markete ta destination pour Noël ! Réflexion du jour, bonjour !
Cela ne vous a pas échappé que nous étions en période électorale d’approche des fêtes de fin d’année… les vacances de la Toussaint sont terminées, l’heure d’hiver a pointé le bout de son nez, vos boites à lettres ont pour la plupart déjà accueilli les nombreux et traditionnels catalogues de jouets… oui mais… et vous, vous faites quoi pour les fêtes ? Non, je ne suis pas en train de vous inviter chez moi… c’est fêtes en famille uniquement mais plus sérieusement, vos produits, vos packages, votre destination… vous les mettez en avant pour les fêtes ?
Oui, vous me voyez venir… on va parler stratégie ! Votre stratégie commerciale. Guide spirituel pour le tourisme religieux. L’évolution du slow travel - Réseau de veille en tourisme. À l’ère de la rapidité et de l’instantanéité, le slow travel s’impose comme un contre-balancier salutaire.
Souvent caractérisé par des voyages de proximité, une faible empreinte écologique et une mise en valeur de l’expérience touristique comme telle, le slow travel suscite encore des débats quant à ses éléments de définition. Difficiles à cerner et à mesurer, les tendances sociétales actuelles consolident néanmoins sa raison d’être et sa croissance. Slow tourisme - Définitions des formes de tourisme responsable. Le slow tourisme est un nouveau concept de voyage qui s’inspire du slow food, un mouvement incitant les gens à réapprendre à manger et à redécouvrir les plaisirs de la table pour faire face à la malbouffe et au fast-food.
Il s’agit de prendre le temps de découvrir une destination, d’apprécier les paysages, en privilégiant notamment des destinations proches et des moyens de transports moins polluants. Le slow tourisme est de plus en plus tendance. Nombreux sont les gens qui, aujourd’hui, deviennent des adeptes du tourisme lent.