L'artillerie française dans la campagne de 1809. La victoire de Wagram puis celle de Znaïm ayant marqué la fin du conflit avec l'Autriche, Napoléon peut désormais se consacrer au règlement diplomatique de cet affrontement. Dans le domaine militaire, un bilan s'impose, en particulier pour l'artillerie dont le rôle se transforma radicalement. Une révolution totale « Dans la guerre de siège comme dans celle de campagne, c'est le canon qui joue le principal rôle. Il a fait une révolution totale […]. C'est avec l'artillerie qu'on fait la guerre. » (1) La véracité de cette affirmation est corroborée par un certain nombre de constatations.
L’utilisation au combat L’évolution du concept d’emploi Au bout du compte, cette improvisation révèle une évolution tactique. Le recours systématique à une grande batterie Ce bref exposé des faits amène cependant à formuler un certain nombre de réflexions. Notes 1) Napoléon Ier, cité par J. Titre de revue : Revue du Souvenir Napoléonien Numéro de la revue : n°481 Mois de publication : Octobre-décembre. Tube pneumatique. Terminal de pneumatique moderne utilisé dans les banques ou les supermarchés. Des navettes vides se trouvent à la gauche du terminal servant à les injecter dans la canalisation.
Dans le haut du terminal, une navette est en partie introduite. Le panier, qui apparaît partiellement dans le bas de la photo, sert à recevoir les navettes. Un tube pneumatique, appelé aussi transport par tube pneumatique, est un système propulsant par différence de pression des navettes cylindriques, lesquelles servent à transporter des objets. Histoire[modifier | modifier le code] Tube pneumatique, modèle d'après Héron d'Alexandrie. Le principe du pneumatique est décrit par Héron d'Alexandrie au cours du Ier siècle apr. Au XIXe siècle : la poste pneumatique[modifier | modifier le code] À l'époque victorienne, les pneumatiques étaient employés pour transmettre des télégrammes depuis les stations de télégraphe jusque dans les immeubles alentour[réf. nécessaire].
Projets[modifier | modifier le code] Tabulateur. Mouvement perpétuel. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mouvement perpétuel désigne l'idée d'un mouvement (généralement périodique), au sein d'un système, capable de durer indéfiniment sans apport extérieur d'énergie ou de matière, ni transformation irréversible du système. Leurs mécanismes ne pouvaient fonctionner conformément à leurs espérances, car les connaissances techniques de l'époque ne permettaient guère de réduire de façon significative les phénomènes de frottement entre les pièces fixes et pièces mobiles.
On sait que si un mouvement perpétuel peut exister (en théorie) sans aucune énergie apportée, il ne peut devenir une source d'énergie : en effet, cela revient à en consommer sans en avoir ajouté, alors que d'après le premier principe de la thermodynamique elle ne peut ni être créée ni être détruite mais uniquement être transformée. L'obtention d'un « moteur perpétuel », source d'énergie utilisant un mouvement perpétuel, est donc impossible (sinon, le mouvement n'est plus perpétuel). Pile Zamboni. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description[modifier | modifier le code] Des piles Zamboni, à l'aide de méthodes plus modernes, ont été fabriquées jusque dans les années 1980 pour produire une tension d'accélération dans les tubes servant aux intensificateurs de lumière, qui trouvent des applications dans le domaine militaire (par exemple, jumelles de vision nocturne).
Au début du XXIe siècle, ces tensions sont obtenues à l'aide de circuits électroniques onduleurs alimentés par des piles conventionnelles. Le fameux Oxford Electric Bell, qui sonne en continu depuis 1840, serait alimenté par une paire de piles Zamboni[3]. Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Zamboni pile » (voir la liste des auteurs) Voir aussi[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Pile voltaïque Lien externe[modifier | modifier le code] Oxford Electric Bell. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’Oxford Electric Bell en décembre 2009 L'Oxford Electric Bell (que l'on peut traduire par « Carillon électrique d'Oxford » ou « Sonnerie électrique d'Oxford ») ou la Pile sèche de Clarendon (en anglais Clarendon Dry Pile) est un carillon électrique expérimental qui a été installé au Laboratoire Clarendon en 1840.
Alimenté par deux piles sèches scellées, il a continué à sonner depuis cette année-là (avec quelques courtes interruptions dues à un excès d'humidité). En 2009, il est installé dans le foyer du laboratoire à l'Université d'Oxford. En 2008, il continuait à sonner, mais de façon quasi inaudible, car il est installé derrière deux vitres.
Ce type d'expérience jouait un rôle important pour déterminer la véracité de certaines théories sur l'action électrique : la théorie de l'électrification par contact (une théorie désuète qui s'appuyait sur certains principes en vigueur à une certaine époque) et la théorie électrochimique. Horloge de Beverly. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'horloge de Beverly dans le foyer du département de physique de l'université d'Otago. Le mécanisme interne de l'horloge de Berverly avec les chaînes, les pignons et les pendules visibles. Fonctionnement[modifier | modifier le code] Le pendule Atmos est un modèle similaire commercialisé. Bien que l'horloge n'ait pas été remontée depuis 1864, elle s'est arrêtée plusieurs fois, lors du nettoyage de mécanisme, à cause de pannes, lors du déménagement du département de physique et quand la température n'a pas assez varié.
Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Beverly Clock » (voir la liste des auteurs)(en) L.E.S. Articles connexes[modifier | modifier le code] Expérience de la goutte de poix. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de la goutte de poix à l'université du Queensland, démontrant la viscosité du bitume. Expérience à l'université du Queensland[modifier | modifier le code] Ainsi que le répertorie le Livre Guinness des records, il s'agit de la plus longue expérience en laboratoire fonctionnant en continu au monde. On estime qu'il reste suffisamment de poix dans l'entonnoir pour que l'expérience continue durant encore au moins un siècle. Deux autres expériences, elles aussi toujours en cours, sont plus anciennes que celle-ci : la Beverly Clock et l'Oxford Electric Bell mais ont connu plusieurs courtes interruptions depuis 1937.
À l'origine, l'expérience n'a pas été réalisée sous des conditions atmosphériques spécifiques, et du fait des variations de température au fil des saisons, la valeur de la viscosité changeait. Chronologie[modifier | modifier le code] Graphe : nombre de mois vs no de goutte. Voir aussi[modifier | modifier le code] Oriental Telephone Company. The Oriental Telephone Company "was established on January 25, 1881, as the result of an agreement between Thomas Edison, Alexander Graham Bell, the Oriental Bell Telephone Company of New York and the Anglo-Indian Telephone Company, Ltd.
The company was licensed to sell telephones in Greece, Turkey, South Africa, India, Japan, China, and other Asian countries. "[1] Histoire de la soierie à Lyon. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L’histoire de la soierie à Lyon comprend l'étude de l'ensemble des acteurs de l'industrie de la soie à Lyon. Le secteur soyeux lyonnais tout au long de son histoire comprend toutes les étapes de la fabrication et de la vente d'un tissu en soie à partir de la soie grège : filature, création d'un motif, tissage, apprêt, commercialisation.
L'ensemble du secteur est dénommé la « Fabrique ». L'arrivée, au début du XVIIe siècle, du métier à la tire permet à la Fabrique de maîtriser les tissus à motifs. Son essor européen commence avec le règne de Louis XIV, la mode de la cour de Versailles s'imposant à toutes les autres cours européennes, et entraînant la soie lyonnaise du même coup. Au XVIIIe siècle, les soyeux lyonnais maintiennent leur position grâce à de constantes innovations techniques, des dessinateurs de qualité et une innovation stylistique permanente. La soie en Europe avant son arrivée à Lyon[modifier | modifier le code] Grace Hopper. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Grace Murray Hopper, née le à New York et morte le dans le comté d'Arlington, est une informaticienne américaine et amirale de la marine américaine. Elle est la conceptrice du premier compilateur en 1951 (A-0 System) et du langage COBOL en 1959. Biographie[modifier | modifier le code] Grace Brewster Murray est née le 9 décembre 1906 à New York.
Elle épouse en 1930 Vincent Hopper, dont elle divorce en 1945. Elle enseigne les mathématiques au Vassar College et obtient un doctorat de mathématiques en 1934 à l'université Yale. En 1943, elle s'engage dans la marine américaine et est affectée à l'équipe de Howard Aiken pour travailler sur le Harvard Mark I. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle quitte le service actif de la marine, mais continue à travailler au développement des ordinateurs Harvard Mark II puis Harvard Mark III. Grace Hopper au clavier de l'UNIVAC, vers 1960.
Hommage[modifier | modifier le code] MS Selandia. MS Selandia MS Selandia was the most advanced ocean-going diesel motor ship in her time. "Selandia" is the Latin name for the Danish island of Sjælland. The first Selandia (1912) was ordered by the Danish trading firm East Asiatic Company for service between Scandinavia, Genoa, Italy, and Bangkok, Thailand.
She was built at Burmeister & Wain Shipyard in Copenhagen, Denmark, and launched on 4 November 1911 before embarking on her maiden journey from Copenhagen to Bangkok on 22 February 1912. Selandia did not have a funnel; instead exhaust from her engines escaped through the rear mast. However, this claim was significantly challenged in 1996. She is frequently referred to as "the world's first ocean-going diesel-powered ship", as previous powered vessels were driven by steam. She was sold to Panama in 1936 and renamed Norseman,[5] and Tornator in 1940.[1] Later ships named Selandia[edit] Books[edit] Films[edit] [edit] Sources[edit] Stapersma, Prof. Ada Lovelace. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ada Lovelace Ada Augusta Byron King (1836). Ada Lovelace, de son nom complet Augusta Ada King, comtesse de Lovelace, née Ada Byron le 10 décembre 1815 à Londres et morte le 27 novembre 1852 à Marylebone dans la même ville, fille de Lord Byron, est une pionnière de la science informatique.
Elle est principalement connue pour avoir réalisé le premier programme informatique, lors de son travail sur un ancêtre de l'ordinateur : la machine analytique de Charles Babbage. Dans ses notes, on trouve en effet le premier algorithme publié[Woolley 1], destiné à être exécuté par une machine, ce qui fait considérer Ada Lovelace comme « le premier programmeur du monde »[1]. §Biographie[modifier | modifier le code] §Environnement familial[modifier | modifier le code] Elle se marie en 1835 avec William King (en), 1er comte de Lovelace.
§Mémoire sur la machine de Babbage[modifier | modifier le code] Traduction par Lovelace de Analytical Engine de Menabrea. Machine analytique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La machine analytique (analytical engine en anglais) est une machine à calculer programmable imaginée en 1834 par le mathématicien anglais Charles Babbage. Il ne la réalisera jamais (sauf pour un prototype inachevé), mais il passera le reste de sa vie à la concevoir dans les moindres détails. Le plus jeune de ses fils, Henry Babbage, en construira l'unité centrale (le moulin) et l'imprimante de 1880 à 1910. C'est pendant le développement d'une machine à calculer destinée au calcul et à l'impression de tables mathématiques (machine à différences) que Babbage eu l'idée d'y incorporer des cartes du métier Jacquard, dont la lecture séquentielle donnerait des instructions et des données à sa machine, et donc imagina, malgré des différences notables de fonctionnement (elle fonctionnait à la vapeur avec des roues et engrenages mécaniques), l'ancêtre des ordinateurs modernes.
Fonctionnement[modifier | modifier le code] Portail de l’informatique. Ordinateur ternaire. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'ordinateur ternaire Setun. Un ordinateur ternaire (ou ordinateur trinaire) est un ordinateur qui utilise, pour ses calculs, la logique ternaire (trois valeurs possibles) au lieu de l'habituelle logique binaire (deux valeurs possibles). Les ordinateurs ternaires sont très rares ; la quasi-totalité des ordinateurs utilise la logique binaire. Histoire[modifier | modifier le code] Le premier ordinateur ternaire électronique fut Setun, conçu en 1958 en Union soviétique à l'Université d'État de Moscou par Nikolaï Broussentsov (en)[3],[4]. En 1970, ce dernier conçut une version améliorée de Setun, nommée Setun-70[3]. Aux États-Unis, l'ordinateur ternaire Ternac fut développé en 1973. Notes et références[modifier | modifier le code] (en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Ternary computer » (voir la liste des auteurs) Portail de l’informatique.