Mandriva, OpenIndiania, UCS, Zential : focus sur les OS européens. « Il n’existe pas de systèmes d’exploitation sérieux en Europe ». Telle est l’excuse que nous entendons trop souvent lorsqu’il est demandé à certains grands comptes de basculer vers des solutions ‘souveraines’. Un tour sur DistroWatch montre toutefois que cette affirmation est on ne peut plus fausse. Le premier OS cité est Linux Mint, une offre certes basée sur Ubuntu, mais d’origine irlandaise. En 4e position, nous trouvons Mageia, un OS communautaire d’origine française, lui-même basé sur un autre système français, Mandriva Linux. En 6e position se place openSUSE, un OS lié à SUSE Linux Enterprise, développé par une société américaine, mais avec de profondes racines en Allemagne, son pays d’origine.
Mandriva en France Voilà pour les offres communautaires. Premier exemple de cette nouvelle stratégie, « Mandriva livre un OS serveur compatible Active Directory et Exchange ». Des offres Linux en Allemagne et en Espagne OpenIndiana au Royaume-Uni Minix, le petit OS du nord. Mandriva livre un OS serveur compatible Active Directory et Exchange. Berkeley Software Distribution. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Berkeley Software Distribution, abrégé en BSD, désigne en informatique une famille de systèmes d'exploitation Unix, développés à l'université de Californie à Berkeley entre 1977 et 1995 par un groupe de programmeurs qui comprend notamment Bill Joy, Marshall Kirk McKusick et Kenneth Thompson.
Historique[modifier | modifier le code] L'apparition des VAX, pour lesquels le seul UNIX disponible était 32/V, qui n'utilisait pas les fonctionnalités de mémoire virtuelle offertes par le VAX, poussa les étudiants de Berkeley à développer Virtual VAX/Unix, puis, en , 3BSD, composé des utilitaires standards de 32/V, du support nouvellement ajouté pour la mémoire virtuelle, ainsi que des programmes fournis avec 2BSD. En 1979, la DARPA cherchait à unifier les systèmes d'exploitation utilisés par les centres américains de recherche en informatique connectés au DARPAnet. Généalogie des systèmes Unix. Description[modifier | modifier le code] Licence BSD. FreeBSD. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. FreeBSD est un système d'exploitation UNIX libre. Le nom vient de l'association d'une part de free qui signifie à la fois « libre » et « gratuit » dans l'anglais courant, et d'autre part de Berkeley software distribution (BSD), l'UNIX développé à l'université de Berkeley.
Free prend un sens plus connoté dans ce nom : il signifie que le logiciel peut être utilisé gratuitement même pour un usage commercial, que les sources complètes sont disponibles et utilisables avec un minimum de restrictions quant à leur usage, leur distribution et leur incorporation dans un autre projet (commercial ou non), et enfin que n'importe qui est libre de soumettre son code source pour enlever un bug ou améliorer le logiciel, ce code étant incorporé aux sources après accord.
L'objectif du projet FreeBSD est de fournir un système qui peut servir à tout, avec le moins de restrictions possibles. Histoire[modifier | modifier le code] FreeBSD compte en novembre 2006 : SCO OpenServer. SCO OpenServer, previously SCO UNIX and SCO Open Desktop (SCO ODT), is a closed source version of the Unix computer operating system developed by Santa Cruz Operation (SCO), later acquired by SCO Group, and now owned by Xinuos.
History[edit] SCO UNIX/SCO Open Desktop[edit] SCO UNIX was the successor to SCO variant of Microsoft Xenix, derived from UNIX System V Release 3.2 with an infusion of Xenix device drivers and utilities. SCO UNIX System V/386 Release 3.2.0 was released in 1989 as the commercial successor to SCO Xenix. The base operating system did not include TCP/IP networking or X Window System graphics; these were available as optional extra-cost add-on packages. Shortly after the release of this bare OS, SCO shipped an integrated product under the name of SCO Open Desktop, or ODT. 1994 saw the release of SCO MPX, an add-on SMP package. At the same time, AT&T completed its merge of Xenix, BSD, SunOS, and UNIX System V Release 3 features into UNIX System V Release 4.
Versions[edit] OpenSolaris. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Suite à son acquisition de Sun Microsystems, le , Oracle Corporation a abandonné le projet[2],[3]. La fondation illumos a été créée pour poursuivre les développements du noyau. Dans le cadre de cette fondation, le projet OpenIndiana se propose de poursuivre les travaux réalisés par OpenSolaris. Principe de départ[modifier | modifier le code] Le principe de départ visait à réunir une communauté de développeurs Sun et non-Sun afin de créer et tester des outils, destinés à être déployés dans les futures versions de Solaris.
Critique[modifier | modifier le code] La licence utilisée était la CDDL 1.0, proche de la MPL. Les différentes versions[modifier | modifier le code] Le cadre: le projet Indiana[modifier | modifier le code] Le projet Indiana visait à fournir des livraisons d'OpenSolaris OS sous forme d'ISO à graver sur un CD-ROM. Les livraisons se sont succédé en fonction d’un cycle semestriel[8]. La conduite du projet[modifier | modifier le code] Solaris (système d'exploitation) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Solaris. Solaris est un système d'exploitation UNIX propriétaire développé à l'origine par Sun Microsystems.
Ce système s'appelle dorénavant Oracle Solaris depuis le rachat de Sun par Oracle en avril 2009. La première version, développée à partir de juin 1981 sous la direction de Bill Joy était basée sur 4.1BSD dont il était l'un des programmeurs. Le système était d'abord nommé SunOS. La seconde version, développée à partir de juillet 1992 était basée sur UNIX System V Release 4. Après Solaris 2.6, Sun Microsystems décida de changer à nouveau la numérotation de ses versions en supprimant le premier chiffre afin de nommer Solaris 7. En 2005, Sun Microsystems décida de rendre Solaris 10 public, y compris ses sources au travers de la licence CDDL sous le nom d’OpenSolaris.
Nombre important d'applications disponiblesStabilité et fiabilitéHomogénéité avec LinuxDisponible sur SPARC et x86 OpenSolaris. AIX. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Aix. AIX est le système d'exploitation de type Unix commercialisé par IBM depuis 1986. AIX est l'acronyme de Advanced Interactive eXecutive, mais seul l'acronyme est utilisé. AIX a été conçu pour IBM par INTERACTIVE Systems à partir de IN/ix basé sur Unix System V Release 2. La première version fut lancée en janvier 1986 avec l'ordinateur IBM RT-PC (en).
Le système fut porté sur les ordinateurs IBM PS/2 et IBM System/370. AIX est certifié conforme au standard UNIX 03 de l'Open Group[1]. Versions[modifier | modifier le code] Architectures supportées[modifier | modifier le code] AIX v1 -→ IBM PS/2 Micro Channel architecture PCs and IBM 6150 RT.AIX v2 -→ 6150-series IBM RT.AIX v3 -→ IBM POWER.AIX v4 -→ IBM PowerPC et PCI bus.AIX v5 -→ IA64. Positionnement par rapport aux autres systèmes Unix[modifier | modifier le code] Différenciation[modifier | modifier le code] Smit[modifier | modifier le code] Portail du logiciel.
SELinux — Wiki Fedora-Fr. 1 Introduction SELinux, qu'est-ce que c'est ? À quoi ça sert ? Comment faire pour gérer tout ça ? Ce tutoriel essaie de vous expliquer ces différents points, et peut-être un peu plus encore. 2 SELinux, c'est quoi ? SElinux - pour « Security-Enhanced Linux » - permet de définir des politiques d'accès à différents éléments du système d'exploitation. Ces éléments peuvent être des processus (démons), ou encore des fichiers. Chaque processus est confiné à un (voire plusieurs) domaine, et les fichiers sont étiquetés en conséquence.
SELinux vient améliorer la sécurité des serveurs sur lesquels il est déployé. SELinux n'a pas vocation à remplacer quelque système de sécurité existant, mais plutôt de les compléter. 3 Les modes SELinux propose trois modes différents : « Appliqué » (Enforcing) : il s'agit du mode proposé par défaut à l'installation de Fedora. La commande getenforce vous informera sur le mode actuellement actif sur votre machine. 4 L'état actuel liste des contextes pour tous les processus :
Veritas File System. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] Selon Veritas, VxFS fut le premier système de fichiers journalisé commercialisé[2]. Cette affirmation peut être prise sous deux angles : la première implantation d'un système de fichiers journalisé dans un contexte d'usage commercial ou encore, le premier système de fichiers disponible en produit non-intégré.
Dan Koren est cité comme étant l'un des développeurs originaux du VxFS[3]. Versions de la topologie[modifier | modifier le code] La topologie d'agencement des données sur disque de VxFS permet la journalisation et la modification quand le système de fichiers est monté. La version 5 de la topologie VxFS supporte les systèmes de fichiers pouvant atteindre la taille de 32 téraoctets. La version 7 de la topologie introduite avec la version VxFS 5.0 étant le support des volumes multiples en permettant le Dynamic Storage Tiering. Mode d'accès parallèle[modifier | modifier le code] Portail de l’informatique. SEANux : La distribution Linux de Syrian Electronic Army | Unix (Logiciel - OS)
Il y a énormément de distributions Linux qui existent, malgré cela, de nouvelles distributions voient le jour. Aujourd’hui, c’est le groupe de hackers Syrian Electronic Army (SEA) qui a annoncé sa propre distribution Linux, nommée SEANux. Ces hackers sont considérés comme étant des hacktivistes qui apportent leur soutien au régime de Bashar Al-Assad, en Syrie. D’ailleurs, ils avaient effectués des cyberattaques contre des médias et les réseaux sociaux, notamment avec les comptes de The New York Times, The Guardian, CNN, etc… Concernant la distrib’ SEANux, on ne sait pas vraiment ce qu’elle fera… Cependant le slogan est : “Power Up… Your Performance“. Maintenant la question c’est de savoir, quelle performance ? La performance du système ? D’après le site TheHackerNews, la distribution Linux pourrait être un mélange des distributions Tails et Kali Linux, c’est à dire d’un côté des outils pour protéger la vie privée/anonymat, et de l’autre, des outils pour le hacking.
Source.