Low cost: le nouveau modèle - Les Echos. Un business model basé sur le low cost est-il toujours pertinent ? Crédits photo : Shutterstock En création d’entreprise, une bonne idée n’est pas forcément synonyme de bon concept.
Alors que certains ont à tout prix besoin de la trouvaille inédite susceptible de révolutionner la consommation, d’autres plus pragmatiques préfèrent réfléchir à l’innovation en matière de business model sur un concept déjà existant. Le business model est censé résumer la façon dont une entreprise peut gagner de l’argent. S’il est étudié en profondeur, il peut être une solide source de différenciation, tant pour des entreprises en perte de vitesse que celles en cours d’installation. Couplé avec le low cost, celui-ci peut faire naître de nouvelles façons de concevoir la commercialisation d’un produit, ou ses modes de consommation. EasyJet : l’exemplaire Pionnier des low costers, EasyJet est l’exemple par excellence de ce modèle d’entreprise qui cherche à offrir l’essentiel. Le « low cost » a gagné tous les secteurs - La Croix.
Les annonces de Free illustrent comment le low cost a essaimé dans de multiples secteurs, obligeant les entreprises installées à revoir leurs prix.
Le phénomène a toutefois conservé une image mitigée et des entrepreneurs viennent de créer un Club des entreprises low cost pour la corriger. Le low cost favorise le développement de la concurrence, mais les consommateurs doivent être vigilants. « Low cost »… Les puristes de la langue française regretteront sans doute l’anglicisme, mais l’expression s’est imposée en France pour désigner les entreprises qui proposent leurs biens et leurs services à des prix souvent très bas, en rupture de leur marché de référence.
Comme l’opérateur de téléphonie Free mardi 10 janvier. « Le phénomène est arrivé en France à la fin des années 1980 à travers le secteur aérien et la grande distribution, rappelle Philippe Moati, coprésident de l’Observatoire société et consommation. Ce dernier a pris aujourd’hui 14 % de parts de marché de la grande distribution. Prix unique et qualité : les recettes du nouveau low cost - Les Echos. Stratégie low cost - définition, avantages et limites. Le low cost est-il une réponse valable et pérenne aux stratégies de la concurrence ?
Les choix stratégiques imposent une compréhension fine des impacts des options retenues. Le positionnement prix vers le bas apporte des réponses somme toute efficaces à court terme, mais peut engendrer de graves difficultés à plus long terme. Il convient de peser les plus et les moins de cette posture agressive. Basée sur une stratégie de domination par les coûts, cette orientation apporte des résultats certes mais comporte également des risques qu'il convient de soupeser avant de s'engager dans cette voie. Nous avons listé sur cette page des bénéfices et des risques conséquents à prendre en compte. Les Bénéfices d'une stratégie bas prix S'imposer comme le leader en terme de volumes écoulés.
Ériger des barrières à l'entrée sur un marché. Augmenter les quantités vendues et donc le profit si la production bénéficie d'économies d'échelles. Lancer une offre low cost sans ruiner ses marges. Né dans les années 70, le "low cost" s'impose aujourd'hui comme un modèle économique à part entière.
Compagnies aériennes, chaînes de salons de coiffure, supermarchés,? Nombreuses sont les entreprises qui se sont lancées et proposent des produits à bas prix. Explications avec Florent Jacquet, consultant chez Simon&Kuchner. Qu'entend-on par "low cost" ? Il y a deux types d'offres low cost. Celles proposées par une marque déjà existante en parallèle de ces produits classiques. Elles ont malgré tout les mêmes caractéristiques : - le prix inférieur à celui du marché, et dans le cas d'une marque déjà existante, inférieur au prix des produits initialement proposés. La recette du bas prix : Low cost : Dossier pratique de voyage. Le secret des bas prix La recette des compagnies low cost repose sur deux piliers : 1 – Réduire les coûts d’exploitation au maximum en transportant le plus de personnes possible à des prix imbattables. 2 – Développer les dépenses annexes en faisant payer tous les services.
Comment y arrivent-elles? - En faisant voler les avions au maximum entre les aéroports les moins chers d’Europe (souvent des bases secondaires, comme Beauvais en France ou Gérone en Catalogne) ou des aérogares moins coûteuses (comme Orly-Sud, Saint-Exupéry 3 à Lyon ou MP2 à Marseille). Ces aéroports sont la plupart du temps excentrés et plus petits que les principales plates-formes aériennes. Low cost et fières de l’être : 50 marques françaises qui réinventent le business… – The brandnewsblog l Le blog des marques et du branding. Le low cost a décidément le vent en poupe !
Et ce ne sont pas les récentes déconvenues d’Air France et de sa filiale Transavia* qui vont inverser la tendance… Après avoir conquis le secteur aérien et les pays anglo-saxons en premier lieu, derrière les succès des pionniers Southwest Airlines, Virgin, Easy Jet et autre Ryanair, le modèle low cost ne cesse de faire des émules et de conquérir de nouveaux territoires. La France n’est pas en reste, en particulier depuis l’entrée fracassante de Free Mobile sur le marché de la téléphonie (9 millions d’abonnés gagnés en 2 ans et demi). Derrière ce champion hors-norme, de nouvelles marques low cost sont lancées tous les mois en France, soit par de nouveaux acteurs audacieux, soit par des leaders historiques dans le but de défendre leurs parts de marché.
En mode « 100% low cost » cette semaine, le BrandNewsBlog vous propose aujourd’hui un tour d’horizon de ces champions français de l’optimisation et de l’innovation rupturiste. Sources : J'aime :