background preloader

AUGUSTORITUM et LEMOVICES

Facebook Twitter

(8) Watch. Augustoritum : villa gallo-romaine Brachaud. Cachés dans les bois à quelques mètres du lac d’Uzurat, se trouvent les ruines d’une ancienne villa gallo-romaine (150 mètres de long) construite au 1er siècle à proximité d’Augustoritum.

Augustoritum : villa gallo-romaine Brachaud

Composée d’une maison d’habitation et de thermes, mis à jour et explorés par les archéologues dans lesquels on retrouve différentes salles et une piscine circulaire. Les Lémovices. Augustoritum. 3 1 D'Augustoritum à Limoges. 3 2 Augustoritum, une ville gallo romaine. Le site archéologique gallo-romain des Cars en Corrèze. Le site des Cars Agglomération gallo-romaine du Plateau de Millevaches, se situant pour un quart sur la commune de Pérols-sur-Vézère et trois-quarts sur la commune de Saint-Merd-les-Oussines.

Le site archéologique gallo-romain des Cars en Corrèze

Elle se compose de deux ensembles distincts: un sanctuaire et un édifice d'habitation. La partie sanctuaire elle-même se compose d'un temple à podium rectangulaire, terminé par une abside demi-circulaire et d'un monument funéraire abritant en son centre un coffre funéraire. Un peu plus loin se trouve ce que l'on appelle aujourd'hui « l'édifice du vallon », car sa destination est incertaine: édifice d'habitation destiné aux prêtres desservant le sanctuaire ou hostellerie pour voyageurs ou simple exploitation agricole ?

Un immense bac de granite en est l'élément le plus exceptionnel, haute de 1 m 75 et pesant environ 8 tonnes, cette cuve était le réservoir qui permettait d'alimenter l'édifice en eau chaude, grâce à un ingénieux système de canalisation. Augustoritum.pdf. La villa d'Antone, site gallo-romain, renaît de ses ruines - Pierre-Buffière (87260) - Le Populaire du Centre. Ces dernières années, ce site est devenu un chantier permanent sous l'impulsion des bénévoles de l'association.

La villa d'Antone, site gallo-romain, renaît de ses ruines - Pierre-Buffière (87260) - Le Populaire du Centre

Dans le cadre de l'opération de restauration pilotée par la municipalité, cet été, des avancées spectaculaires ont déjà pu être constatées. Et ce, suite à l'intervention d'une entreprise de Feytiat spécialisée dans la restauration de bâti ancien (Arsatis). Ces travaux concernent une salle de thermes, laquelle devra encore être protégée ultérieurement par un toit. Un grand égout a aussi été dégagé et reconstitué. Dans les prochaines semaines, les maçons s'attaqueront à la margelle du puits rond et en sécuriseront l'accès. Un vaste domaine qui n'a pas livré tous ses secrets Si l'on suppose que ce domaine était la propriété d'un grand propriétaire terrien, celui-ci est encore loin d'avoir livré tous ses secrets. Malheureusement après l'arrêt des fouilles lors du second conflit mondial, le site a été progressivement pillé de ses pierres et mosaïques.

Un peu plus près de nos racines. Place Manigne, à l'angle du boulevard Louis-Blanc et de la rue de la Soif (rue Charles Michels) se dressait encore il y a quelques semaines un bâtiment en fort mauvais état.

Un peu plus près de nos racines

Une opération immobilière a été lancée, elle a été accompagné d'un diagnostic archéologique. Ce dernier à recommandé la mise en place d'une fouille programmée, celle ci est menée par le bureau d'études archéologiques ÉVEHA. Si le site n'est pas exceptionnel il permet de voir une base probable des remparts de la ville vers le XIII ème siècle. Il est se pourrait qu'un massif de même nature soit en pied de l'autre immeuble encadrant les fouilles sous une dalle de béton. Un peu plus loin un escalier descendant à plus de 3 mètres sous le niveau de la rue pourrait conduire vers des caves ou souterrain tout comme un puit à peine à 10 mètres de cette première exploration.

A la découverte du Limoges médiéval - France 3 Limousin. FRANCE 3 LIMOUSIN  Des fouilles archéologiques préventives sont menées à Limoges, sur la place Manigne.

A la découverte du Limoges médiéval - France 3 Limousin

Les archéologues ont découvert les traces d’un rempart médiéval datant du XIIIe siècle. Par Gwendolina DuvalPublié le Fouilles archéologiques place Manigne à Limoges Des fouilles archéologiques préventives sont en cours à Limoges le long du boulevard Louis Blanc. - F3 Limousin - France Lemaire, Jean-Marie Arnal et Christèle Reynard Les contours du Limoges médiéval s’affinent. Cette trouvaille confirme que la ville était enclose jusqu’au bas de la rue Charles Michel où se trouvait une porte sur la place Manigne. Cependant, aucune trace de l’époque antique n’a été découverte. Les bâtiments médiévaux et modernes qui ont été construits après la création du rempart ont détruit une grande partie des vestiges. Les fouilles devraient se terminer à la fin de la semaine, et plusieurs mois seront nécessaires pour rassembler les données scientifiques et archéologiques.