Conception de tests unitaires avec JUnit. Tous les programmeurs le savent, il est d'une importance vitale de rédiger des tests pour attester la validité de leur code.
Malheureusement très peu le font. Il s'agit d'un exercice très difficile qui requiert autant d'attention que la phase de spécification. C'est durant cette dernière que doit être, dans le cas idéal, dressée la liste des tests unitaires à implémenter. Ainsi, même lorsque les développeurs pensent à les écrire, ils ne se révèlent pas toujours pertinents. Mais soyons réalistes, car nous le savons tous parfaitement, il y a peu de motivation dans l'écriture de ces tests et nous privilégions bien souvent l'aboutissement de notre travail.
Imaginé et développé en Java par Kent Beck et Erich Gamma, JUnit désigne un framework de rédaction et d'exécutions de tests unitaires. Les programmeurs ont recours à de nombreuses méthodes pour déboguer leurs applications, notamment les sorties console, l'évaluation d'expressions dans les débogueurs ou encore les assertions. Comme utiliser les Listeners en Swing. Le KeyListener est utilisé pour réagir aux événements du clavier, et est donc utilisable sur des composants permettant la saisi de texte (JTextField, JTextArea, etc).
Trois méthodes sont déclarées dans l'interface du KeyListener : keyTyped(KeyEvent e), keyPressed(KeyEvent e) et keyReleased(KeyEvent e). Elle permettent respectivement de réagir lorsqu'une touche a été : tapée (pressée puis relâchée), pressée, relâchée. La classe KeyEvent étend java.util.EventObject et dispose donc des méthodes déclarées dans cette classe (notamment getSource() ), mais fournit également une dizaine d'autres méthodes spécifiques aux événements relatifs au clavier. Parmi elles : getKeyChar() retourne le caractère associé à la touche appuyée, getKeyCode() récupère le code de la touche pressée, isActionKey() retourne true si la touche appuyée est une touche d'action (CAPS LOCK, Verr Num, etc), et getKeyText(int keyCode) retourne le texte associée à la touche (par ex.
F1, A, etc). Exemple : Faut-il encore adopter Java pour un client lourd ? Avec quel langage vous lanceriez-vous ? L'objet de ce post n'est pas de revenir sur le désengagement d'Oracle vis-à-vis de JavaFX.
Bouye l'a fait dans son actualité mieux que je ne saurais le faire. Je ne parlerai pas non plus Swing qui date des années 1990 et qui a révolutionné la programmation multiplateforme. Nous savons que les technologies Java tournées vers le client lourd sont soit vieillissantes (Swing) soit incertaines quant à leurs pérennités (JavaFX). Mais nous savons également que l'écosystème Java est d'une puissance inégalée dans le monde de l'open source ne serait-ce que pour la richesse de ses API. Overview (Java Platform SE 7 )
Comment installer Android 4.4 sous VMware Workstation ? I.
Présentation Que ce soit à des fins de tests ou d’expérimentations, le fait de disposer d’une machine virtuelle faisant tourner Android en ravira plus d’un ! Cela tombe bien, c’est ce que nous allons voir dans ce tutoriel, où il sera question d’installer Android KitKat sous VMware Workstation 10. Un des intérêts est de pouvoir faire des tests sous Android sans forcément bidouiller dans son propre appareil, voir même si l’on a pas d’appareil Android, cela permet d’expérimenter l’OS bien que l’expérience utilisateur soit fortement réduite en absence de tactile. Le projet se nomme « Android x86 » est met à disposition des images ISO d’Android qu’il est possible de faire tourner sur PCs. Au moment où j’écris ces lignes, la version la plus récente est « android-x86-4.4-RC2 » c’est donc avec celle-ci que je vais procéder.
Pour ceux qui préfèrent, suivez le cours en vidéo : II. Dans VMware Workstation, créez une nouvelle machine virtuelle. Hibernate. Hibernate est une solution open source de type ORM (Object Relational Mapping) qui permet de faciliter le développement de la couche persistance d'une application. Hibernate permet donc de représenter une base de données en objets Java et vice versa.
Hibernate facilite la persistence et la recherche de données dans une base de données en réalisant lui même la création des objets et les traitements de remplissage de ceux-ci en accédant à la base de données. La quantité de code ainsi épargnée est très importante d'autant que ce code est généralement fastidieux et redondant. Hibernate est très populaire notamment à cause de ses bonnes performances et de son ouverture à de nombreuses bases de données. Les bases de données supportées sont les principales du marché : DB2, Oracle, MySQL, PostgreSQL, Sybase, SQL Server, Sap DB, Interbase, ... Le site officiel contient beaucoup d'informations sur l'outil et propose de le télécharger ainsi que sa documentation. Hibernate. Everything data. - Hibernate.