Cette maison appartient à l'ancien village sidérurgique des Forges du Vaublanc, qui témoignent du passé industriel de la Bretagne aux XVIIIe et XIXe siècles.
Les forges sont créées en 1671. Le site du Vaublanc bénéficie de la présence du minerai de fer à Plémet et à La Ferrière ainsi que d'importantes ressources forestières. À la fin du XVIIIe siècle, les forges emploient quatre cent cinquante ouvriers. Elles fabriquent des « galletouères », des socs de charrues, des houes, des marmites, des outils pour écobuer les landes et des canons pour la marine royale.
Gilles Bourdouleix. Le "référendum" inédit chez ses voisins se précise. Le maire de Cholet Gilles Bourdouleix l'avait annoncé il y a quelques mois : il compte sonder les habitants de la communauté de communes Moine-et-Sèvre pour leur demander quel est leur bassin de vie.
Il réagissait ainsi à la décision des élus de cette collectivité de constituer avec leurs voisins des Mauges une grande intercommunalité. Et de ne pas leur préférer la communauté d'agglomération du Choletais qu'il préside. S'il ne s'est pas exprimé récemment sur le sujet, l'initiative n'est pas abandonnée. En septembre, il a conclu un contrat avec la Poste allant dans ce sens. Le territoire du Vihiersois y est également évoqué mais la consultation ne devrait pas y être organisée, le préfet ayant depuis décidé d’intégrer ce territoire à la future Cac. Selon un élu de l'Agglo, la consultation par courrier devrait avoir lieu fin octobre-début novembre. De mémoire de politologue, cette consultation par un élu des habitants d'un autre territoire est une initiative inédite. Commune nouvelle : « S'atteler maintenant à la mise en oeuvre » Les 10 communes de La Renaudière, Le Longeron, Montfaucon-Montigné, Roussay, Saint-André-de-la-Marche, Saint Crespin sur Moine, Saint Germain-sur-Moine, Saint-Macaire-en-Mauges, Tillières et Torfou ont pris la décision unanime, jeudi soir, de créer la commune nouvelle de Sèvremoine.
Une décision qui sera effective le 15 décembre. 80 % des conseillers municipaux ont dit « oui » à cette commune nouvelle. Didier Huchon, président de la Communauté de communes Moine-et-Sèvre se réjouit et explique que « cette collectivité unique Sèvremoine va nous permettre de simplifier et rendre plus efficace l'organisation territoriale. C'est une très grande satisfaction, l'aboutissement d'un projet porté depuis neuf mois. » Quelques-uns de ceux qui ont voté contre s'étaient exprimés avant le vote, comme à Saint-Macaire. « On n'a pas eu le débat souhaité.
Didier Huchon, lui, entend avancer. « Ce qui nous porte ce n'est pas de sauver deux années de dotations. Saint-Macaire-en-Mauges. La commune nouvelle s'appellerait… Sèvremoine ! Elle s’appellerait Sèvremoine.
C’est le nom qui a été choisi par les élus de la communauté de communes Moine-et-Sèvre pour la future commune nouvelle. Le vote a eu lieu à l’occasion de la troisième et dernière réunion élus/agents de présentation du projet de commune nouvelle sur le territoire de Moine-et-Sèvre, le 18 juin à Saint-Macaire-en-Mauges. Les 116 élus présents ont choisi parmi une sélection de quatre noms. « En parallèle des propositions émises dans les commissions ou les conseils municipaux, un groupe de travail a effectué une démarche créative pour proposer plusieurs noms pour la future commune nouvelle en s’appuyant sur les racines (histoire, géographie…), les caractères et les valeurs du territoire », explique la communauté de communes dans un communiqué.
La validation définitive de la création de la commune nouvelle se fera le jeudi 2 juillet à 20 heures, par délibération, au sein des 10 conseils municipaux. Commune nouvelle : les élus à la rencontre de la population. Ce n'est pas un secret.
Actuellement, les élus travaillent sur la construction d'une nouvelle collectivité, la commune nouvelle. Elle remplacerait l'actuelle communauté de communes Moine-et Sèvre. Celle-ci devrait voir le jour au 1er janvier 2016. Enfin, si les conseils municipaux le décident ! Mardi, les élus étaient en réunion à la Renaudière. « Nous travaillons sur l'architecture de cette nouvelle collectivité, depuis plusieurs mois, en l'abordant sous tous les angles : identité, proximité, services à la population, gouvernance etc., souligne Didier Huchon, président de la communauté de communes Moine-et-Sèvre. . « On doit faire un point d'étape » « On arrive à un stade où on doit faire un point d'étape en expliquant à la population les enjeux et le fruit de notre réflexion », estime Didier Huchon. « Réfléchissons bien avant de constituer une commune nouvelle »
« Nous sommes dans une attitude constructive, et non d'opposition, comme le traduit le terme de « contribution » », précisent les signataires de la proposition.
Ces élus locaux et citoyens souhaitent engager un débat sur la future commune nouvelle (regroupement de communes) proposée par les maires de la Communauté de communes Moine-et-Sèvre. « Des citoyens nous ont interpellés en fin d'année 2014, ce qui nous a incités à agir. » Le groupe appelle à une « grande vigilance » et à « éviter la précipitation » concernant une « décision grave, qui sera irréversible », « engageant le territoire et sa population pour des décennies ». « La création, dans quelques mois, de la nouvelle commune Moine-et-Sèvre, entraînant la disparition des communes actuelles, est-elle la seule solution et la bonne solution ? » questionnent les signataires de la contribution. Ils souhaitent mettre plusieurs éléments en avant pour y réfléchir. Projet de territoire : « Mutualiser nos services » Mercredi soir, les élus étaient réunis à la mairie pour une présentation du nouveau projet de territoire, qui se veut au service des habitants de Moine-et-Sèvre. « Que de chemin parcouru depuis 2003 » soulignait, en préambule, Jacky Quesnel, maire alors président de la Communauté de communes Moine-et-Sèvre (CCMS).
Didier Huchon, nouveau président de la Communauté de communes Moine-et-Sèvre, et Jean-Louis Martin, maire de Roussay, ont exprimé leurs sentiments. « La reforme territoriale est une vraie rupture. Il faut que nous soyons ensemble pour se projeter vers l'avenir. » Pour Jean-Louis Martin, « la construction du territoire doit se faire par ses habitants. Avec la réforme territoriale, rien ne sera plus comme avant. Mutualiser nos services, ses atouts, est devenu un challenge raisonnable et nécessaire ». Municipales à Saint-Macaire. Un groupe d’élus veut repartir. Fusion dans le Maine-et-Loire : des élus unis pour faire face aux enjeux - Mairieconseils un service Caisse des Dépôts. La création de la communauté de communes Moine et Sèvre a démarré quand les élus des communautés préexistantes de Sèvre Moine et Val de Moine ont exprimé le souhait, lors des élections de 2001, de se réunir.
La fusion a été préparée par des commissions créées dans chaque communautés qui travaillaient en parallèle et se réunissaient régulièrement pour définir les compétences communes de la nouvelle entité. Ce travail était piloté directement par les bureaux des communautés composés des dix maires. Les études et simulations ont été faites en interne, sauf sur le dossier très technique de la fiscalité sur lequel la Trésorerie générale est intervenue. L’écart des taux de moins d’un point entre les communautés a facilité l’opération de lissage. Définir les compétences de la nouvelle entité Dès 2003, les deux communautés ont adopté ensemble la TPU. Forte implication des élus Plusieurs facteurs expliquent que cette fusion se soit déroulée sans difficultés majeures. Quelques points d’achoppement. La liste d’Isabelle Leroy aux sénatoriales en Anjou dévoilée - Angers - Cholet - Politique.
Economie CC-Moine-et-Sèvre. Trame-verte-et-bleue CC-Moine-et-Sèvre. Urbanisme CC-Moine-et-Sèvre. Le projet de territoire a été présenté aux élus , Montfaucon-Montigné 15/02/2011. Pour 2011, un rôle de premier plan pour le territoire , Saint-Macaire-en-Mauges 21/01/2011. CC Moine-et-Sèvre 49. Les premiers vestiges de la commune remontent à 1626 , Le Longeron 16/08/2011. Le passé minier de Sevremoine à découvrir en films.
Mis en œuvre par la Région en collaboration avec la Maison du mineur et Sèvremoine, huit films existent désormais sur l'extraction locale de l'uranium entre 1952 et 1992.