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Ferroviaire

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Tranquilien - Assistant du confort à bord. Rennes. Le transporteur Montmur expédie son 10 000e conteneur rail-route - Rennes - Économie - Le groupe Montmur, holding des Transports Lahaye de Vern-sur-Seiche, a expédié ce jeudi après-midi son 10 000e conteneur au départ de la plate-forme de transport rail-route de la plaine de Baud à Rennes. La « caisse » contenant 40 tonnes d’Emmental fabriqué par Entremont dans son usine de Malestroit, va circuler toute la nuit à destination de Mâcon. À 9 h ce vendredi matin, le conteneur reprendra la route pour être acheminé jusqu’à l’usine Entremont de Sainte-Catherine, près d’Annecy, où le fromage à pâte dure sera affiné pendant six semaines. Depuis 2011 Le transporteur breton Montmur a lancé son activité de transport rail-route en janvier 2011, à partir du site de transport multimodal Combiwest de Rennes. « Deux ans et demi plus tard, nous expédions en moyenne 24 conteneurs par jour, soit la moitié du train de marchandises qui part de Rennes vers Mâcon », explique Patrick Lahaye, dirigeant du groupe Montmur.

Réforme ferroviaire : vers un gestionnaire unifié à la française. « Nous sommes à la croisée des chemins, l’immobilisme est interdit », a déclaré d’entrée de jeu, Jacques Rapoport, nouveau président de Réseau ferré de France. Alors que le collège des commissaires européens réuni à Bruxelles a adopté le même jour sa proposition de quatrième paquet ferroviaire, Jacques Rapoport a donné les grandes lignes de la future organisation du « GIU ». Celle-ci, portée également par Guillaume Pépy, président de la SNCF, sera soumise au ministre des Transports Frédéric Cuvillier, à la fin du mois de février. Pour mémoire, Bruxelles a défini trois volets : le premier concerne la gouvernance des systèmes ferroviaires des Etats membres,le second la question de la concurrence sur les marchés domestiques de passagers,le troisième porte sur les questions plus techniques de la sécurité et de l’interopérabilité ferroviaire.

GIU_dp_30_01_2013 by lagazettefr. La réforme du rail n’inquiète pas le nouveau président de RFF - Transport - Logistique. L’annonce des propositions de Bruxelles pour la future libéralisation du ferroviaire en Europe ne remet pas en cause la réforme française selon Jacques Rapoport, le nouveau président de Réseau ferré de France (RFF). "Je suis serein face aux positions de la commission", prévient Jacques Rapaport, président de Réseau ferré de France (RFF) depuis le 19 novembre dernier. Pour lui, si ces propositions concernant le quatrième paquet ferroviaire voient le jour, elles ne remettront pas en cause la grande réforme du ferroviaire qui doit se mettre en place en France. "Sur les quatre points évoqués, trois ne font pas débat. L’interopérabilité ? Le seul point qui pourrait faire débat concerne l’organisation.

Olivier Cognasse. En Picardie, les Intercités et les TER vont fusionner. Denis Harlé, secrétaire général des services à la région Picardie. © DR En visite à Boulogne-sur-Mer le 12 novembre 2012, en compagnie du président de la SNCF et d'élus régionaux, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier a annoncé que la Picardie allait prendre en main, en plus des TER, des lignes de trains Intercités pour les rendre "plus efficaces". Explications de Denis Harlé, directeur général des services de cette région pilote.

MobiliCités : Pourquoi la Picardie déjà chargée de gérer les lignes TER comme les autres régions françaises, est-elle partante pour expérimenter ce nouveau modèle de gouvernance ferroviaire qui fait "fusionner" les Trains d'équilibre du territoire (TET, appelés trains Corail et aujourd'hui les Intercités) et les TER ? Lesquelles sont concernées ? Nous allons complètement revoir la ligne Boulogne-Paris en décembre 2013 qui va être électrifiée comme l'ont annoncé Frédéric Cuvillier et Guillaume Pepy le 12 novembre. Propos recueillis par Nathalie Arensonas. Un premier bilan en demi-teinte pour le tram-train de Mulhouse. Un premier bilan en demi-teinte pour le tram-train de Mulhouse (27/02/2012) Après un an de fonctionnement, le tram-train de Mulhouse, premier du genre en France, a amélioré la fréquentation de la ligne concernée mais n'a pas réussi à désengorger le trafic routier, selon un premier bilan.

La fréquentation de la ligne Mulhouse-Kruth - sur laquelle le tram-train circule depuis décembre 2010 sur sa portion la plus proche de Mulhouse -, a augmenté de 18,4% en un an, a indiqué la SNCF lors d'une réunion publique. « Ce premier bilan est raisonnablement encourageant », a commenté Jean-Paul Omeyer, vice-président (UMP) du conseil régional d'Alsace, co-initiateur du tram-train avec l'agglomération mulhousienne.

Il s'est montré confiant quant à la possibilité d'atteindre d'ici trois ans l'objectif initial, à savoir un doublement de la fréquentation. Selon M. Les 17 km restant, de Kruth à Thann, restent une voie TER classique, dont la fréquentation n'a pratiquement pas évolué en un an. Source : AFP. Châteaubriant : les voies du tram train seront posées le 22 février - Châteaubriant - Les récentes intempéries ont assez peu contrarié le déroulement des opérations liées au chantier de la gare de Châteaubriant. Le temps que le terrain s’assainisse, les entreprises reprennent le travail ce lundi. Et poseront les premiers rails mercredi. Pour Guillaume Bedel, correspondant territorial de l’opération tram train Nantes - Châteaubriant pour Réseau ferré de France (RFF), « le chantier en est à la phase de pose de la voie ferrée et des éléments qui la constituent : rails, traverses, ballasts, poteaux qui vont venir supporter le fil électrique.

À cause du gel, le béton n’a pu être saisi. On a donc pris un peu de retard, mais aucune inquiétude à avoir ». Le chantier tram train est entré dans une période dite de préparation à la pose des voies. Les travaux de mâts caténaires et d’artères câbles reprendront lundi 20 février. Retrouvez l’interview de Guillaume Bedel, de Réseau ferré de France, lundi 20 janvier, dans Ouest-France (édition Châteaubriant - Ancenis). Lignes à grande vitesse : La Fnaut hiérarchise les projets - Transport et infrastructures.

© DR LGV Paris-Orléans-Clermont-Lyon La Fédération nationale des usagers de transports (Fnaut) a décidé de devancer le gouvernement et vient de proposer une hiérarchisation des projets futurs de LGV en fonction de leur pertinence. A l’issue des Assises du ferroviaire qui se sont conclues le 15 décembre dernier, la nécessaire hiérarchisation des grands projets ferroviaires figurant au Schéma national des infrastructures de transports (Snit) semblait faire consensus. C’est pourquoi la Fédération nationale des usagers de transports (Fnaut) prend les devants. « Nous avons toujours soutenu la construction des lignes à grande vitesse et nous approuvons les décisions récentes issues du Grenelle de l’Environnement comme le lancement des LGV Bretagne et Tours-Bordeaux, le contournement de Nîmes-Montpellier ou la deuxième phase de la LGV Est, explique Jean Sivardière, le président du le Fnaut.

Mais faut-il poursuivre l’extension du réseau des LGV au-delà de ces quatre « coups partis » ? La SNCF se prépare à contrer les cars Eurolines. La privatisation de certaines lignes de la SNCF se précise. Après la remise, au mois de mai, d’un rapport du sénateur Francis Grignon, le Centre d’analyse stratégique, qui dépend directement de Matignon, s’est saisi du dossier de l’ouverture à la concurrence de la SNCF. Dans une note de synthèse d’une dizaine de page, rédigé avec la direction général du Trésor, cet organisme en appelle à un "signal" des pouvoirs publics afin de mettre un terme à "l’ambiguïté" qui consiste à énoncer le principe de l’ouverture à la concurrence des chemins de fer, comme le veut Bruxelles, sans en prévoir les modalités.

Les mots de "privatisation" et de "libéralisation" ne sont jamais écrits, mais la note prévoit tout de même la publication d’ici quelques mois d’un calendrier précis afin d’ouvrir le marché intérieur à la concurrence, alors que jusqu’à présent seul le fret et les liaisons internationales le sont. Les lignes déficitaires privatisées en 2014 ? Pour le Centre d’analyse stratégique il convient d’engager le mouvement de manière progressive. Le boom des villes TGV. Une maison de caractère dans le centre-ville de Tours ou de Reims pour le prix d'un deux-pièces à Paris !

Ce choix de l'espace et de la qualité de vie, plusieurs ménages l'ont fait grâce aux nombreuses liaisons TGV au départ de la capitale. Le réseau des lignes à grande vitesse (LGV), qui fête ses 30 ans, inaugure, le 11 décembre, le TGV Rhin-Rhône. À une heure de Paris, Arras, Lille, Le Mans, Tours, Reims ou Vendôme font désormais jeu égal avec un itinéraire laborieux en RER ou avec un parcours en voiture, dans les bouchons. Malgré le prix élevé des abonnements SNCF, entre 500 et 600 euros par mois (voir tableau), ces navetteurs y trouvent leur compte.

Ces "délocalisations volontaires" sont généralement l'apanage des mêmes profils d'actifs. Peut-on parler d'un "effet TGV" qui, d'après les professionnels de l'immobilier, doperait le prix du mètre carré au moment de l'ouverture d'une ligne ? De cinq à dix minutes autour de la gare Le charme de la vie en Touraine a aussi ses adeptes.

Arras. Conférence de presse : présentation de deux rapports sur le ferroviaire. Néanmoins, cet “impératif participatif”, plébiscité dans le monde administratif et politique, peut s’incarner de bien des façons différentes, de la simple opération de communication à la recherche d’une démocratisation effective des modes d’élaboration des politiques publiques, en passant par l’encouragement à l’activité associative et au resserrement du lien social.

Ces appels renouvelés à la “participation des habitants”, non assortis de précisions quant aux formes pratiques à donner à cette exigence, conduisent à réfléchir aux modalités d’expression du pouvoir des citoyens en démocratie. D’autant plus que les professionnels de la politique de la ville, les habitants, et même les chercheurs, expriment parfois leur désarroi face au décalage entre les intentions et le constat d’une participation complexe à mettre en oeuvre. Qu’attend-on au juste des habitants et des élus ? À quoi sont-ils appelés à participer et quelles sont leurs attentes ? Pour tout renseignement : Contact Presse : Château-Gontier (Mayenne) s’équipe d’une zone de fret ferroviaire - Château-Gontier - Le réseau TGV ne progresse qu’à petite vitesse.

Ah, le train! Quel bonheur pour Nicolas Sarkozy. Enfin un sujet qui plaît aux Français et qui n'aura pas manquer d’être relayé par les médias. Un sujet grâce auquel le président de la République aura pu vanter les mérites d’une France industrielle qui gagne; ils ne sont plus si nombreux. Et grâce auquel il aura pu oublier la dette qui s’accumule, l’Europe qui s’effrite et les sondages qui ne s’améliorent pas, en regardant défiler des paysages de France pendant trente-cinq minutes à 320 km/h dans le nouveau TGV-Rhin Rhône. Vingt ans de lobbying Il y a plus de vingt ans que des élus comme Jean-Pierre Chevènement, à Belfort, réclamaient la construction de cette ligne de TGV Rhin-Rhône. publicité Déjà en 1986, ils avaient créé une association… et ce n’est qu’en 2006 que le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin lança le début des travaux.

Encore ne s’agit-il que de la première branche du projet, un tronçon de 140 km sur l’axe Dijon-Mulhouse. Le frein, bien sûr, c’est le coût. Gilles Bridier. Des paniers bio disponibles dans les gares franciliennes. Des projets ferroviaires au cœur du « maillon ouest » La façade Ouest de la France ne peut rester en dehors des réseaux trans-européens de transport quand « 85% du trafic mondial de marchandises est concentré sur les échanges maritimes [Pourtant] les deux principaux corridors Est-Ouest européens, inscrits comme projets prioritaires du Réseau Transeuropéen de Transport (RTE-T) n’intègrent pas de liaisons directes avec la façade maritime Atlantique-Manche ». Et s’appuient sur les ports du Benelux, alors que [le Channel] est « l’une des voies maritimes les plus surchargées du monde », constatent les régions du Bassin parisien du C8 (1). En réaffirmant « la place stratégique du complexe industrialo-portuaire de l’Axe Seine Le Havre-Rouen – Paris […] à travers une géographie plus équilibrée en termes de flux au sein de l’Union européenne », la C8 propose la création progressive d’un système multimodal de transport (voyageurs et marchandises) alternatif, le Maillon Ouest.

Note 01: