La dette de la France, un secret bancaire. Qui détient la dette de la France ?
Cette question, chaque contribuable français est en droit de se la poser. Ses impôts ne servent-ils pas à payer en partie les intérêts de la dette ? Or, si l’on dispose des quelques informations générales, savoir en détail qui détient les créances françaises et pour quel montant relève du secret extrêmement bien gardé.
International bank positions, by residence: BIS WebStats. Dette publique mondiale, la question à 51 mille milliards de dollars. Ce matin 13 septembre 2013, le compteur du site The Economist indiquait 51 535 447 085 641 dollars US.
Il s’agit de la dette publique mondiale réévaluée en temps réel. Bien entendu, il ne cesse de monter de façon effrayante. Pour 2002, il indique 19 934 273 958 536 $, l’augmentation a donc été de 158,5 % en 11 ans ! Pour la même période (septembre 2002/2013), voici la dette publique par habitant de quelques pays, en dollars américains : Plus prosaïquement, la population mondiale serait à ce jour d’environ 7 162 119 000 d’habitants.Chaque habitant de la planète, même l’enfant malnutri du Darfour, serait donc endetté en moyenne, rien qu’au titre de la « dette publique », à hauteur de 7 196 dollars US.
Nous le savons, la plupart des banques sont en état de faillite virtuelle. Alors, comment tout cela est-il possible ? Mais le temps passe, et comme le temps c’est de l’argent… Au fait, le compteur en est maintenant à 51 536 165 660 904 dollars US… Mais qui peut bien nous « endetter » autant ? Les économies occidentales sont-elles devenues des chaînes de Ponzi? « L'économie des pays développés, c'est un peu comme la chaîne de Ponzi, une vaste escroquerie !
», c'est ainsi que nous pourrions résumer un récent rapport du Boston Consulting Group (BCG) sur la crise des pays développés. Bien entendu, le discours est plus policé, mais l'analyse est sans concession. Balance commerciale. Blythe Masters commenté par P. jovanovic. Blythe Masters de Pierre Jovanovic. D'une bulle à l'autre : S02 E01. AMFAutorité des Marchés Financiers.
D'une bulle à l'autre : S02 E02. AMFAutorité des Marchés Financiers.
D'une bulle à l'autre : S02 E03. AMFAutorité des Marchés Financiers.
D'une bulle à l'autre : S02 E04. AMFAutorité des Marchés Financiers.
C'est l'autorité française de régulation des marchés financiers. Son équivalent pourrait être la SEC américaine.Equivalent de la SEC (Security Exchange Commission) américaine. N’a pas plus d’Autorité que sa consœur n’est gage de Sécurité (cf. Madoff) «Risque de crise systémique», estime Jean-Pierre Jouyet. Le président de l'Autorité des marchés financiers (AMF) Jean-Pierre Jouyet a parlé vendredi de «situation, très très préoccupante» sur les marchés et s'est inquiété d'un «risque de crise systémique» capable de faire plonger toute la planète dans la récession.
«Nous sommes dans une situation mondiale de crise» avec, «devant nous, un risque de crise systémique», c'est-à-dire d'un effondrement de l'ensemble du système économique mondial, a relevé Jean-Pierre Jouyet, interrogé sur France Inter. Cette situation est due à «un endettement au Japon très fort», des "déséquilibres américains qui sont extrêmement profonds malgré des plans de relance qui ne donnent pas de grand résultat" et, en Europe, «à la crise des dettes souveraines», a expliqué l'ancien secrétaire d'Etat aux Affaires européennes. La spirale infernale de la crise des dettes souveraines - ZONE EURO. Conjoncture : La carte du monde des dettes d'État. INFOGRAPHIE - Les pays émergents ont retrouvé en vingt ans les premiers rangs, alors que les États occidentaux sont relégués en fond de classe.
Pour ces derniers, le redressement pourrait durer dix ans. 1991-2011. En l'espace de vingt ans, les mauvais élèves sont devenus les modèles d'aujourd'hui. En 1991, les pays «en voie de développement» (on ne les appelait pas encore les «émergents») sont endettés. Les pays occidentaux leur font la leçon et leur impose la bonne gestion de leurs comptes via la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Aujourd'hui, les rôles sont inversés: Européens et Américains se font tancer par les puissances émergentes, Brésil et Chine en tête. Comparatif dettes et notes des pays d' Europe. La pédagogie de la crise: une ardente obligation. «Le spread entre l'OAT et le bund a atteint les 200 points de base».
«Face à la montée de ses taux, l'Italie va avoir de plus en plus de mal à refinancer sa dette». La dette expliquée aux nuls. La gestion de la dette conditionnera les débats de la présidentielle, comme l'a montré l'Université d'été du PS. Un sujet complexe, pollué par les idées reçues et les croyances. Pour y voir plus clair, OWNI reprend les bases. Lorsque l’on parle de dette, il est de coutume de dire que « l’État vit au dessus de ses moyens », que le modèle social français n’est plus soutenable, et qu’il faut donc réduire les dépenses. Pourtant, la réalité est légèrement différente : sur 1 600 milliards de dette publique remboursée depuis 1974, environ 1 200 milliards d’euros ne sont constitués que des seuls intérêts.
L’effet « boule de neige » explique en grande partie ce phénomène. En réalité, hors paiement des intérêts, les budgets sont globalement à l’équilibre comme le montre le graphique ci dessous (issu du travail de André-Jacques Holbecq) : Rembourser la dette, ce n’est donc pas payer en différé les dépenses d’éducation, de santé ou d’autres investissements. Photos FlickR yenna ; Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France Lire en ligne Texte sur Légifrance La loi n°73-7 du 3 janvier 1973 sur la Banque de France est une loi française, qui a régi de 1973 à 1993 l'organisation de la Banque de France.
Cette loi est parfois surnommée loi Pompidou-Giscard ou loi Rothschild. Ces dernières années, cette loi est au cœur d’un débat sur l’endettement public et la création monétaire. Le débat[modifier | modifier le code] Idée reçue sur la loi du 3 janvier 1973. Nous partageons aujourd'hui une production personnelle élaborée par Magali Pernin et moi (Lior) consacrée à la loi du 3 janvier 1973, qu'on connait sous le nom de "loi Pompidou-Giscard" ou encore "loi Rothschild". Nous avons appris à connaitre cette loi grâce au travail incessant d'André-Jacques Holbecq, Philippe Derruder et Etienne Chouard. Suite à la tribune d'Alain Beitone sur le site LeMonde.fr, nous avions pu avoir accès à un document dans lequel il évoquait ses doutes sur ce qu'on pense souvent de cette loi. Global Financial Crisis: A World in Debt.