I made a simple table to help you pick out what RAM is faster : buildapc. Memory - RAM Performance: Speed vs. CAS latency. The latency paradox Latency is often misunderstood because on product flyers and spec comparisons, it's noted in CL, which is only half of the latency equation.
Since CL ratings only indicate the total number of clock cycles, they don't have anything to do with the duration of each clock cycle, and thus, they shouldn't be extrapolated as the sole indicator of latency performance. By looking at a module's latency in terms of nanoseconds, you can best judge if one module is, in fact, more responsive than another. To calculate a module's true latency, multiply clock cycle duration by the total number of clock cycles.
These numbers will be noted in official engineering documentation on a module's data sheet. In the history of memory technology, as speeds have increased, clock cycle times have decreased, resulting in lower true latencies as technology has matured, even though there are more clock cycles to complete. Which is more important: speed or latency? La mémoire. Page mise à jour le 26/10/15 En bref et pour l'achat d'une nouvelle machine : - La quantité : 4 Go tend à devenir le minimum actuel et il s'agit d'une valeur recommandée pour un usage déjà confortable en entrée de gamme avec un Windows 64 bits récent (Windows 7 et ultérieurs).
Sur les machines milieu de gamme, 8 Go permettront d'avoir un confort et une fluidité optimale, y compris dans les jeux récents. Enfin, 16 Go sont suggérés pour les configurations haut de gamme appelées à exploiter simultanément plusieurs logiciels ou encore des logiciels d'infographie très lourds. Sous Windows XP, 2 Go sera déjà une quantité confortable et plus de mémoire, n'est pas toujours utile ni même exploitable. Vous prendrez cette mémoire en 2 barrettes de capacités identiques dans le cas des plates-formes Dual Channel actuellement sur le marché et en 3 ou 4 barrettes afin d'obtenir les meilleures performances possibles pour les Core i7 en Socket 1366 et Socket 2011. Dans le détail : Les mémoires.
"A nos chers chips et chipsets...
" La mémoire est sûrement l'un des éléments le plus important dans l'industrie électronique et informatique. C'est pourquoi nous allons nous pencher sur ces circuits en détaillant les types, le fonctionnement, comment les reconnaître, un oeil sur les constructeurs et quelques autres informations utiles. Nous ne parlerons pas des mémoires de masse (disque dur, lecteur de CD,...) qui sont un sujet légèrement différent, qui fera le sujet d'un prochain article. 1. Présentation La mémoire est un support physique formé de circuits électroniques, elle sert à retenir et stocker pendant un certain temps une information ou un signal.
Un exemple de bancs mémoire Un exemple de mémoires sur une carte fille : la A2500 avec 2 Mo Une mémoire vive à tores de ferrite, l'une des toutes premières mémoires 1.1 Classification structurelle des mémoires. DDR3, influence des canaux & timings. Mise à jour le 12/01/2011 : Nous avons rajouté la plateforme Sandy Bridge à notre dossier, via les processeurs Core i7 2600K et Core i5 2500K testés sur une carte mère Asus P8P67.
Depuis l’arrivée de la DDR3, la question de l’impact de la mémoire sur les performances globales des machines semble s’être placée un peu en retrait. Quand la latence focalisait toutes les discutions autour de la DDR2, le passage à la DDR3 a réorienté le débat. En partie à cause des orientations prises par le JEDEC pour l’élaboration du standard de la DDR3. Deux objectifs ressortaient, réduire la consommation et augmenter significativement la bande passante. La Question Technique : en quoi la mémoire graphique est-elle différente ? Comme la mémoire vive centrale, la RAM dédiée à l’affichage (celle qui équipe nos cartes graphiques) a connu une croissance importante de sa capacité et de ses performances au fil des années.
Mais à quoi sert exactement cette débauche de transistors ? Et en quoi diffère-t-elle de la RAM du CPU ? Les débuts : les framebuffers Au tout début de l’informatique, les écrans étaient des afficheurs vectoriels : un tube cathodique à la surface duquel pouvait se déplacer un faisceau d’électrons pour tracer des formes à l’écran (on trouvait encore ce type d’écrans dans les oscilloscopes analogiques il y a quelques années). Si ces écrans étaient plutôt performants en termes de qualité de rendu (pas d’aliasing), ils étaient par contre très limités sur le plan de la diversité de ce qui pouvait être affiché (pas de formes complexes, difficultés à produire des images en couleurs, etc.). Un framebuffer Sun TGX de 1 Mo La VRAM et les premières cartes graphiques DRAM classique à gauche, VRAM à droite.