Dave-campagne | Safe internetbanking. Contre l'hypothèse de la « fin de la vie privée » 1La question de savoir si nos sociétés connaissent une érosion progressive de la vie privée est au cœur des conflits politiques et des débats intellectuels des dernières années. Face à l’essor de l’informatique ubiquitaire et des big data, des grandes plateformes du Web social et des dispositifs mobiles, l’opinion publique oscille entre postures apocalyptiques et enthousiasmes parfois calculés à l’annonce de la « fin de la vie privée » [Arthur 2012]. Quoique largement hypothétique, ce processus ouvre la voie à des abus tout autant de la part d'entreprises privées que des pouvoirs étatiques. De la découverte d’Échelon (2000) à l’affaire PRISM (2013), la mise en place d’un vaste complexe militaro-informatique, collectant des données personnelles de milliards d’utilisateurs de dispositifs numériques, ne fait plus de doute. 4Comme sur le lieu d'un crime, il vaut toujours la peine de revenir sur le moment où un mensonge a été prononcé en public. 1 M.
[Elaboration de l'auteur. Notion de privacy. Extimité. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Après Lacan, l’extimité, par opposition à l'intimité, est, tel qu'il a été défini par le psychiatre Serge Tisseron, le désir de rendre visibles certains aspects de soi jusque là considérés comme relevant de l'intimité. Il est constitutif de la personne humaine et nécessaire à son développement psychique - notamment à une bonne image de soi. En cela, l'extimité doit être distinguée de l'exhibitionnisme qui est pathologique et répétitif, inscrit dans un rituel morbide. Histoire du concept[modifier | modifier le code] On trouve « extime » sous la plume d’Albert Thibaudet dans un article de La Nouvelle Revue Française daté du 1er juin 1923, « Lettres et journaux » : « M.
Barrès, dans une interview récente, appelait sa Chronique de la Grande Guerre un Journal intime de la France. Le mot d’extimité est proposé par Jacques Lacan dans son séminaire XVI en 1969 (publié en 2006, page 249). Le mot entre rapidement dans le langage courant. Intimité. Critiques de Facebook. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le réseau social Facebook a essuyé un bon nombre de critiques et controverses incluant la vie privée, la sécurité infantile et l'incapacité de supprimer un compte sans préalablement en supprimer le contenu manuellement. En 2008, plusieurs compagnies ont retiré leurs publicités du site car elles étaient dangereusement exposées à plusieurs groupes ou individus[réf. nécessaire]. Les pages d'utilisateurs, groupes et forums ont été critiqués à cause de sujet parfois hautement sensibles.
Plusieurs censures ont été imposées dans et en dehors du site[réf. souhaitée]. Doutes[modifier | modifier le code] Liberté d'expression (vis-à-vis de l'employeur d'un utilisateur)[modifier | modifier le code] Concurrence malhonnête[modifier | modifier le code] Le 12 mai 2011, le journal The Daily Beast a révélé un accord visant à discréditer Google. Vie privée[modifier | modifier le code] Vente d'informations personnelles[modifier | modifier le code]
Réseau social. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme provient de John Arundel Barnes (en) en 1954[1]. L’expression « médias sociaux » recouvre les différentes activités qui intègrent la technologie, l’interaction sociale (entre individus ou groupes d'individus), et la création de contenu. Andreas Kaplan et Michael Haenlein définissent les médias sociaux comme « un groupe d’applications en ligne qui se fondent sur la philosophie et la technologie du net et permettent la création et l’échange du contenu généré par les utilisateurs »[2]. Les médias sociaux utilisent l’intelligence collective dans un esprit de collaboration en ligne. Par le biais de ces moyens de communication sociale, des individus ou des groupes d’individus qui collaborent créent ensemble du contenu web, organisent ce contenu, l’indexent, le modifient ou le commentent, le combinent avec des créations personnelles. Applications en sciences sociales[modifier | modifier le code] Règle de 150[modifier | modifier le code] E.
Pourquoi je suis accro à Facebook. [hal-00332770, v1] Les composantes de l?identité dans le web 2.0, une étude sémiotique et statistique. - FGeorges_Hypostase. Pourquoi je suis accro à Facebook. État des lieux des réseaux sociaux en France en 2013. Chaque année, l’IFOP publie l’Observatoire des Réseaux Sociaux. Un bon indicateur permettant de cerner l’utilisation des réseaux sociaux en France, et l’évolution des usages à travers les années. 50 réseaux sociaux sont scrutés, afin d’obtenir des données quantitatives précises. La sixième édition du baromètre vient de sortir, et ses conclusions sont particulièrement intéressantes. Notoriété : Facebook en tête, Google+ et Instagram en hausse Depuis 2011, le constat est identitique. Les trois réseaux sociaux les plus connus par les internautes sont Facebook (97%, +2 points), YouTube (95%, +1 point) et Twitter (94%, +5 points). Ce dernier progresse assez vite et pourrait dépasser YouTube l’an prochain.
Skype, Google+, Dailymotion, Copains d’avant, Deezer, MySpace et Picasa complètent le top 10. À noter cette année : la percée assez nette de Google+, qui grimpe à 87% de notoriété (+8 points). L’IFOP détaille la notoriété du top 10 des réseaux sociaux. Membre inscrit ≠ Membre actif. Badoo. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le siège de Badoo Europe est basé à Londres et la société compte aujourd'hui plus de 200 employés dans le monde. Histoire[modifier | modifier le code] Le site a été créé en 2006 par Andrey Andreev et lancé au Royaume-Uni. Bénéficiant d’un soutien financier de 30 millions de dollars, Badoo.com a dépassé la barre des 100 millions d’inscrits dans 180 pays, en moins de 5 ans.
En 2011, Badoo est le premier site de rencontre à proposer une application sur la plateforme Android[1]. En 2013, Badoo revendique 184 millions d'inscrits à travers le monde[2]. Badoo occupe par ailleurs la 37e place du classement des sites les plus visités en France et la 128e place du classement global selon Alexa Internet[3]. Près de 125 000 nouveaux utilisateurs se connectent tous les jours et compte plus de 35 millions d’utilisateurs actifs chaque mois. Fonctionnement du site[modifier | modifier le code] Abus[modifier | modifier le code] (mul) Site officiel. Foursquare. Foursquare est un média social qui permet à l’utilisateur d'indiquer où il se trouve grâce à un système de géolocalisation et de recommander, ce faisant, des lieux de sorties (restaurants, cafés, magasins). Jusqu'en 2014, l'aspect ludique de l'application vient du fait qu'il est possible à l'utilisateur de gagner des points et d'accumuler des badges relatifs à des actions spécifiques et de devenir « maire » des endroits dans lesquels il est la personne à avoir fait le plus de check-ins (pointages,ou enregistrements) récemment[4],[5].
Depuis 2014, l'application évolue et se transforme en guide urbain interactif. Histoire[modifier | modifier le code] Foursquare a été créé à New York en 2009 par Dennis Crowley[7], Naveen Selvadurai[8], Harry Heymann[9], Nathan Folkman[10] et Mike Singleton[11], et son logo a été dessiné par Mari Sheibley[12]. Le 1er mars 2012, Foursquare annonce passer de Google Maps à OpenStreetMap[13] pour la localisation. Utilisation des données[modifier | modifier le code] Microsoft Word - FGEORGES_SEMIOTIQUE DE LA REPRESENTATION DE SOI.doc.docx - georgesf_mensueluniversite.pdf. [hal-00332770, v1] Les composantes de l?identité dans le web 2.0, une étude sémiotique et statistique. - FGeorges_Hypostase.
Les composantes de l'identité dans le web 2.0.