Les 10 plus vieux bâtiments de Montréal. La ville de Montréal a de l'histoire.
La preuve? Elle célèbrera son 375e anniversaire en 2017. Il s'agit aussi d'une des villes les plus anciennes de la côte est du continent, après Tadoussac, Québec, Roanoke en Caroline du Nord et Sainte Augustine en Floride, entre autres. Il est donc tout à fait naturel que notre métropole soit l'hôte de plusieurs bâtiments anciens. Certains sont remarquables, d'autres sont moins évidents à reconnaitre. Close Facebook 1719 - Moulin à vent de Pointe-aux-Trembles Ce moulin à vent a été restauré en 2009 et un parc thématique, le Parc du Vieux-Moulin, accompagne les visiteurs pour un petit cours d'histoire. Page d'accueil de la Bibliothèque numérique mondiale.
Le français, langue officielle du Québec depuis 40 ans. Il y a exactement 40 ans, le 31 juillet 1974, le français devenait la seule langue officielle du Québec.
Après des années de débats agités sur la question de la langue, le gouvernement libéral de Robert Bourassa fait adopter le projet de loi 22, qui allait ouvrir la voie à la loi 101. Dans les années 1960, le débat sur la langue fait rage au Québec. Alors que les anglophones veulent préserver leurs droits, de plus en plus de voix s'élèvent chez les francophones pour réclamer une meilleure protection de la langue française, notamment par la francisation des immigrants. En 1969, le gouvernement de l'Union nationale dirigé par Jean-Jacques Bertrand fait adopter le projet de loi 63, qui deviendra la Loi pour promouvoir la langue française au Québec. « Les années 1960 ont été des années de changements importants au Québec, comme un peu partout dans le monde.
Cette loi permet toutefois aux parents d'envoyer leurs enfants dans l'école de leur choix : francophone ou anglophone. Faux-monnayeur. À la caisse de la pépinière, une dame arrivée avant moi achetait des sacs de terre.
Mon grand-père disait : « C’est toujours bon d’acheter de la terre : il ne s’en fait plus. » Mais devant cette terre ramenée à l’échelle du sac en plastique, je ne suis pas bien certain qu’il aurait dit la même chose. Toujours est-il que la dame a tendu ses billets frappés d’un côté du portrait de notre Majesté pour payer sa terre. « Votre 10 $ est un faux, Madame », lui a dit la caissière. « Il n’y a pas de filigranes et regardez comme le nez du bonhomme est bizarre. » Le nez de Sir John Alexander Macdonald avait en effet l’air faux. Mais comme l’homme tout entier l’était assez de son vivant, j’ai trouvé au contraire que cette liberté prise par le faux-monnayeur lui donnait un petit air plus vrai que nature.
En 1867, Macdonald fut le premier premier ministre d’une Confédération que l’on s’emploie depuis à présenter comme le creuset d’un pays de conciliation. Mais pour les conservateurs de John A. Commémoration. Coureurs des bois, des rivières, du Far West. Hollywood a magnifié depuis longtemps des personnages historiques anglo-saxons issus du peuple et déjà, par leur légende, enchanteurs du Nouveau Monde : Daniel Boone, Davy Crockett, Kit Carson, Buffalo Bill… Convaincus que des Français et leurs descendants canadiens sont allés encore plus loin dans la transfiguration populaire du continent, Serge Bouchard et Marie-Christine Lévesque, dansIls ont couru l’Amérique, nous révèlent ces magiciens méconnus.
Voilà le tome ii des Remarquables oubliés, dont le premier volume faisait, en 2011, découvrir quinze femmes qui, même si les historiens les ont négligées, « ont fait l’Amérique ». Les patriotes de 1837: la Rive-Sud à l'avant-garde. La Journée nationale des patriotes a lieu cette année le 19 mai autour du thème « À la grandeur du Québec ».
Loin de se limiter au Richelieu et à St-Eustache, le mouvement patriote avait en effet de profondes racines dans pratiquement toutes les régions du Québec. D'ici la mi-mai, dix-sept articles retraceront l'histoire des patriotes de 1837 dans autant de régions, de l'Outaouais à la Gaspésie. De Longueuil à Sorel, l'autoroute 30 « de l'acier » traverse aujourd'hui une région particulièrement soulevée en 1837 du côté patriote. Les historiens ont depuis cherché à expliquer cette mobilisation étonnante par des causes indirectes, tel le contexte économique ou social.
L'explication est finalement plus simple. Le pape nomme deux nouveaux saints québécois. Dernière mise à jour: 03-04-2014 | 07h31 QUÉBEC - Le pape François a signé un décret jeudi autorisant la nomination de deux nouveaux saints québécois, rapporte Radio Vatican.
Il s'agit de Mgr François de Montmorency-Laval, le premier évêque de Québec, et de mère Marie de l'Incarnation, qui a fondé le couvent des Ursulines au début de Nouvelle-France, en 1639, dans la ville de Québec. Le pape François a utilisé une procédure hors de l'ordinaire pour les déclarer saints. Il a outrepassé l'étape d'un miracle prouvé obtenu grâce à eux, habituellement nécessaire à la canonisation. Il avait employé la même façon de faire l'année dernière dans le cas de Jean XXIII, qui sera canonisé le 27 avril prochain en même temps que Jean-Paul II.
Le premier réseau social consacré à la généalogie au Québec! Éric Bédard, Historien et professeur (TÉLUQ) Nous commémorons cette année le centième anniversaire de la « Grande Guerre » qui secoua le monde de 1914 à 1918.
Le bilan de ce terrible conflit mondial dépasse l’entendement… Près de 9,5 millions de soldats y laisseront leur peau. Quant aux blessés, les historiens avancent le chiffre de 21,2 millions. Pour soigner ces hommes qui avaient connu l’enfer des tranchées, environ 2 500 infirmières canadiennes seront appelées en renfort. Parmi elles, Marie Perron… Selon les chiffres du généalogiste Marcel Fournier, environ 16 400 Québécois portent le patronyme de Perron.
Les deux autres pionniers de la famille Perron ne portaient pas ce patronyme à leur arrivée. 6 500 morts par jour… Contrairement à la Seconde guerre mondiale (1939-1945), les responsabilités de la Première guerre mondiale sont plus difficiles à établir. Lorsque l’Europe entre guerre au cours de l’été 1914, les belligérants sont convaincus que l’affrontement sera de courte durée. L’histoire au profit de l’ensemble des Québécois. L'annonce effectuée le 12 février dernier dans la Gazette officielle du Québec d’une modification du Règlement sur le régime des études collégiales en vue de l’introduction d’un élément de formation en histoire du Québec à la formation générale commune des cégeps concrétise encore davantage le projet de renforcement de l’enseignement de l’histoire nationale proposé à l’automne 2013 par les ministres de l’Enseignement supérieur et de l’Éducation, Pierre Duchesne et Marie Malavoy.
Il s’agit là d’une excellente nouvelle, tant pour les futurs étudiants des cégeps que pour l’ensemble de la société québécoise, et il faut saluer la décision courageuse du gouvernement. L’apparente tiédeur manifestée par des organisations patronales et syndicales du milieu de l’enseignement collégial en réaction à cette annonce doit être mise en perspective. Effacement graduel Professeurs et professeures d'histoire signataires: La devise du Québec - Se souvenir de qui, de quoi? 23 juin 2005 | Jacques Rouillard - Professeur au département d'histoire et responsable du programme d'études québécoises de l'Université de Montréal* En 2002, Thierry Le Brun, récemment immigré au Québec, réalisait un documentaire pour l'Office national du film sur la signification de la devise du Québec: «Je me souviens».
Plaque d'immatriculation en main, il s'est employé à interroger des Québécois de tous les horizons sur le sens de la devise de leur province. Les réponses apportées sont presque aussi diverses que le nombre de personnes consultées, et elles sont souvent farfelues. La confusion identitaire et les valeurs québécoises. Le débat identitaire qui s'enclenche à propos de la Charte des valeurs québécoises nous rappelle comment cette question procède encore d'une confusion sémantique entre la citoyenneté et l'appartenance à une communauté.
Lire L’héroïsme de nos frères canadiens dans le cadre d’une approche régionale de la Grande Guerre. Lire L’héroïsme de nos frères canadiens dans le cadre d’une approche régionale de la Grande Guerre Pour accompagner la sortie des Petites patries dans la Grande Guerre aux Presses universitaires de Rennes, actes de la journée d'études Pour une approche régionale de la Grande Guerre organisée en novembre 2012, En Envor, Revue d'histoire contemporaine en Bretagne propose une relecture d'un article d'Armand Rio publié en novembre 1917.
En effet, passé au prisme d'une approche régionale, ce texte prend un sens qui, par bien des égards, éclaire notre compréhension de la Première Guerre mondiale. Le fleurdelisé a 66 ans. Vive la république du Québec! Ce billet est une reprise du discours présenté lors du traditionnel dîner des patriotes du RPS, à St-Ours-sur-Richelieu, le dimanche 24 novembre 2013. En cette fin d'année, la lutte nationale traverse un nouveau creux de vague. Un autre. On va évidemment s'en sortir, mais pas nécessairement plus forts, pas nécessairement pour le mieux. On vit d'abord la situation inconfortable par excellence : un gouvernement souverainiste minoritaire, qui traine tous les inconvénients du pouvoir, mais sans les moyens politiques de mener un agenda nationaliste. Jour du Drapeau: le Canada, une identité confisquée. Le 21 janvier 1948, le Québec adoptait le fleurdelisé comme drapeau officiel. Chaque année, le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) organise et coordonne, avec l'aide de ses Sociétés nationales et Saint-Jean-Baptiste membres, diverses manifestations de fierté sur l'ensemble du territoire québécois à l'occasion du jour du Drapeau.
Cette série d'articles vise à faire découvrir des aspects moins connus de cette commémoration annuelle. On débat souvent des inconvénients pour le Québec d'être fondu «dans un Canada uni». On déplore les conséquences économiques, les querelles de juridictions et les périls que cela fait peser sur la langue française. Or les conséquences ne sont nulle part plus évidentes que sur la perte des symboles nationaux.