Poldoc au groupe de travail Conspectus de l'ALA - Boston. La conservation partagée Claudine Lieber Inspecteur général des bibliothèques Conférence prononcée le 17 mai 2001, lors de la journée d'études organisée par le groupe Poldoc à la BM de Lyon.
La conservation partagée est un thème courant de la littérature bibliothéconomique, cest un classique des journées détude. Je dois dire que ce sujet me semble participer à la fois de la tarte à la crème et du poil à gratter. Les bibliothécaires en approuvent le principe, tous sont daccord pour dire combien la conservation partagée est lidéal à atteindre : on en parle beaucoup, on en fait très peu. Cest aussi pourquoi le sujet nous démange. Je mefforcerai pourtant de le traiter, en restant au plus près du « terrain » comme lon dit. 1.
. - sur le plan pratique. Qu'est ce que la "conservation partagée" en bibliothèque ? Réponse: La conservation partagée consiste en une concertation des bibliothèques quand à leurs politiques de désherbage et de conservation.
Elle s'inscrit dans les dispositifs plus larges de coopération documentaire : harmonisation des politiques documentaire au niveau national, régional et selon différentes thématiques ou supports, réseaux documentaires spécialisés (comme celui des CADIST, Centres d'Acquisition et de Diffusion de l'Information Scientifique et Technique), catalogues collectifs, etc. Claudine Lieber est spécialiste du désherbage et a joué un rôle important dans le développement de la conservation partagée ; elle la présente dans l'intervention suivante : Lieber Claudine. La conservation partagée. Journée d’étude Poldoc Lyon, le 17 mai 2001 [en ligne]. Pour aller plus loin : Vocabulaire codicologique. Leporello (livre) Livre d'emblèmes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La sagesse, (Londres 1635, Emblèmes de Withers) Les livres d’emblèmes sont des livres illustrés de gravures qui sont publiés en Europe aux XVIe et XVIIe siècles. Chaque gravure sur bois ou sur métal est associée à un titre et un texte. Apparat savant. Leçon (philologie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir leçon. La leçon d'un texte est, en philologie, l'une des versions de ce texte (en général pour parler des textes anciens, antiques ou médiévaux : on dira, par exemple, que La Chanson de Roland a plusieurs leçons). L'imprimerie n'existant que depuis le XVe siècle en Occident, la diffusion des textes ne s'est faite, pendant toute une époque, que par recopiage manuscrit. En raison de facteurs divers, comme des changements de typographie (passage de l'onciale à la minuscule caroline par exemple), toutes sortes d'erreurs se sont introduites dans la tradition manuscrite.
Ces différentes leçons sont répertoriées dans ce qu'on appelle l'apparat critique. Le terme leçon est emprunté vers 1135 au latin lectionem : la notion de lecture et le fait de lire sont concomitants du mot. Portail de l’édition. Transcription (paléographie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
En paléographie, la transcription consiste à reproduire un texte manuscrit, en rétablissant notamment les abréviations qu'il peut contenir. Les lettres permettent de reconnaître le début d'un mot et par la même faciliter sa recherche, ceci après avoir relevé les pièges de certaines lettres qui suivant les scribes se confondent : les S et F, i et J, B et G, etc. . Les particularités, ce sont des lettres ajoutées dans les mots ou utilisées à la place d'autres lettres, ceci assez couramment, sans parler de l'orthographe très aléatoire de certains scribes, en particulier en état-civil où les noms et mots étaient souvent écrits sous une forme phonétique par certains prêtres.
Exemple : avec la lettre ( P ) ajoutée dans le mot Achepteur (acheteur), et avec (Es) qui remplace les é ou è et un ( P ) en plus dans Escripre (écrire), Nopces (noces). Les abréviations spéciales et leurs formes : Livre pauvre. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Un livre pauvre est une création poétique sur papier, manuscrite et illustrée. Son concept a été lancé par Daniel Leuwers en 2002[1],[2]. Technique[modifier | modifier le code] Pourquoi « pauvre »[modifier | modifier le code] Un tel livre ne passe pas par les circuits éditeur - imprimeur - librairie et ce dernier est peu coûteux à réaliser : ce sont les principales raisons qui ont conduit au choix de son appellation[1]. Intervenants et collections de livres pauvres[modifier | modifier le code]
Post-incunable. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Johann Geiler des Kaysersberg : Navicula Speculum sive fatuorum. Lectio difficilior potior. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Lectio difficilior potior est une formule latine signifiant « (de deux leçons) la plus difficile est la meilleure » (c'est-à-dire « préférable »). Leçon, dans cet emploi, désigne l'interprétation des caractères formant le mot qui se lit dans la source examinée (lectio est le substantif correspondant au verbe legere « lire »). Si d'autres sources du même écrit offrent des leçons différentes, on parle de variantes (entre lesquelles l'éditeur du texte devra choisir). Paléographie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
La paléographie (du grec ancien παλαιός / palaiόs (« ancien »), et γραφία / graphía (« écriture ») est l'étude des écritures manuscrites anciennes, indépendamment de la langue utilisée (grec ancien, latin classique, latin médiéval, ancien français, moyen français, français classique, anciens caractères chinois etc.) Épistémologie[modifier | modifier le code] La paléographie entretient des liens étroits avec des disciplines telles que la philologie, la codicologie ou la diplomatique et est considérée comme l'une des sciences auxiliaires de l'histoire.
La paléographie a trois objets : Histoire de la discipline[modifier | modifier le code] Masthead (publishing) Ours (imprimerie) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Dans l'édition et l'imprimerie, l’« ours » est un petit pavé[1], situé généralement au début d'un ouvrage, qui recense les noms et adresses de l'éditeur et de l'imprimeur, et le nom des collaborateurs ayant participé à la fabrication de l'imprimé. Dans un journal français, l'ours contient les mentions légales obligatoires suivantes : l’éditeur de la publication, le directeur de publication, le nom et l'adresse de l’imprimeur, le dépôt légal, l'ISSN.
Sont aussi souvent mentionnés les noms des rédacteurs. Le terme serait à l'origine un surnom donné à l'imprimeur au XIXe siècle[2]. « L’ours » désignait le compagnon pressier, en raison de ses supposés mouvements lourds pour encrer les formes, tandis que le typographe, qui levait les lettres et les disposait sur son composteur, était appelé « singe »[3].
Sur les autres projets Wikimedia : Colophon (livre) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Colophon. Colophon désigne la note finale d'un manuscrit ou d'un incunable. Colophon d'un incunable de la Somme Théologique, imprimé à Venise en 1477, mais qui suit de près la tradition manuscrite (Queen's University) Placé à la fin d'un texte sur une tablette, un rouleau, un manuscrit, le colophon peut contenir des indications sur le nom du scribe ou du copiste, ainsi que la date à laquelle la copie a été faite et autres renseignements sur le paratexte. Dans les incunables, le colophon reprend parfois le modèle du manuscrit comme dans l'exemplaire ci-joint de la Somme théologique imprimé à Venise en 1477 : « Explicit prima pars Summae sancti Thome de Aquino, diligentissime castigata, super emendatione magistri Francisci de Neritono per theologos viros religiosos Petrum Cantianum et Joannem Franciscus Venetos.
Le colophon vient du grec ancien κολοφών : « couronnement, achèvement »[2]. Rotulus. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le rotulus est un rouleau de parchemin qui se déroule de haut en bas. Ce support a surtout été employé au Moyen Âge. Il était réservé à des documents utilisés dans des lectures publiques : texte liturgique ou théâtral, proclamation officielle. Il pouvait aussi servir à des listes administratives, des suppliques destinées au Pape[1] ou des listes de personnalités défuntes (voir rouleau des morts). Il est destiné à une lecture socialisée[2]. Il ne faut pas confondre le rotulus avec le volumen, qui se déroule horizontalement de gauche à droite. Le pluriel latin est normalement utilisé : des rotuli. Livre de ceinture. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Livre porté à la ceinture par un moine, prêt à l'usage et protégé des voleurs et des intempéries (détail d'une peinture d'Hans Holbein l'ancien, 1493). Un livre de ceinture ouvert. À noter le nœud utilisé pour maintenir facilement, et la relative petite taille du livre. Image tardive d'un moine portant un livre de ceinture à la main. Un livre de ceinture de Nuremberg de 1471. Histoire[modifier | modifier le code] Le plus ancien livre de ceinture, ou du moins s'en rapprochant dans l'idée, a été retrouvé dans la tombe de dame Jeanne Brichard, l'objet est estimé remonté à l'année 1312 et se présente enveloppé dans une longue pièce d'étoffe en partie nouée autour de la main et du bras gauche, le livre ainsi enveloppé tombant au niveau de son genoux gauche[6]. Il existe des centaines de représentations de livres de ceinture dans l'art. Une forme élaborée de reliure[modifier | modifier le code]
Liber amicorum. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liber amicorum de M. van Meer, écrit entre 1613 et 1648 Bon vin, belle Dames et bonne viande / Pendu soijt il qui plus demande... Rubrication. Glossaire. Synonyme : Extensible Mark-up Language Norme d’échange et langage de description des pages web destiné à succéder au HTML et qui fonctionne, comme ce dernier, par un système de balises pour structurer l’information. Accueil du public en langues étrangères, V.O - thèque phrases. Lexique bibliothéconomique en langues étrangères, V.O - thèque mots.
Fiche%20initievocabulaire.pdf. Lexique.pdf.