Takashi Murakami. Takashi Murakami.
Takashi Murakami (村上 隆, Murakami Takashi?) , né le 1er février 1962 à Tokyo, est un artiste plasticien japonais. En 2006, Christie's le classe 6e au classement des artistes les plus chers au monde. Il est considéré comme le digne successeur d'Andy Warhol[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Murakami à Galeria Mars à Tokyo, 1992. Takashi Murakami est né à Tokyo dans l'arrondissement de Itabashi. Murakami collabore avec la marque de maroquinerie de luxe Louis Vuitton.
Considéré comme l'un des chefs de file du néo-pop japonais dit Superflat, mouvement dont il est l'initiateur[6], il revendique l'héritage de Warhol[7] et du pop art américain, tout en analysant la manière dont l'art japonais peut trouver une autonomie face au modèle occidental. Le 21 juin 2011 Google utilisa un « doodle » créé par Takashi Murakami[9]. Démarche artistique[modifier | modifier le code] Il crée des sculptures monumentales, peintures, papiers peints, et autres objets.
Toshimasa Kikuchi, équations de laque. Formé à la restauration de sculptures bouddhiques anciennes, le Japonais Toshimasa Kikuchi (né en 1979) est un homme extrêmement attentif aux matières.
Son travail du bois est d’une infinie finesse, et s’accompagne d’une grande maîtrise de la laque, du travail de la feuille d’or, de la pierre et des pigments traditionnels japonais. Résultat ? Ses sculptures sont d’une telle dextérité plastique qu’on peine à croire qu’elles puissent avoir été façonnées par des mains humaines… Et pourtant. Longues, fines et luisantes, elles sont constituées de cyprès japonais et de laque. Au musée national des arts asiatiques – Guimet, une grande pièce horizontale accompagne les Aiguilles verticales : celle-ci a été réalisée en laque sèche creuse, c’est-à-dire fabriquée à partir d’un noyau en argile qui a été retiré, et tenant grâce à des couches successives de chanvre enduit de laque. Carte blanche à Toshimasa Kikuchi Du 7 juillet 2021 au 4 octobre 2021.
Estampes japonaises. Une estampe est une image produite par impression à l'aide d'une planche gravée.
Les estampes japonaises sont le fruit de la rencontre de cet art xylographique et d'un mouvement artistique d'inspiration bouddhiste, dit des « images du monde flottant » (ukiyo-ye). L'ère de l'estampe japonaise s'étend depuis XVIIe siècle, au moment où cet art se sécularise, jusqu'à la fin du XIXe siècle (ère Meiji), où l'appartion au Japon de nouvelle techniques de gravure, en même temps que l'influence de l'art occidental, détournent les artistes de talent vers d'autres horizons. Technique Les estampes japonaises sont issues de gravures sur bois. Il convient, avant tout, de remarquer que les dessinateurs auxquels on doit ces charmantes silhouettes ne gravaient pas eux-mêmes leurs oeuvres. Depuis les origines jusque vers la moitié du XVIIIe siècle, les estampes furent imprimées en noir sur blanc. Lever de soleil sur la maison de vacances de Naniwa, triptyque de Utagawa Toyokuni. Historique. Qu'est qu'une Estampe Japonaise ?
Les estampes japonaises, ou gravures sur bois, ont connu leur apogée durant l’ère Édo (1603-1868) et sont devenues des images populaires bon marché.
Leur nom japonais ukiyo-e ou « images du monde flottant » fait référence au goût de l’époque : les plaisirs populaires des quartiers réservés. La technique de l’estampe japonaise est aussi appelée « gravure sur bois » ou « xylographie ». Il s’agit d’un processus en quatre étapes. Tout d’abord traditionnellement le dessinateur trace un dessin au trait noir sur papier blanc et donne des indications de couleurs à l’imprimeur, plus tard à partir du 20e siècle il peint une aquarelle avant de la donner à l’imprimeur, c’est par exemple les techniques utilisées par Hokusai, Hiroshige ou encore Utamaro. Ensuite, le graveur sculpte les blocs de bois, en utilisant un bois par couleur. Enfin, l’éditeur a un rôle de diffusion : il cherche et révèle les talents et les réunit pour produire des estampes de qualité. Une riche palette de couleurs :
Road trip au Pays du Soleil-Levant. Leçon de beauté avec les canons de l’époque Edo. Avis.