Sitographie. Identité virtuelle. L'engagement en apprentissage est une question centrale qui se pose forcément à un moment donné pour tout concepteur de dispositif de formation.
Comme le rappelle Etienne Bourgeois(1998) cette question de l'engagement peut être traité à deux niveaux, dans un premier temps l'engagement en tant que processus poussant un individu à entrée en formation à un certain moment de son histoire de vie, puis dans un second temps, l'engagement en tant qu'implication et investissement de l'individu dans le processus d'apprentissage. C'est sur ce second niveau que nous avons choisi d'axer notre problématique et c'est de lui que nous parlerons lorsque nous emploierons le terme d'"engagement".
Identité numérique (Internet) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L'identité numérique ou IID (pour Internet Identity en anglais) peut être définie comme un lien technologique entre une entité réelle (personne, organisme ou entreprise) et des entités virtuelles (sa ou ses représentation(s) numériques). Le développement et l’évolution des moyens de communication, au travers notamment de la multiplication des blogs et des réseaux sociaux, changent le rapport de l’individu à autrui. Ainsi, l’identité numérique permet l’identification de l’individu en ligne et la mise en relation de celui-ci avec cet ensemble de communautés virtuelles qu’est Internet. Dès lors, l’identité numérique peut être divisée en trois catégories: Le décalage ou du moins les divergences qui peuvent subsister entre l’identité déclarative et l’identité agissante soulèvent une question majeure. La schématisation du concept de l’identité numérique a été abordée par plusieurs auteurs comme Fred Cavazza ou encore Leafar[2].
Identité personnelle et identité numérique. Un article de JurisPedia, le droit partagé.
Clara.B, Contributions L’explosion des réseaux sociaux et plus globalement, d’internet, a favorisé la multiplication des données personnelles sur internet et leur circulation sur la toile. Tout utilisateur dispose aujourd’hui d’une identité à plusieurs dimensions : à la fois personnelle, et fait tout récent, d’une identité numérique qu’il doit savoir et pouvoir gérer et protéger pour ne pas se laisser dépasser par la collecte et le stockage de données personnelles.
L’identité personnelle peut se définir comme l’ensemble des informations qui font qu’une personne est un être singulier. Le nom, le prénom, l’adresse de l’internaute font partie de ces informations. Cette notion aux contours flous difficilement définissable fait l’objet de réflexions depuis cinq ans. Ce terme est lié à la notion même d’identité. La maîtrise de son identité numérique est notamment apparue avec l’émergence des réseaux sociaux. Le rôle de la CNIL Charte du 13 octobre 2010. Sitographie. Identité virtuelle versus identité sociale. Identité virtuelle versus identité sociale : devenons-nous fous ?
Le développement incessant d'Internet pousse toujours plus de personnes à rejoindre de plus en plus fidèlement le réseau. Le nombre d'heures de connexions ne cessent de croître, fruit de l'attractivité d'Internet. Les gouvernements, les associations, les gens appellent la population mondiale à rejoindre Internet. Aussi, en rejoignant Internet on se crée plus ou moins consciemment au moins une identité virtuelle.
Cela présente-t-il des risques ? 1) Identité virtuelle : une construction plus ou moins consciente1.1) Une construction automatiqueDès que l'on rejoint Internet, a fortiori avec l'avènement du web 2.0, on se crée son identité virtuelle. 2) Identité sociale, je te hais ! 2.2) Les "no-life" ou l'identité virtuelle mortelleConcrètement, observons les "no-life", ces individus qui n'ont (pratiquement) plus de vie sociale. 3) Du commun des mortels au commun des immortels ? Construction de l'identité virtuelle. Sitographie. Recherche universitaire sur la création de l'identité virtuelle - Page 2 - La Taverne - Forums de WoW Mania.
La protection pénale de l’atteinte à l’identité numérique sur les réseaux sociaux - Virtualegis. L'identité sur un réseau social est « constituée par son profil »[1], lequel contient de multiples informations, ou données personnelles et contributions[2].
Or, selon un rapport de Symantec « les cas d'usurpation d'identité auraient explosé [à la fin de l'année 2010], à la faveur de la multiplication de « toolkits », sites malveillants, et surtout via des actions plus ciblées sur les réseaux sociaux »[3]. Cette « identité numérique » est protégée par la loi de plusieurs manières. I. - La protection dans le cadre du droit commun Elle est tout d'abord protégée, depuis longtemps, de manière indirecte, au moyen de la protection des données personnelles et de la protection du nom dans le monde « physique ». L'article 434-23 du code pénal punit, par exemple, « le fait de prendre le nom d'un tiers, dans des circonstances qui ont déterminé ou auraient pu déterminer contre celui-ci des poursuites pénales [ … ]. II. - La création du délit d'usurpation d'identité numérique Pascal ALIX Avocat à la Cour.