Revue Notes & morceaux choisis n°8: Le Travail mort-vivant - Librairie Publico, spécialisée en livres anarchistes. Travail mort vivant. Transformer le travail. Quelques réflexions à partir de deux textes de Mathieu Amiech et Julien Mattern - Temps critiques. Octobre 2011, Jacques Wajnsztejn 1 Ce texte reste à mi-chemin entre un énoncé de type marxiste sur la crise (crise de surproduction dans « l’économie réelle ») et des références implicites à des courants ou personnes qui ont abandonné ce type de référence comme l’Encyclopédie des Nuisances qui développe une vision catastrophiste de la crise de la « société industrielle », mais sans parler de crise de civilisation ou comme Guy Fargette pour qui la dégénérescence de ce qui fut appelé finalement à tort « le système capitaliste » conduirait à une « crise de civilisation ». 2 Bref, il me paraît difficile de discuter sur le fond, si ce n’est sur le titre lui-même : « Que la crise s’aggrave », ce qui supposerait une analyse de « la crise ».
On ne peut pas dire qu’elle apparaît clairement dans ce texte puisque les auteurs superposent crise de civilisation et crise économique de surproduction sans qu’on sache bien le lien qui les relie toutes deux. Site de l'Offensive Libertaire et sociale. Le travail mort-vivant Loin des discours simplistes sur la fin du travail et le chômage heureux dans une société d’abondance, Julien Mattern analyse ici la perte de sens de l’activité humaine et sa démesure actuelle, qui ne cesse d’engendrer des catastrophes sociales et environnementales.
En ce qui concerne la production de nourriture industrielle nécessaire à notre survie quotidienne, tu dis que nous projetons des idées et une réalité du passé. Sémantiquement, on est en effet passé du « paysan » à l’« agriculteur » et, aujourd’hui, nous sommes au « producteur de particules ». Miam miam... Julien Mattern : En l’occurrence, ce genre d’expression technique est là pour neutraliser la souffrance que nous faisons subir aux bêtes et que les personnes qui travaillent dans ce secteur subissent d’ailleurs aussi. Vous revenez sur les positions de Hannah Arendt qui parle d’œuvre pour le travail réalisateur.
Vous parlez de légende dorée et de légende noire du capitalisme... Tout à fait. À lire. 12 technologies qui vont changer le monde (et tuer des emplois) L’institut de conseil McKinsey a publié un rapport en mai intitulé « Technologies de rupture : des avancées qui changeront la vie, le commerce et l’économie mondiale ».
Dans ce document de 180 pages, douze innovations sont listées, toutes capables de modifier le monde à l’horizon 2025. Une technologie dite « de rupture » a une particularité : comme l’indique son nom, elle rompt avec le marché existant – qu’elle altère ou détruit – et modifie le paysage économique en profondeur. Les exemples ne manquent pas dans l’histoire récente : les moteurs ont rendu la force animale obsolète, le téléphone a signé la mort du télégramme, la photographie numérique a enterré l’argentique... Impact économique et capacité de rupture Les années 2000 ont aussi eu leur lot de ruptures technologiques « en devenir » avec par exemple le téléchargement face à l’achat de formats physiques, le livre numérique, l’e-commerce... IMG/pdf/Travail.pdf.
Le concept de travail mort. (pourquoi) travailler ? La Bande Passante. La valeur travail : on se souvient que lors de la dernière campagne présidentielle, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy n'avaient de cesse de s'y référer.
Elu président, Sarkozy ne parle plus du travail, dans un contexte pourtant marqué par la crise financière et ses effets délétères sur l'emploi : licenciements massifs, mobilité forcée, etc... Les entretiens réunis par La Bande Passante reviennent sur ce qui est bien « la » question sociale, aujourd'hui comme hier : le travail. Une pédagogie du travail, des films d'intervention aussi. Conjoncture : Ces très «chères» associations. DÉCRYPTAGE - 34 milliards d'euros de subventions sont accordées chaque année par l'État et les collectivités locales à 250.000 associations.
À l'heure des restrictions budgétaires, enquête sur l'étonnante opacité qui entoure le financement public des associations. Il existe en France un curieux document. Certains, fiers de connaître son existence, entourent son nom d'une pointe de mystère ; d'autres, mieux initiés, chuchotent qu'il est plein d'erreurs... RSE : Demain, enfin heureux au travail ? Jw_quelques_reflexions_a_partir_a5.pdf (Objet application/pdf)
Sel-monnaie-travail.pdf (Objet application/pdf) Les anarchistes ou l'abolition impossible de l'argent sans dépasser le travail : Postface aux Fils de la Nuit d'Antoine Gimenez. Les marxismes traditionnels et ses différentes tendances (conseillistes, utopistes, auto-gestionnaires, communistes de parti, sociaux-démocrates, etc.), ne furent pas les seuls à comprendre le capitalisme à partir du point de vue du travail. Les anarchistes sacrifièrent aussi à ce principe de constitution sociale de la société capitaliste. Travail. Bonheur et travail.