Interview: Charlotte Gainsbourg, son père, ses albums, ses concerts. Elle est bloquée à New York, et pour une fois personne ne l’envie.
La ville qui ne dort jamais est entrée dans un coma profond, les artères de Manhattan ne battent plus qu’au ralenti et Time Square est un poumon infecté dont les rares lumières ne scintillent plus que pour les oiseaux. Charlotte Gainsbourg a elle-même contracté le virus qui fige le printemps et paralyse la moitié de l’humanité (“une forme légère”, précise-t-elle), et en ce mois de mai encore indécis, elle profite des heures lentes pour écrire les textes et ébaucher les fondations de son futur album. À distance mais sans trop y croire, elle travaille aussi à l’un des projets les plus importants de sa vie, l’ouverture au public de la maison de son père, au 5 bis, rue de Verneuil, dont l’inauguration devait avoir lieu en 2021, à l’occasion du trentième anniversaire de la disparition de Serge Gainsbourg. “Tout prend du retard aujourd’hui, et je ne suis pas certaine que l’on y parvienne dans les temps.
Love Hôtel - Un hôtel de Jour à Thème. Des chambres d’hôtels à l’heure pour des rendez-vous à la décoration délirante… Il en existe plus de 7200 rien qu'au Japon.
Les chances de tomber par hasard sur un Love Hôtel sont assez élevées si jamais vous décidez de visiter le pays du soleil levant. Là-bas, ces hôtels thématiques pour couples que l'on peut réserver pour une ou quelques heures, pour la nuit ou en journée sont une véritable institution. D'apparence occidentale, avec une décoration voyante et même parfois extravagante (à Tokyo, l'immeuble d'un Love Hôtel a pris l'allure d'un immense paquebot en béton) ils apparaissent dès les années 20 au début de l'ère Showa, sous forme d'hôtels à prix réduit dont on peut disposer pour se reposer de une à quelques heures, nommés les Motels.
Editeurs cherchent chefs-d'oeuvre désespérément. TheMediaShaker, un autre regard sur les industries culturelles à l’ère numérique. - Astronomie - Voyage Au Coeur d'un trou noir - Documentaire ( 18 ) Musée des Beaux-Arts de Lyon. ASCENSEUR POUR L'ESPACE - France Culture Plus. Imaginez un ascenseur qui vous amène directement sur Jupiter, Mars ou la Lune.
Et bien vous pouvez l’imaginer mais ce n’est pas pour demain, ni après demain. Alors, en attendant, quoi de mieux pour explorer l’univers et le cosmos que France Culture Plus. Garanti sans risques, vous y découvrirez les joies de l’astrophysique et de la cosmologie, l’expérience de la micro-pesanteur et des découvertes renversantes. Quand la NASA envoyait des bouteilles à la mer dans l'espace... Dans les années 1960, des artistes ont documenté la conquête spatiale au sein de la NASA. D'autres Terres dans l'Univers ? L'Espace, un milieu à expérimenter. Lien entre matière visibles et invisibles en cosmologie. CNES, agence spatiale française / Ascenseur pour l'EspaceKorben / Vol Parabolique (Zero G) Contrat Madelin TNS : Contrats Madelin Retraite - Santé - Prévoyance - Loi Madelin. Avant 40 ans : l'heure de faire le bilan. A cet âge vous arrivez presque à la moitié de votre carrière professionnelle, et l’idéal serait que vous fassiez un petit bilan de votre situation financière et professionnelle.
Dans cette perspective, réclamez votre relevé individuel de situation. Ce document vous permettra de vous enquérir du nombre de trimestres que vous avez à votre actif. Comparez-le avec vos propres documents et, en cas d’éventuelles erreurs, faites le savoir. Puis, envoyez à votre Caisse national d'assurance vieillesse, tous les documents susceptibles d’appuyer votre demande. Continuez à épargner pour votre assurance-vie. Pensez à la possibilité d’ouvrir un plan d'épargne entreprise (PEE), un plan d'épargne retraite collectifs (Perco) ou un plan d'épargne en actions (PEA). Si vous exercez une profession libérale ou que vous êtes commerçant, ouvrez un Perp ou un contrat Madelin. L’Assurance vie : plus que jamais un bon plan ! Et si l'Art remplaçait la publicité ?
Notre inconscient est-il hautement perméable à l’affichage publicitaire visuel à outrance ?
Trois artistes newyorkais en sont persuadés. Pour résoudre ce qu’ils jugent comme un problème publique de santé mentale, ils lancent une application qui remplace les affiches de métro par de l’art. Trop de pub tue la pub ? Le débat sur son matraquage visuel quotidien est aussi vieux que celui sur la réforme fiscale française. Pour les plus zélés opposants au lavage de cerveau qu’ils dénoncent, les annonceurs et leurs bras armés créatifs nous bourrent insidieusement le crâne. En proposant gratuitement depuis fin septembre l’application NO AD, Jordan Seiler, Jowy Romano et B.C Bierman permettent au chaland connecté de transformer une affiche publicitaire en un contenu artistique. L’Amtrak donne l’exemple à Philadelphie « Je pense que la surconsommation de pub est néfaste pour notre santé mentale. Benjamin Adler / @BenjaminAdlerLA.