(22) Dessine moi l éco le bulletin de salaire. (21) Motivation - La théorie des deux facteurs de Herzberg. (21) La motivation selon vroom. Paiement du salaire : les droits du salarié. Chargement de votre vidéo "Droit finances : Paiement du salaire, les droits du salarié" Impossible de lire cette vidéo.Si vous avez un bloqueur de pub,merci de recharger la pageaprès l'avoir désactivé.
A quelle date le salaire doit-il être payé ? Comment agir en justice pour réclamer un salaire impayé ? Le point sur la législation, les modalités et le droit du travail applicables au calcul et au paiement du salaire mensuel. Date de versement Délais La loi n'impose pas de date précise pour le paiement du salaire. Ces règles de périodicité ne sont pas applicables aux primes (13e mois, prime d'ancienneté...), dont les dates de versement sont fixées par des règles spécifiques. Paiement différé Le contrat de travail ne peut pas prévoir de règles contraires (paiement différé...) à celles énoncées ci-dessus. Retard En cas de retard de salaire, le salarié peut dans un premier temps adresser une lettre en recommandé à son employeur afin d'exiger le paiement du salaire.
Montant Calcul Minimum Primes Retenue. La structure des rémunérations dans le secteur privé en 2016. La part des éléments variables retrouve son niveau d’avant-crise En 2016, dans les entreprises de 10 salariés ou plus du secteur privé, les éléments variables de la rémunération ont représenté 20,1 % de la rémunération brute totale.
Les primes et compléments de salaire, et les heures supplémentaires ou complémentaires, en constituent la majeure partie : 15,5 % de la rémunération brute totale. L’épargne salariale et les autres éléments de rémunération contribuent respectivement à 3,4 % et à 1,2 % de celle-ci. La structure des rémunérations varie fortement selon le secteur d’activité et la branche professionnelle. La taille de l’entreprise a aussi un impact important. En 2016, la part variable de la rémunération retrouve le niveau enregistré avant la crise (20,1 % en 2008). Politique de rémunération, motivation des salariés… et avantages fiscaux. La politique de rémunération est au cœur des préoccupations des entreprises.
Elle comprend différents types de rémunération identifiés par Donnadieu (1993) et apparaît comme un enjeu stratégique car elle contribue à la maîtrise de la masse salariale. La masse salariale correspond au cumul des rémunérations brutes des salariés de l’établissement (hors cotisations patronales) (définition Insee). À cela il faut ajouter les contributions patronales destinées aux organismes de retraite, URSSAF, etc. Maîtriser un budget revient donc à maîtriser les salaires et optimiser les charges patronales.
Piloter le système de rémunération permet de fidéliser, motiver les salariés, attirer les meilleurs candidats, et gérer les potentiels. Opportunités sociales et fiscales Les DRH ont pris l’habitude d’effectuer des arbitrages en fonction des opportunités fiscales et sociales. On entend ici par niche, des éléments de rémunération exonérés de cotisations sociales et d’impôts. Jusqu’où grimpera ce taux ? Les 101 théories de la motivation. La théorie de Festinger (1957) part du principe que les individus sont perpétuellement en recherche d’harmonie, de cohérence et de congruence dans leurs représentations cognitives d’eux-mêmes et de leur environnement.
Ces représentations cognitives sont des croyances ou des connaissances. Deux cognitions sont en dissonance s’il existe une contradiction entre deux éléments qui se suivent. Par exemple, le fait de savoir que fumer provoque le cancer et continuer à fumer est une dissonance car, en ayant cette connaissance, il devrait s’en suivre que l’individu cesse de fumer. Festinger (1957) estime que la dissonance est un état motivationnel car elle induit un affect négatif déplaisant qui engage l’individu à rechercher une réduction de la dissonance.
Festinger inscrit sa théorie dans une dynamique homéostatique et prend comme modèle la conception de drive (Hull, 1943) pour expliquer ce phénomène motivationnel. Les 101 théories de la motivation. La théorie de l’équité que propose Adams (1963) s’inspire de la théorie de Festinger sur la dissonance (1957 ).
Pour elle, le travailleur va, en permanence comparer les différentes conditions de son emploi avec celles d’autres individus. Cette comparaison peut aboutir au constat d’une dissonance. Cette conclusion va générer une source de tension que l’individu va chercher à réduire en fonction des possibilités que lui offre la situation. Deux expériences d’Adams & Rosenbaum (1962) permettent de mieux comprendre les différents impacts de l’équité.
Motivation - La théorie VIE de Vroom. La théorie des attentes ou théorie VIE (Valence-Instrumentalité- Expectation) La théorie de Vroom , contrairement à Maslow ou Herzberg, ne se focalise pas sur les besoins, mais relie la motivation d’un individu à ses attentes et les chances qu’il possède de les atteindre.
La motivation est vue comme une force déterminée par trois facteurs qui se combineraient de façon multiplicative l’expectation l’instrumentalité la valence motivation = V x I x E l’expectation. Chapitre 5 - Spécialité Ressources Humaines et CommunicationLycée Léonard de Vinci à Monistrol sur Loire.