Wanze: un code couleur dans la cour de récré pour éviter les conflits. Diminuer les conflits entre élèves, à l'école, c'est possible. Depuis une semaine, l'école communale de Wanze applique un concept basé sur un "code couleur" qui divise la cour de récréation en différentes zones d'activités et de jeux. Un concept qui a aussi pour objectif de prévenir le harcèlement en milieu scolaire. Pendant la récréation, Lucas, sept ans, aime jouer dans la zone jaune. "C’est l’endroit où on peut jouer à la pétanque et au domino. On peut aussi lire et dessiner".
La cours est ainsi divisée en quatre couleurs. A l'origine de ce concept, qui concerne aussi le secondaire, le psycho-pédagogue Bruno Humbeek qui, il y a cinq ans, s'est attelé à un important projet. A Wanze, Nathan, onze ans, joue dans la zone rouge. A ce jour, 160 écoles de la Fédération Wallonie Bruxelles se refèrent à ce concept. Bénédicte Alié. Les livres virtuels de l'Ecole Elémentaire du Righi. Les cahiers de vie. Vis ma vie d’instit en gif animé (13) | L’instit’humeurs. Ce weekend, toute la France scolaire est en vacances : - la zone A, depuis hier, souffle : son esprit décélère, ses neurones en pleine descente ; - la zone B, en plein milieu du congé : c'est le meilleur, l'école est aussi loin derrière que devant ; - la zone C, qui finit sa quinzaine : on a rallumé les ordis, rouvert les classeurs, ressorti les livres du maître...
A, B ou C, une chose est sûre : tout le monde a une bonne raison pour suivre le 13ème épisode des aventures d'un instit lambda en gif animé. Et toujours en magasin : Vis ma vie d'instit en gif animé Vis ma vie d'instit en gif animé (2) Vis ma vie d'instit en gif animé (3) Vis ma vie d'instit en gif animé (4) Vis ma vie d'instit en gif animé (5) Vis ma vie d'instit en gif animé (6) Vis ma vie d'instit en gif animé (7) Vis ma vie d'instit en gif animé (8) Vis ma vie d'instit en gif animé (9) Vis ma vie d'instit en gif animé (10) Vis ma vie d'instit en gif animé (11) Vis ma vie d'instit en gif animé (12)
De l’air frais dans les classes maternelles ! Enseignement (20 février 2014) De l’air frais dans les classes maternelles ! Loin de tout discours d’impuissance ou de lamentation, des enseignantes maternelles font le pari de lutter, dans leur classe, contre l’inégalité scolaire et sociale. Comment? En ouvrant au maximum les portes de l’école aux parents des enfants défavorisés. En Belgique, l’école maternelle cartonne. Le hic, c’est que l’inscription d’un enfant dans ce type de classe n’est pas forcément synonyme de fréquentation régulière. Un moment capital de la vie Au final, un paradoxe cruel : alors que l’enseignement préscolaire est censé faciliter l’apprentissage du langage et des compétences indispensables pour la suite de la scolarité, il se révèle impuissant à corriger les inégalités de départ des familles. Trois journées de rencontres ont eu lieu entre professionnels du secteur : enseignants, directeurs, personnels des Centres Psycho-médico-sociaux (CPMS), logopèdes, psychopédagogues, etc.
Jouer, pour quoi faire ? Comment apprendre à apprendre. François Taddéi (Wikipédia, @francoistaddei) est biologiste de formation. Il est le cofondateur du Centre de recherche interdisciplinaire (CRI). Sur la scène des Entretiens du Nouveau Monde industriel, ce promoteur de l’interdisciplinarité est venu évoquer son obsession : comment innover dans l’éducation, comment apprendre à apprendre… Quand Garry Kasparov a perdu contre Deep Blue, The Economist titrait « si votre métier ressemble aux échecs, il faut vous préparer à changer de métier ».
L’évolution du jeu d’échec est devenue une métaphore du futur, estime François Taddéi. Après avoir perdu contre Deep Blue, Kasparov s’est lancé dans le jeu d’échec avancé, c’est à dire une modalité où homme et machine jouent ensemble et pour Kasparov, les sessions de jeu sont devenues beaucoup plus intéressantes. Son plus célèbre adversaire, Karpov a également tenté une partie seul contre le reste du monde, qu’il a largement dominé. Les 3 niveaux d’intelligence Hubert Guillaud. Un dialogue indispensable et qui s’apprend! | Enseigner au XXI siècle.
L’affaire du « Jour de retrait » n’en finit pas de susciter des polémiques, mais aussi de mettre au grand jour un certain nombre de questions. Je n’en traiterai ici qu’une, mais qui est majeure : celle de la communication avec les familles. On pourrait en évoquer d’autres : la circulation de l’information à l’heure des nouvelles technologies, ce que signifie la vérification de cette information, sa validation, etc. ,ce que signifie vraiment « instruire » qui serait séparé aux yeux de certains par une muraille de Chine de « éduquer », et bien sûr la question de l’égalité filles-garçons qui selon certains publicistes de droite ne se poserait quasiment plus (il fallait écouter l’inénarrable Théard du Figaro dans le C’dans l’air du 30 janvier). Je me limiterai ici à quelques réflexions autour de la question du rapport aux familles. On le sait, il existait trop peu de formations sur le sujet dans les IUFM. Direction : les documents pour les collègues.
Dix conseils pour bien gérer les relations parents-enseignants. Comment recevoir des parents d'élèves ? Jean-Louis Auduc, ancien directeur d'IUFM, analyse toutes les situations et donne des conseils concrets. Une fiche à ne pas égarer... Des parents angoissés pour le futur Nous sommes aujourd’hui dans une situation où aucun parent n’est assuré que son enfant vivra dans le futur mieux que lui. Cette perspective était un élément fondateur d’un projet collectif, d’une confiance dans l’école. Les parents sont souvent plus désemparés que démissionnaires. Nous sommes passés : - d’une société fondée sur des PROMESSES matérielles dans lesquelles l’école jouait un rôle clé en délivrant des diplômes reconnus sur le marché du travail - à une société pleine de MENACES matérielles où l’école joue souvent le rôle de bouc-émissaire.
Une incompréhension du système éducatif qui pourrait devenir désaffection Pendant des dizaines d’années restées dans les mémoires, l’école a été un symbole de continuité et de permanence bien évoqué dans de nombreux romans ou des films. Face à la désinformation : resserrer les liens entre familles et école | L’instit’humeurs. Après l’offensive portée contre l’école cette semaine, nombre de ses acteurs se retrouvent avec une bonne gueule de bois.
Les directeurs, les enseignants, en première ligne, particulièrement les témoins directs, mais aussi des parents d’élèves, pris à parti et menacés, sans parler des enfants, forcément impactés par la prise en otage d’une frange tout à fait minime mais organisée et bruyante. La plupart n’a pas vu le coup venir. Les signes précurseurs existaient mais personne, pas un parent sensé, par un enseignant, n’aurait pu imaginer de telles rumeurs, une telle énormité. Pensez donc : des cours de masturbation, des garçons forcés de mettre des robes, des démonstrations de baiser homosexuel… Quand j’y repense, j’hésite entre l’éclat de rire – tant c’est grotesque et ridicule ! Ce devrait pourtant être clair : pas un enseignant n’accepterait le quart de la moitié du début du commencement de tout ceci !
Stabilité des enseignants, cohésion de l’équipe, mais aussi disponibilité.