Ecovillages, logements participatifs… Une autre manière d’habiter la Terre. Le gazon n’a pas encore été planté, ni le potager bio.
La maison pour les seniors est aussi à l’état de plan. Mais déjà, sept blocs de logis de couleur ocre et un habitat commun, rassemblant buanderie et chambres d’amis, sont sortis de terre. Situé dans l’Eure-et-Loir, à quelques centaines de mètres du centre hindouiste Amma, l’oasis du Plessis va, à terme, accueillir 28 familles désireuses d’un mode de vie écologique et harmonieux.
Célia, 28 ans, a quitté son travail d’ingénieur bien payé à Saint-Gobain pour rejoindre cette aventure avec son conjoint. Retrouver du lien social « dans un monde qui le piétine » et déployer sa préoccupation pour l’avenir de la planète sont à la source de ce qu’elle considère comme un engagement. « On travaille pour les générations futures, pas pour soi, soutient la jeune femme. Comme Célia, ils sont de plus en plus nombreux à s’installer dans des éco-hameaux ou des habitats participatifs. Pourquoi l’Amazonie brûle-t-elle encore ? L’Amazonie s’enflamme encore.
Durant les dix premiers jours d’août, 10 136 incendies s’y sont déclenchés, selon des données officielles compilées par Greenpeace. Cela correspond à une hausse de 17 % par rapport au mois d’août 2019, quand les images de l’immense forêt en flammes avaient ému le monde entier et provoqué une crise diplomatique entre le Brésil et la France. Une hausse similaire des feux avait déjà été enregistrée en juin.
Car si le président brésilien, Jair Bolsonaro, a pu afficher une volonté de lutter contre ces incendies (60 % de la forêt amazonienne se trouve au Brésil), « rien n’a été fait par le gouvernement ou les entreprises, et les processus à l’œuvre sont les mêmes » qu’en 2019, déplore Cécile Leuba, chargée de campagne forêts pour Greenpeace France. Lire l’explication : Pourquoi les scientifiques s’inquiètent des incendies de l’Amazonie Accaparements illégaux de terres. Extinction des espèces.
En biologie et en écologie, l' extinction est la disparition totale d'une espèce ou d'un groupe de taxons, réduisant ainsi la biodiversité.
Les écologues distinguent cette extinction numérique de l'extinction fonctionnelle, qui est la réduction de taille de la population d'une espèce telle qu'elle conduit à la raréfaction ou à l'extinction d'autres espèces dans la communauté, ce qui altère la fonctionnalité et la stabilité de l'écosystème[1]. Les données paléontologiques montrent que les taux d'extinction étaient invariablement faibles avant l'expansion humaine sur toute la planète, et que les extinctions de masse étaient des événements rares. Définitions[modifier | modifier le code] Une espèce est réputée « disparue » quand le dernier membre de cette espèce est mort. Réchauffement climatique. Le réchauffement climatique, ou réchauffement planétaire[N 1], est le phénomène actuellement observé d'augmentation des températures moyennes océaniques et atmosphériques, du fait d'émissions de gaz à effet de serre excessives.
Crise écologique. Depuis la fin du XXe siècle et le début du XXIe siècle, les crises écologiques se sont multipliées, pour former, avec le réchauffement climatique et la perte de biodiversité notamment, une crise écologique globale, dont les causes restent discutées.
Quoi qu'il en soit, l'humanité est confrontée aujourd'hui à une « question écologique » à laquelle les générations présentes ont commencé à répondre par la prise en compte des exigences de développement durable et par des mesures de transition écologique et solidaire. À cette question, les générations futures devront aussi répondre. Quelques hypothèses sur les origines possibles des crises écologiques[modifier | modifier le code] Écologie. L'écologie ou écologie scientifique[a], parfois assimilée à la bioécologie ou à la bionomie[1], est une science qui étudie les interactions des êtres vivants entre eux et avec leur milieu.
L'ensemble des êtres vivants, de leur milieu de vie et des relations qu'ils entretiennent forme un écosystème. L'écologie fait partie intégrante de la discipline plus vaste qu'est la science de l'environnement (ou science environnementale). Le terme écologie est construit sur le grec οἶκος / oîkos (« maison, habitat ») et λόγος / lógos (« discours ») : c'est la science de l'habitat. Il fut inventé en 1866 par Ernst Haeckel, biologiste allemand darwiniste. Environnement. Vue de la Terre depuis la Lune, en 1968, une des premières visions de notre planète comme un ensemble fini et fragile.
La sauvegarde de la nature, enjeu de la protection de l'environnement. L'environnement est « l'ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins »[1], ou encore comme « l'ensemble des conditions naturelles (physiques, chimiques, biologiques) et culturelles (sociologiques) susceptibles d’agir sur les organismes vivants et les activités humaines »[2].
La notion d'environnement naturel, souvent désignée par le seul mot « environnement », a beaucoup évolué au cours des derniers siècles et tout particulièrement des dernières décennies. Au XXIe siècle, la protection de l'environnement est devenue un enjeu majeur, en même temps que s'imposait l'idée de sa dégradation à la fois globale et locale, à cause des activités humaines polluantes.
Origine[modifier | modifier le code] Sols arides, manque de pluie, ruisseaux à sec : année après année, une sécheresse récurrente. Le Monde et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.
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