Le burger fermier du marché des enfants rouges 75003. Un bar à vin parisien où manger pas cher ! Des bars à vin ? Il y en a presque autant que des Parisiens. Sauf que celui-ci ne ressemble à aucun autre. Déjà, son cadre de bois foncé est peuplé de machines robotisées sur lesquelles on se sert directement. Ensuite, Stéphane, le patron à la bouille joviale, sélectionne des flacons que vous ne boirez pas ailleurs. Surtout, on y mange à prix raisonnés, et pas forcément des planches de sauciflard. L’autre midi, on se goupillait pour 10 euros une petite formule plat + dessert avec gratin royal de saumon et Saint-Jacques entiché d’un petit mesclun de mâche aux fruits secs*, avant le café gourmand orné de mignardises. *Il y avait aussi un parmentier de bœuf doré au four, une grosse salade campagnarde ou un sauté de veau à la provençale !
Formule déjeuner du lundi au vendredi, pour les lecteurs des Petites Tables : entrée + plat ou plat + dessert, 10 € Un resto thaïlandais à Paris VRAIMENT comme à Bangkok ! Des échafaudages, des couleurs, des parfums d’herbes fraîches et de viande grillée… On s’y croirait vraiment ! Même les tables en alu et les petits tabourets sont semblables à ceux que l’on trouve là-bas, devant les stands de street-food thaïlandais. Et puis surtout, c’est Ja, l’ancienne chef du Mandarin Oriental de Bangkok, qui s’attèle à la popote.
Pour la formule à 10 €, elle réalise des salades d’exception, du genre rarement goûté à Paris. Celle à la papaye convoque ainsi piment oiseau, sauce maison au tamarin et jus de citron vert. *Bon appétit, en thaïlandais. Formule avec grosse salade ou assortiment de 3 salades + riz + boisson : 10 € au déjeuner, 10 € au dîner sans boisson. Guo Xin, les meilleurs raviolis chinois de Paris ! « De la farine, de l’eau et du sel ! ». Pas compliquée, la recette des fameux raviolis grillés que Juoxin et son mari façonnent chaque jour à la main dans leur petite gargote de bois contreplaqué, garnie de cinq ou six tables et quelques chaises. Des petits bijoux à la peau blanche et luisante qui s’empilent sur la table par assiettes de quinze, tarifées chacune 6 à 7 euros !
Leur carapace dorée couve une farce à base de porc et légumes chauds ; bœuf et céleri ; champignon, tofu et ciboulette ; œufs et mini-crevettes… « Avec, toujours, quelques gouttes de vin rouge ». Secret de fabrication ! En lorgnant sur la carte de cette micro ambassade de la cuisine chinoise, on s’aventurerait bien, en entrée, du côté de l’estomac de poulet ou des tripes de porc… Puis non, en fait. Ce sera aubergines sautées, voire potage de boulettes de poisson. Assiette de 15 raviolis : 6 à 7 €, entrée : 3 à 4,50 €, dessert : 1 €, bière : 3,20 € Rice Trotters, la cantine des amateurs de riz.
Quel est l’ingrédient central de nombreuses spécialités à travers le monde ? Le riz, bien entendu ! Il en existe des milliers de variétés et autant de recettes possibles. Les 2 fondateurs de Rice Trotters, Laurianne et Anthony, nous en font (re)découvrir les saveurs grâce à des plats inspirés de leurs voyages aux quatre coins du monde. Les influences exotiques se retrouvent aussi dans la déco, entre les multiples plantes et les coussins ethniques. Chaque semaine, 6 recettes fraichement mijotées vous font de l’œil depuis leurs belles marmites et sont accompagnées d’un riz au choix parmi 3 suggestions du moment (riz brun de Camargue, riz jasmin thaï ou riz noir vénéré italien lors de notre visite).
Elaichi Vegetarian Street Food, un indien avec menu à 10 € ! Mais elles sont où, les statuettes de Shiva un brin kitsch ? Pas la peine de chercher, vous n’en trouverez pas. Pas plus que les fameuses tentures de velours rouge ou que les tableaux du Taj Mahal. Ici, on verse plutôt dans l’exotisme tendance, entre bois foncé et murs acidulés. Face au comptoir et ses grosses marmites en inox, les gourmets désignent 4 ingrédients qui composeront leur assiette végétarienne. Des petites douceurs préparées avec des produits bio : curry d’épinards ou de lentilles corail, potiron fondant aux épices, caviar d’aubergines dément, riz basmati… Le chef, qui fait défiler les propositions selon les arrivages ou les saisons, jongle avec coriandre, curcuma, cardamome ou graines de moutarde noire.
La formule comprend, en plus du plat, une entrée du type samossas de patates douces, ou un dessert tel le gâteau de semoule moelleux. Elaichi Vegetarian Street Food Formules : Entrée + plat ou plat + dessert : 10€ (au déjeuner ou le soir à emporter) Happa Teï, le restaurant japonais expert du takoyaki et de l’okonomiyaki à Paris. Un aller-retour pour Osaka, ça ne se refuse pas ! Happa Teï signifie “Chez 64” en japonais, rapport au numéro de la rue où il se trouve. Le quartier Sainte-Anne grouille de restaurants japonais proposant sushis, gyozas et autres ramens. En poussant la porte de l’adorable restaurant Happa Teï, c’est embarquement immédiat pour Osaka à la découverte d’une spécialité encore méconnue à Paris : l’excellent Takoyaki, qu’on déguste dans la jolie salle à l’étage.
Mais c’est quoi les takoyakis ? De petites boules à base de farine de blé/oeuf/bouillon de poisson/ciboulette/gingembre et morceaux de poulpe, cuites sur une plaque alvéolée et façonnées avec dextérité par le chef afin d’obtenir une forme parfaitement ronde. Un vrai spectacle ! En plus, le personnel est très sympa. Takoyaki sauce “standard” (3 pièces) + Takoyaki ciboulette et sauce soja (3 pièces) : 8€ La Bossue, un resto-salon de thé à Montmartre. Une pincée de sel. Un peu de beurre. Et une grande lampée d’amour ! C’est l’ingrédient principal utilisé dans cette coquette pâtisserie-comptoir-salon de thé (ouf !) , nichée au pied de la butte Montmartre. La formule comprend deux petits plats végétariens mitonnés maison, à choisir parmi 4 réjouissantes propositions renouvelées quotidiennement par l’équipe de Caroline et Martin, couple à la vie comme aux fourneaux.
Formule midi semaine : 9.50€ pour l’assiette garnie du jour avec 2 petits plats (quiche, soupe de saison, chausson, gratin, salade, etc.) Isana, la bistronomie latino-américaine à petit prix ! Isana ? C’est le nom d’une rivière qui trace la route à travers plusieurs régions d’Amérique latine. Un peu comme la cuisine de Jean-René, qui emmène voyager du Mexique à l’Argentine, en passant par le Pérou. Dans ces pays, le baroudeur a sévi aux fourneaux d’adresses réputées avant de décider de créer à Paris cette ambassade pétillante, dont les plats s’inspirent des meilleures spécialités ramenées dans sa besace.
Il les mâtine selon son envie de petites touches françaises. Au déjeuner, le chef régale par exemple de “green carnitas”, un tendre effiloché de cochon pata negra cuit 12 heures, qui conte fleurette à des légumes de saison rôtis, du riz parfumé à la coriandre, des haricots noirs et une sauce acidulée aux herbes fraîches et citron vert. Formule midi semaine : plat chaud + dessert du jour = 12€ Coriandre, le restaurant indien fusion de Paris. La Coriandre, c’est LA plante aromatique du moment. Traditionnellement présente dans de nombreuses spécialités d’Inde et d’Amérique latine, elle est devenue incontournable. Coriandre, c’est aussi le nom du nouveau restaurant indien “fusion” niché dans le 14ème arrondissement. Un écrin des plus cosy où règnent mobilier clair, luminaires design et chaises molletonnées.
Au fourneau, le chef Milo (qui a fait ses classes dans 7 établissements indiens parisiens, rien que ça !) Concocte des plats généreux, colorés et riches en saveurs. Comme dit (presque) le dicton, “l’appétit vient en regardant” ! Les autres plats à la carte sont tout aussi alléchants et le service aux petits soins permettra aux palais sensibles de ne rencontrer aucun piment dans leurs assiettes. Formule “Lunch box”: 9.99€ avec entrée + plat ou plat + lassi. Alma the chimney factory Paris (3ème), Kurtoskalacs paradise. Une brioche cuite à la broche, ça vous parle ? Non ? Normal. A Paris on ne trouve nulle part le Kürtőskalács, cette spécialité typique hongroise (et imprononçable) qui se déguste traditionnellement caramélisée au sucre et à la vanille. C’est pour cela qu’Alexandre et sa sœur ont eu l’idée de consacrer leur adorable restaurant à ce produit, revisité en versions salée et sucrée. Le chimney cake (nom anglais donné au kürtőskalács, grâce à sa forme de cheminée et de la fumée qui s’en dégage quand il sort du four) est fait avec une pâte briochée enroulée autour d’une broche puis cuite au four.
Sa texture est légère car sa pâte est non beurrée. Pour le dessert, place à sa version sucrée : parfumée à la fleur d’oranger et agrémentée de nombreux toppings au choix, allant de la cannelle à la noix de coco en passant par les amandes effilées. Le Comptoir Japonais - Resto-Bars. "Cléha, sors de ta chambre, on va la transformer en resto ! " Il y a 4 ans, Hiroko a installé dans la chambre de sa fille une échoppe japonaise avec 4 couverts.
Quand il y a trop de monde, ça déborde dans son salon, près de la cheminée. C'est le Comptoir Japonais, une adresse très discrète du 11e, touchée par la grâce parisienne. Attention, réservation indispensable. Car Hiroko et sa fille cuisinent des petites portions selon l'arrivage du potager. A l'origine, leur association était dédiée à l'Art de Vivre à la Japonaise. Et puis il y a eu Fukushima. Le Comptoir Japonais, 3 Rue Ternaux, 75011 Paris Du lundi au vendredi, seulement le midi, 12,50€ le menu "Teishoku" ( dégustation ) Réservation obligatoire au 06 10 24 06 53 Retrait de paniers de légumes japonais les 3e samedis du mois de 17h à 22h, réservez votre panier pour le 21 janvier 2 jours à l'avance (25€) à l'adresse culinary.messengers@gmail.com ou en appelant. Campionato italiano della pasta, troisième édition.
Par Stefano Palombari Ça y est, la troisième édition du Campionato italiano della pasta, championnat italien des pâtes, va bientôt démarrer. Rendez-vous pour la première rencontre, Latium – Émilie Romagne, le 10 octobre 2015 à 20h30 au restaurant Di Como, restaurant gastronomique italien de la rue du Bac. Le principe reste le même : Le public ne se limite pas à déguster des vrais plats issus de la tradition régionale italienne mais il va décider, par le biais d'un vote, du vainqueur de la soirée. Tel un championnat de foot, les régions italiennes s'affrontent dans des matchs à élimination directe.
A la fin du repas, on proclamera la spécialité gagnante et donc la région qui accédera à la phase suivante. Tout d'abord le lieu. Un grand domaine viticole italien est l'un des sponsors de l'édition 2015-2016. Et ce n'est pas fini. Ensuite, le 14 novembre 2015 aura lieu un « derby » entre îles : La Sardaigne rencontrera la Sicile. Pavillon Puebla, le nouveau QG branché du Perchoir. Bienvenue chez A Noste. A Noste: hurray for top notch tapas. On est toujours à la recherche de petites adresses si précieuses, où l’on peut débarquer entre copains, goûter à tous les petits plats trop bons et vivre un moment sympathique, branché mais sans chichi... Ca tombe bien puisque c’est exactement ce que propose Julien Duboué (Top Chef) talent très prometteur de la gastronomie au cœur de son adresse basque du côté de la Bourse qui combine street-food + resto + bar.
Notre crush est évidemment son comptoir à tapas dément avec des tables hautes où l’on peut débarquer en bande et prolonger, faire de l’apéro un sport qui traîne en longueur. Reste à commander et recommander à gogo ses petites assiettes à se damner de plaisir : balls de risotto au chèvre et piquillos (13€) nems de canard sauce thaï (14€), smoothie de tomate dingo (4€) burger de cochon braisé (7€) sans compter les mythiques croquetas. Ouvert tous les jours de 8h à 2h. Contact - Urban Challenge Le sport en plein air à Paris et Lyon. Plans, itinéraires et cartes de France. Une terrasse trop cool ET pas blindée. Les meilleures adresses Street Food de la saison de Très très bon : les news.
Porte 12. \ Essence Donner une seconde vie à l'ancien atelier de lingerie fine de la rue des messageries, tel est le pari tenu par Porte 12. Conçue en accord avec l'histoire des lieux, cette gargote de style rend hommage à un travail manuel délicat et d'exception et à une inspiration débridée ; alliant subtilement contemporain et authenticité en toute sobriété. La promesse d’une escapade simplement créative et sincère...entrez donc, la porte est grande ouverte. \ Le Chef Derrière les fourneaux de Porte 12 se tient le baroudeur et chef Vincent Crépel. Originaire du Midi-Pyrénées et de l’Atlantique, le jeune chef a fait ses gammes aux quatre coins du monde sous l’aile de chefs remarquables parmi lesquels on compte Philippe Rochat et Benoit Violier, notamment au sein du renommé Hôtel de Ville Crissier (Suisse), mais encore André Chiang de l’éponyme Restaurant ANDRE (Singapour). \ Réservation.
Bars to try. La Recyclerie. La Passerelle - Boulogne - Bar & Grill - Timeline | Facebook. Restaurant cambodgien La Coloniale "à l'Indo" Citycake : Patisserie Française Paris, Livraison Patisseries domicile. Le Paris japonais - My Little Paris. Les Nautes, une plage gourmande dans le Marais. On a enfin trouvé l’esprit guinguette new-age, cool et mode qu’on cherchait tous… A quelques encablures de Saint Paul, la faune branchée squatte ce spot génial au fil de la Seine. Imaginez un « beach-club » version titi-parisien, attenant à la Maison des Célestins. Ca donne des jolis parasols et des transats sur les pavés les pieds dans l’eau, dans une atmosphère divinement fraiche, bon enfant et branchée. Bonne franquette hype ! Ici, pas de chichis, chacun fait sa vie. Ceux qui n’ont pas le temps de filer embrasser la Méditerranée s’improvisent une journée bronzette pour se sentir « comme en vacances » avec un bon bouquin.
Quand sonne l’heure de l’apéro, place au bon son et au rosé pour une fiesta de plage bobo. Au programme des grignotages : du kiff. Toutes les infos. Une pépite au soleil sur l’Ile de la Cité : le Rendez-Vous des Camionneurs. Un apéro comme à Barcelone : Farago. Planque romantique : l’heure gourmande. KGB | Ze Kitchen Galerie. My Little Apéro. Le resto des déserteurs - Restos-Bars. JDN : 10 concepts de street-food qui marchent.