Interdisciplinarité et enseignement prioritaire : EPS et mathématiques au (...) Interdisciplinarité et enseignement prioritaire : Rencontre avec Etienne Barraux et Philippe Poirier Associer l’EPS et les Mathématiques, oui c’est possible !
Et cela peut même représenter une solution pour donner du sens à l’école. C’est un peu le message d’Etienne Barraux, Professeur d’EPS agrégé et de Philippe Poirier, Professeur de Mathématiques, tous deux au collège [RRS] Politzer à la Courneuve. Ainsi, ils ont expérimenté un cycle d’enseignement en Badminton avec une classe de 3ème… Pouvez-vous nous décrire votre démarche ? C’est un projet interdisciplinaire entre les Mathématiques et l’EPS. Comment cette idée a-t-elle vu le jour ? J’ai contacté Philippe pour entrer dans cette démarche interdisciplinaire parce que mes élèves perdaient beaucoup de temps dans le travail d’observation et de recueil de données. Justement comment sur le terrain réussir à faire le pont entre les mathématiques et l’EPS ? Comment les élèves vivent-ils cette démarche ? Bien sûr que si !
Petit compte rendu de l’atelier « Transdisciplinarité » de la CiY Night de l’éducation « Idap. Le Samedi 12 Avril le Noise (association de l’ESCP Europe) organisait la 2ème édition de la CiY Night de l’éducation.
Idap était là pour co-animer et participer à plusieurs ateliers donc celui sur la transdisciplinarité. Voici un bref compte rendu illustré des échanges et des idées [pour une vue d’ensemble sur l’évènement, c’est ici] Un thème : transdisciplinarité Une équipe d’une dizaine de participants, étudiants, jeunes professionnels, personnes travaillant sur des innovations pédagogiques et entrepreneurs. Un CiY Game (3 cartes, 3 contraintes et quelques secondes pour imaginer des projets plus ou moins réalistes et briser la glace) qui enclenche la dynamique avec des idées pas si absurdes.
Le brainstorming permet ensuite de mieux dresser les constats, les problèmes et les pistes de solution. Au final ce sont deux grands axes qui se dégagent et autour desquels le groupe se partage la tâche de formuler des propositions : Publ-1301.pdf. B* Interdisciplinarité et enseignement prioritaire : EPS et mathématiques au (...) - - OZP - Observatoire des Zones Prioritaires.
Education & Management - Le défi de la globalité. Edgar Morin, Directeur de recherches émérite au CNRS, auteur de Les sept savoirs nécessaires à l'éducation du futur et La Tête bien faite, 2000 et 1999, Seuil Perdre l'aptitude à globaliser au profit de l'aptitude à séparer, c'est risquer d'être conduit à une intelligence aveugle.
Connaître, en effet, c'est, dans une boucle ininterrompue, séparer pour analyser et relier pour synthétiser ou complexifier. On observe une inadéquation de plus en plus ample, profonde et grave entre un savoir disciplinaire spécialisé, donc en fait parcellarisé et fragmenté en éléments disjoints et compartimentés, et d'autre part des réalités ou problèmes de plus en plus polydisciplinaires, transversaux, multidimensionnels, transnationaux, globaux, planétaires.
Or la compartimentation des disciplines rend incapable de saisir "ce qui est tissé ensemble", c'est-à-dire, selon le sens originel du terme, le complexe. Un défi culturel Un défi civique Des finalités éducatives La réforme ne partira pas de zéro. Publ-1301.pdf. L’interdisciplinarité « Idap. L’interdisciplinarité, c’est vouloir faire travailler ensemble plusieurs disciplines ; c’est donc vouloir connecter des savoirs, des savoir-faire et des praticiens de ces savoirs.
Les savoirs, savoir-faire et les praticiens de ces savoirs sont la plupart du temps disponibles et librement accessibles ; encore faut-il les mobiliser, aller les chercher. Ils sont trop sagement rangés dans des cases, disciplines scolaires et universitaires d’abord, marquant durablement les habitudes de faire et de penser des individus dans leur travail.
Structurés, les savoirs et ceux qui les pratiquent ne se connaissent et ne s’interpellent que trop rarement, d’où l’importance d’encourager et de valoriser les démarches interdisciplinaires, à tous les niveaux. Volonté de structurer, autour d’un but commun, différentes sources de savoirs. J'adore mon job. Je vous entends déjà (si, si, ne niez pas…). « Quoi?!!
Toi, un prof d’anglais? Impossible… » Bon, ok, ce n’est pas tout à fait vrai, je ne les adore pas les maths, en fait je suis plutôt mauvais en maths (à tel point que lors de mon premier calcul de moyenne à la main il a fallu m’expliquer…) mais j’adore les maths avec @sab_idem. @sab_idem est ma collègue de maths. Elle et moi avons décidé de faire des maths en anglais (ou l’inverse). Voilà comment ça marche. Prenez un problème en français avec un reine des fourmis, des fourmis rouges et noires, une alliance contre des termites et une sombre histoire de calcul à faire. Sauf que… … on le donne anglais, ils ont un mois pour le faire, nous le rendre, le tout en cherchant dans leurs cours de maths et d’anglais les outils dont ils ont besoin pour écrire en anglais et résoudre le problème.
Ils nous soumettent le tout via un Google Form (je ne remercierai jamais assez Lissa Layman de m’avoir montré les Google Form). Evaluer8.pdf.