La Grande-Bretagne autorise l'exploration de gaz de schiste. Le gouvernement britannique a donné, jeudi 13 décembre, son autorisation à la reprise de forages exploratoires de gaz de schiste par fracturation hydraulique, mais en l'assortissant de nouveaux contrôles pour éviter les risques sismiques que peut causer cette technique controversée. Lire : "Graine de révolte au pays du gaz de schiste" "Le gaz de schiste représente une nouvelle ressource énergétique potentielle prometteuse pour le Royaume-Uni, qui peut contribuer significativement à notre sécurité énergétique en réduisant notre dépendance vis-à-vis du gaz importé", a expliqué le ministre chargé de l'énergie et du changement climatique, Edward Davey. Le libéral-démocrate a souligné que cette source d'énergie serait "particulièrement précieuse pour remplacer les ressources en déclin dans la mer du Nord" et permettrait de créer des emplois, de nouvelles recettes fiscales et encouragera l'économie.
Communiqué Amicale des Foreurs - Oui, les gaz de schiste peuvent... - Europétrole. Partager sur Facebook Oui, les gaz de schiste peuvent contribuer au redressement productif !
Édité le 14/09/2012 Réindustrialisation et redressement productif : deux mots magiques déclamés par le nouveau gouvernement à cor et à cri face à une situation économique française sinistrée et une industrie exsangue, dans des domaines aussi stratégiques que sont la sidérurgie, la chimie, la pétrochimie, le bois, le cuir… Pire encore, des fleurons de l’industrie française comme les chantiers navals, l’automobile et les forages pétroliers se retrouvent fragilisés par la crise et certains choix stratégiques hasardeux. Les gaz de schiste, un gisement d'emplois, Points de vue. Des réserves considérables. Des besoins énergétiques croissants L’accroissement de la population et le dynamisme des économies des pays émergents engendrent des demandes énergétiques croissantes à l’échelle mondiale.
Selon l’Agence internationale de l’énergie (AIE), les besoins en énergie devraient augmenter de 40 à 50 % d’ici 2030. À cette même période, le gaz devrait représenter environ 25 % du bouquet énergétique mondial, contre 21 % en 2010. Les gisements de gaz conventionnels proches des lieux de consommation ont été exploités en premier. Il faut donc les remplacer désormais soit :
Gaz de schiste : un engouement mondial, mais beaucoup de doutes. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Audrey Garric Va-t-on vers un âge d'or du gaz de schiste ?
La question est ouverte, alors que le boom des hydrocarbures non conventionnels en Amérique du Nord bouscule la donne énergétique planétaire en affaiblissant la domination des producteurs traditionnels, comme le Moyen-Orient ou la Russie. L'Agence internationale de l'énergie (AIE) prévoit ainsi que d'ici à 2035, le gaz non conventionnel (dont le gaz de schiste) fournira près de 30 % de la production gazière mondiale, contre 16 % en 2011.
Pourtant, si de nombreux pays procèdent à des prospections et des évaluations de leurs réserves, seuls les Etats-Unis se sont aujourd'hui engouffrés dans une exploitation à grande échelle de cette ressource tant prometteuse que décriée. Voir notre visuel interactif : Gaz et pétrole de schiste, des positions diverses Amérique du Nord Lancée il y a plusieurs décennies, l'exploitation des gaz de schiste a explosé aux Etats-Unis au milieu des années 2000. Europe Asie. Gaz de schistes : quelle rentabilité ? - Asteur Amérique. Cet article fait suite à un article récent publié par Mathieu Auzanneau sur son blogue dans lequel il revient sur la question de la rentabilité des puits de gaz mise en doute par toute une série de courriel publiés par le New York Times.
Son article « Bulles de gaz de schiste aux États-unis » explique que les perspectives de rentabilité et donc la rentabilité de l’exploitation des gaz de schistes américains est largement surestimée et que tout ceci ne serait qu’une bulle financière spéculative, une sorte de chaine de Ponzi gigantesque. En parcourant les documents du BAPE, la question de la rentabilité des gaz de schites est souvent évoquée, soit clairement, soit en filigrane.
Au Québec, la connaissance des sous-sols est encore assez lacunaire comme l’explique Pierre-André Bourque, professeur de géologie à l’Université Laval et très favorable à l’exploitation des gaz de schistes. . « Il y a un certain nombre de freins à l’exploration pétrolière et gazière au Québec. Des réserves considérables.