Le rôle central des DSI face au Cloud. Le BT CIO report 2016 témoigne du rôle majeur joué par les DSI dans la mutation numérique des grands groupes. L’enquête a été réalisée pour l’opérateur britannique BT par le cabinet Vanson Bourne auprès de 1030 décideurs IT dans 11 pays (Allemagne, Belgique, Espagne, France, Irlande, Pays-Bas, Royaume-Uni, États-Unis, Brésil, Singapour, Australie). En France, 75 DSI ont été interrogés. Premier enseignement du rapport : le Cloud est considéré comme la tendance technologique disruptive ayant le plus d’impact sur les organisations par 58 % des DSI interrogés dans le monde, et par 61 % des DSI en France.
Suivent la mobilité et les solutions de collaboration (pour 54 % des répondants dans le monde, 53 % en France – soit un taux similaire à celui qu’obtient l’IoT dans l’Hexagone), la data et les solutions analytiques (52 % dans le monde, 56 % en France). Cloud, mobilité et data En France, 64 % des organisations déclarent avoir adopté une approche centrée sur le Cloud. Lire aussi : Quelle évolution du cloud public en Europe ? En Europe, l’adoption du cloud public a enregistré une hausse conséquente entre 2014 et 2015 : alors que 14% des entreprises avaient adopté le cloud public en 2014, c’est désormais le cas pour 26% d’entre elles en 2015. C’est ce que révèle une étude Forrester portant sur près de 400 entreprises du secteur IT au Royaume-Uni, en France et en Allemagne. Par ailleurs, 62% des entreprises interrogées ont indiqué que l’utilisation de plateformes de cloud public constituait une priorité majeure voire critique sur les 12 prochains mois.
Parmi les principaux résultats de l’étude : La France est en tête des pays européens en matière d’adoption de cloud public. Avec 29% de décideurs business et IT ayant adopté le cloud public, la France est le fer de lance de cette tendance en Europe. Avec 24%, le Royaume-Uni et l’Allemagne restent en dessous de la moyenne européenne. Les Européens ne font que peu confiance aux prestataires américains. Ces banques qui basculent leur système d'information vers le cloud. Les banques utilisent de plus en plus le cloud pour leur transformation numérique. En France, les autorités réglementaires freinent encore le mouvement. Pour combien de temps ? On a longtemps cru les banques réfractaires au cloud pour des raisons de sécurité et de conformité.
Le paysage concurrentiel les oblige à revoir leur position. Un tiers des banques "historiques" risquent de disparaitre au détriment de banques digitales à horizon 2020 prophétise Accenture. Des contrats décennaux de plusieurs milliards de dollars La banque ABN Amro a ainsi scellé avec IBM un contrat de dix ans et de "plusieurs milliards de dollars" portant notamment sur l'établissement d'un cloud privé. De nombreux projets lancés à travers l'Europe Côté cloud public, Amazon Web Services (AWS) dispose d'un portefeuille particulièrement garni.
Quant à la banque espagnole Bankinter, elle utilise le service de calcul Amazon EC2 pour faire ses simulations de crédits à risques. Et quid des banques françaises ? TF1 tenté de passer toutes ses activités digitales dans le cloud d’ici 3 à 5 ans. L’annonce du basculement de toute l'infrastructure informatique de Netflix sur le cloud d’Amazon Web Services a servi de déclic à TF1. Nicolas Theraroz, directeur technique de MyTF1, qui regroupe les activités digitales des quatre chaines du groupe de télévision de Bouygues (TF1, TMC, NT1 et HD1), s’interroge : faut-il conserver encore l’infrastructure informatique en interne ou la migrer sur l’infonuage.
Il est tenté de suivre l’exemple du célèbre opérateur de vidéo sur internet. Pour le moment, l’équation économique n’est pas favorable. A lire aussi : Notre interview du directeur de l'innovation de TF1 et patron de sa filiale numérique e-TF1 Le cloud coûte aujourd'hui plus cher "Nous réévaluons régulièrement la situation, explique-t-il. Aujourd’hui, le recours au cloud nous reviendrait beaucoup plus cher que l’exploitation d’infrastructure en propre. Contrainte économique importante TF1 se prépare activement à cette possibilité. Vers une approche multicloud. Cloud : quels avantages pour les entreprises ? Vous venez de lancer votre entreprise et vous êtes à la recherche d’un serveur pour stocker vos données ? Alors pourquoi ne pas vous tourner vers la solution Cloud ? Cette application informatique ne cesse de se développer et présente de nombreux avantages qui peuvent séduire les entrepreneurs.
Focus sur les atouts d’un serveur Cloud pour une entreprise. Un serveur accessible à tout moment En matière d’accessibilité, le Cloud se distingue du serveur informatique traditionnel. De nombreuses offres et un budget diminué Simple à installer et à utiliser, le serveur Cloud est une solution plutôt convenable si vous souhaitez faire des économies au niveau des logiciels et outils informatiques pour votre entreprise. Un serveur pensé pour sécuriser toujours plus les données Pour les entreprises, la sécurité des données est essentielle lorsqu’il s’agit d’opter pour un serveur particulier.
Les 10 principales tendances du cloud en 2016. La technologie du cloud va bouleverser le paysage des données et des analyses en 2016 comme jamais auparavant. Le secteur du cloud connaîtra une activité très contrastée et les douze prochains mois seront placés sous le signe de l'innovation. La concurrence entre des géants tels qu'Amazon, Google et Microsoft se fera plus rude, et les responsables IT chercheront de plus en plus à réduire les coûts et à démocratiser l'accès aux données.
Les nouveaux acteurs du marché ne seront pas en reste, et l'évolution des partenariats et de la demande leur laissera le champ libre pour remettre en question la position dominante des leaders traditionnels. 1/ Les données susciteront plus d'intérêt que jamais Les solutions de stockage de données sont légions. Qu'il s'agisse de Salesforce ou d'Amazon Web Services, les géants du cloud se bousculent pour proposer leurs services et leurs écosystèmes aux entreprises, et pas seulement pour les données internes classiques. 8/ Le dilemme des marchés du cloud.
Le Cloud au top des compétences les plus prisées, selon LinkedIn. LinkedIn a publié son classement des 25 compétences les plus prisées des recruteurs dans 10 pays (Australie, Brésil, Canada, France, Inde, Pays-Bas, Afrique du Sud, Émirats arabes unis, Royaume-Uni et États-Unis). Globalement, le Cloud, l’analyse de données et la gestion de campagnes marketing dominent cette édition 2015, observe le réseau social professionnel. Même tendance en France.
Le Cloud et l’informatique distribuée, l’analyse statistique et le data mining, sans oublier le SEO/SEM (Search engine marketing), forment le trio de tête des compétences les plus prisées en France. En revanche, le langage C/C++ (3e lors de la précédente édition) ne figure plus au classement, et les systèmes et serveurs mainframe IBM chutent de la 5e à la 12e marche. Hors des 10 premières compétences, on notera que les langages Perl/Python/Ruby ont bondi de la 21e à la 13e place du classement France publié par LinkedIn. Lire aussi : Cinq conseils pour réduire la latence du Cloud hybride. Les Clouds hybrides constituent un moyen répandu d’étendre le datacenter local, offrant ainsi à l’entreprise davantage de flexibilité en termes d’administration et d’équilibrage des charges. Les Clouds hybrides permettent d’éclater les charges ou de les migrer vers le Cloud public lorsque des ressources informatiques supplémentaires sont nécessaires, et lorsqu’il s'agit de se prémunir contre les désastres via des architectures redondantes.
Mais interconnecter Clouds privés et publics nécessite un réseau. Et les réseaux affichent immanquablement une latence susceptible d’entraver les performances du Cloud hybride. En soumettant ces informations à LeMagIT.fr, vous acceptez de recevoir des emails de TechTarget et de ses partenaires. Vous consentez également à ce que vos données personnelles soient transférées et traitées aux Etats-Unis, et vous confirmez avoir lu et accepté nos Conditions d’utilisation et notre Politique de confidentialité. 1. 2. 3. 4. 5. Santé : du cloud sur ordonnance.
Anticiper la maladie avant même l'apparition des premiers symptômes, alerter une personne avant qu'elle ne soit victime d'une crise cardiaque, identifier une affection rarissime en quelques secondes… Nous sommes ici dans un futur pas si lointain. Le visage de la médecine est en train de changer. Les terminaux mobiles accompagnent les médecins dans le suivi des patients, les procédures médicales et administratives sont dématérialisées, les chercheurs du monde entier collaborent grâce aux technologies numériques, les supercalculateurs participent même au diagnostic.
L'outil informatique est devenu omniprésent dans le monde de la santé et ce dernier réclame donc toujours plus de ressources pour accompagner et développer de nouveaux usages. Les responsables informatiques des établissements de soins doivent néanmoins faire face, comme dans de nombreux secteurs, à de fortes contraintes : budgets serrés, contraintes réglementaires fortes et pics de charge. Une entreprise sur deux a pris le virage de la bureautique en mode cloud. Il poursuit son chemin avec assurance. Le cloud accueille un nombre toujours plus important de workloads. Et cette évolution n’est pas qu’une affaire d’informaticiens. Tous les employés de l’entreprise sont concernés, et l’irruption de la suite bureautique dans cet univers va encore accélérer la dynamique. Utilisées quotidiennement par des millions de professionnels dans le monde, les applications de traitement de texte ou de présentation sont au centre de leur travail et les fichiers créés peuvent parfois contenir des informations critiques pour l’activité de la société.
Migrer cette partie du système d’information dans le cloud n’est donc pas un choix anodin et fait montre d’un certain niveau de confiance de la part de l’entreprise. Infographie proposée par Dell. Les trois grandes tendances du marché du cloud pour 2016. Pour le CEO de NetSuite, le cloud est la dernière architecture informatique. Zach Nelson, CEO de NetSuite, a crû aux vertus du cloud computing dès 1998. Créé par Evan Goldberg, la société qu'il dirige a été soutenue dès le départ par Larry Ellison, CEO d'Oracle. (crédit : D.R.) « Que peut-il y avoir de plus après si toute l'information dont on a besoin est disponible sur chaque type de terminal à tout moment ?
», pointe Zach Nelson, CEO de NetSuite, pionnier des applications ERP dans le cloud en 1998. En qualité de CEO de NetSuite, on peut dire que Zach Nelson connaît bien l'intérêt du cloud computing. Après tout, sa société fut, en 1998, la première à apparaître sur ce terrain, un peu avant salesforce.com, et bien avant que le SaaS passe dans les moeurs. Workday, SAP, Oracle, Salesforce et les autres s’affrontent tous à peu près dans le même espace, même si leurs approches ou les marchés qu’ils ciblent diffèrent. Zach Nelson considère que NetSuite a encore beaucoup de marge de manoeuvre pour croître.
Cloud et PME : anatomie d’un paradoxe (tribune) Mon évolution professionnelle m’amène à fréquenter un peu moins les grands comptes, et un peu plus des petites entreprises. Cela m’a amené à faire le constat suivant : si, dans les grandes entreprises, on polémique sur la sécurité du Cloud, de plus en plus d’entre elles ont finalement fait un premier pas ; mais, dans les petites entreprises, on ignore tout simplement l’existence du Cloud. On se base encore largement sur des solutions aléatoires en terme de disponibilité. Et pourtant… Pourtant les bénéfices du Cloud sont beaucoup plus évidents pour une petite entreprise que pour une grande : Le Cloud permet de se passer d’une équipe de production et d’une salle machine.
Par ailleurs, le risque d’indiscrétion sur les données (NSA) est faible pour nombre de petites entreprises. Un début d’explication J’ai constaté sur le terrain que les petites entreprises sont prises par l’opérationnel, et manquent de ressource pour faire de la veille. Comment les faire basculer ? Crédit photo : Shutterstock. Les PME et le cloud, les règles du jeu. XEnvoyer cet article par e-mail Les PME et le cloud, les règles du jeu XEnvoyer cet article par e-mailLes PME et le cloud, les règles du jeu Information & technologies Quelques règles de base pour transformer le cloud en atout pour toutes les entreprises, même les plus petites Si les services hébergés dans le Cloud restent encore limités, notamment pour les applications métier spécifiques, des solutions parfaitement adaptées à l’activité des PME existent. Par Laurène Rimondi Des logiciels à la demande (SaaS, Software as a Service), à la location d’infrastructures (IaaS, ou Infrastructures as a Service), en passant par l’environnement nécessaire aux développeurs (PaaS, Platform as a Service), le cloud séduit de plus en plus d’entreprises.
La croissance du secteur est portée par les entreprises qui l’utilisent déjà plutôt que par les nouveaux clients, selon Cloudindex. Les grands usages du cloud : messagerie, partage, sauvegarde et CRM Les économies annoncées La difficile évaluation des besoins. Le Cloud compte désormais pour 35% des revenus PME de Microsoft. À la veille de la conférence partenaires de Microsoft, nous avons demandé à Jérôme Tredan, directeur ventes et marketing petites et moyennes entreprises de Microsoft France de faire le point sur l’année écoulée.
Channelnews : En cette fin d’exercice fiscal Microsoft, quel est le bilan de l’année écoulée pour les partenaires et quels sont les enjeux pour la prochaine fiscale ? Jérôme Trédan : Sur l’exercice qui s’achève, la ligne stratégique était à la transformation de l’écosystème et à sa conversion au Cloud. Avec plus de 3.000 revendeurs actifs sur Office 365 (contre moins de 1.800 il y a un an), on peut dire qu’il y a désormais une bonne adhésion au Cloud au sein de l’écosystème. Le Cloud représente désormais 35% des revenus de la division PME et cette proportion devrait atteindre 50% sur la prochaine année fiscale. La stratégie « Mobile and Cloud first » devrait rester la même. Tout devrait encore tourner autour de ça tant sur le plan marketing que sur celui des offres. Comment le Cloud peut-il booster la compétitivité des PME.
Digital Le 07/01/2015 L’adoption du « Cloud Computing » a connu une croissance fulgurante ces dernières années. Selon le cabinet IDC en 2012, le marché du Cloud a généré en France plus de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires, soit une croissance annuelle estimée à 25%. A l’échelle mondiale, le marché atteindra 241 milliards d’euros en 2020. Le Cloud constitue non seulement un enjeu stratégique mais également un enjeu de compétitivité économique pour les entreprises.
Objectifs visés de la migration vers le Cloud (extrait de l’étude KPMG) Le Cloud Computing, c’est quoi? Il existe plusieurs définitions de Cloud Computing, l’article intitulé « A break in the clouds: Towards a cloud definition , paru en 2008, en recense vingt-deux. . – Trois modèles de service : Software as a Service (SaaS), Plateforme as a Service (PaaS) et Infrastructure as a Service (IaaS). – Quatre modèles de déploiement : Public, privé, hybride et communautaire.
Grille de lecture du modèle NIST.