They Stormed the Capitol. Their Apps Tracked Them. In 2019, a source came to us with a digital file containing the precise locations of more than 12 million individual smartphones for several months in 2016 and 2017.
The data is supposed to be anonymous, but it isn’t. We found celebrities, Pentagon officials and average Americans. It became clear that this data — collected by smartphone apps and then fed into a dizzyingly complex digital advertising ecosystem — was a liability to national security, to free assembly and to citizens living mundane lives. It provided an intimate record of people whether they were visiting drug treatment centers, strip clubs, casinos, abortion clinics or places of worship. Surrendering our privacy to the government would be foolish enough. Now, one year later, we’re in a very similar position. The sacking of the Capitol was a shocking assault on the republic and an unwelcome reminder of the fragility of American democracy. “What if instead of going to you, I wanted to publish it myself?”
“Yes we got inside. Localisations, cartographie et mobilité. Sans titre. L'Arizona attaque Google pour géolocalisation illégale. Le procureur général d'Arizona aux États-Unis, Mark Brnovitch, entame une procédure judiciaire contre Google pour des allégations selon lesquelles la société aurait suivi illégalement la géolocalisation des utilisateurs d'Android sans leur consentement et ce même lorsque les fonctionnalités de suivi de l'emplacement avaient été désactivées manuellement.
Le recours judiciaire soutient que Google a maintenu le suivi de la localisation en arrière-plan du téléphone pour certaines fonctionnalités, comme la météo et les recherches sur le Web à l'aide de son moteur de recherche et de son navigateur Chrome. Pour traquer le virus, les téléphones des citoyens espionnés. De nombreux acteurs veulent géolocaliser les (potentiels) porteurs du coronavirus. De nombreuses entreprises, dont certaines connues pour leurs technologies de surveillance ou logiciels espion, ainsi que des ONG, proposent d'aider les autorités à surveiller la propagation de la pandémie en utilisant les données de géolocalisation des utilisateurs des services de Google, Facebook, voire des opérateurs téléphoniques, notamment.
D'après le Washington Post, le gouvernement américain serait en pourparlers actifs avec Facebook, Google et un large éventail d'autres entreprises technologiques et d'experts de la santé. Le coronavirus donne un coup d'accélérateur aux véhicules autonomes de livraison. Face aux terribles conséquences du coronavirus , une entreprise chinoise a démontré comment la technologie peut faire la différence.
Un cycliste suspecté de cambriolage à cause de ses données Google. Zachary McCoy a été suspecté de cambriolage, sans jamais avoir mis les pieds sur les lieux des faits.
Ce sont ses informations de localisation, transmises par Google, qui ont amené la police à enquêter sur lui. Devenue essentielle à notre quotidien, la géolocalisation soulève tout de même quelques inquiétudes et interrogations. Géolocalisés au mauvais endroit, au mauvais moment. L'an passé, Forbes conseillait de désactiver la géolocalisation pour éviter d'être suspecté pour le seul tort d'avoir été géolocalisé à proximité (spatiale et horodatée) d'une scène de crime ou de délit.
NBC vient de révéler que, a contrario, un suspect a pu démontrer son innocence parce qu'il avait gardé son historique de géolocalisations. En décembre dernier, le New York Times mettait en ligne une enquête aussi longue que passionnante et inquiétante sur la géolocalisation des smartphones. Sans titre. Des journalistes retracent une journée de Donald Trump par GPS. Grâce à un fichier rempli de données GPS privées, des journalistes du New-York Times ont réussi à retracer tous les déplacements d’une journée du président des États-Unis, Donald Trump. « Personne ne devrait penser qu’il est anonyme, explique au New-York Times un membre du ministère américain de la Défense.
Personne n’est anonyme sur cette planète à ce moment-même de l’histoire de l’humanité. Tout le monde est traçable et trouvable jusqu’à un certain point. » Des journalistes d’investigation du célèbre journal américain ont récemment mis la main sur un mystérieux fichier vieux de trois ans. Ce dernier contenait 50 milliards de localisations GPS précises, correspondant aux allées et venues de 12 millions d’Américains.
En Australie, Facebook a exploité les données de géolocalisation pour aider les secours. Sans titre. Face à la technologie, ne pas céder à la tentation de la surveillance Comment fonctionne une voiture autonome ? [Galileo] La révolution du positionnement centimétrique en marche. Jusqu’au début de l’année 2018, cette méthode made in CNES avait un inconvénient majeur.
Elle nécessitait que le récepteur reçoive, sans AUCUNE discontinuité, les signaux en provenance d’au moins 5 satellites durant une trentaine de minutes. Il ne fallait pas passer sous un pont ! Mais cette limitation vient de disparaître grâce à la mise à disposition gratuite par la Commission européenne de la 4e fréquence des satellites Galileo en mars 2018. Sauv Life, sauver des vies grâce à son smartphone. L’application démarre tout juste dans le département.
Mais 1 400 Aindinois sont déjà inscrits, ce mardi 3 décembre. Enquête : 50 milliards de données de géolocalisation découvertes par le Times. Une source anonyme a fourni un fichier contenant 50 milliards de données de géolocalisation sur près de 12 millions d’américains, au New York Times.
À l’heure où les géants technologiques prônent l’auto-régulation, il est temps que nous sachions réellement quelles données sont collectées à votre insu. 12 millions d’américains sont concernés. Des journalistes retracent une journée de Donald Trump par GPS. Sans titre. Cet article d'Avner Bar-Hen est tiré du magazine #Sciences (prononcez Hashtag Sciences). Inquiétante enquête au New York Times : 12 millions de smartphones, 50 milliards de géolocalisations. Le GPS - La physique du GPS (2/2)