Sans titre. Le « slime », cette pâte visqueuse avec laquelle les enfants et les adolescents aiment jouer, fait l’objet d’un très grand nombre de vidéos sur Internet, qui présentent des protocoles variés pour sa réalisation.
De nombreuses entreprises se sont également engouffrées dans la brèche et proposent des kits regroupant les substances nécessaires à sa confection, ainsi que de quoi le colorer et le texturer. De la colle au « slime » ou avec quoi en fabriquer ? Un des protocoles de confection consiste à dissoudre un peu de colle blanche dans un petit volume d’eau, d’ajouter quelques gouttes de collyre ophtalmique et d’homogénéiser vigoureusement (1). L’ensemble s’épaissit, se décolle des parois du récipient en verre et prend la consistance liquide/solide caractéristique du « slime ». Les procédés varient, mais tous présentent plusieurs points communs. Quelles sont les caractéristiques et le rôle de chacun de ces ingrédients ? Recyclables, biosourcés, biodégradables: état des lieux des plastiques alternatifs. La lettre innovation - Liste d'actualités. Des plastiques multifonctions et biosourcés pour des films d'emballage En ajoutant des particules minérales modifiées organiquement dans un polymère biosourcé, les chercheurs de l'Institut de chimie de Clermont-Ferrand1 réalisent des nanocomposites qui conjuguent résistance thermo-mécanique, propriétés anti-oxygènes, antibactériennes, etc.
Le secteur de l'emballage représente 40 % de la consommation de matières plastiques. Pour ces matériaux à courte durée d'utilisation, la production à partir de matières premières biosourcées et la biodégradabilité sont des enjeux environnementaux et économiques majeurs. C'est dans ce contexte qu'une équipe de l'Institut de chimie de Clermont-Ferrand1 a développé une solution pour fabriquer des films d'emballage biosourcés, biodégradables, et que l'on peut doter « à façon » d'un ensemble de propriétés. Voici un nouveau biopolymère pour remplacer le plastique issu du pétrole. Une nouvelle étape vient d'être franchie dans la production de plastiques biodégradables.
Les chimistes de l'université du Colorado ont synthétisé un polymère, le poly (3-hydroxybutyrate) ou P3HB. Biodégradable et renouvelable, ce matériau est produit par les bactéries lors de la fermentation du glucose ou de l'amidon. Ses propriétés font de lui un candidat très sérieux pour remplacer le plastique issu du pétrole. Cependant, des volumes limités et des coûts de production élevés rendaient le produit inutilisable pour des applications à grande échelle. Ce biopolymère, isolé pour la première fois en 1920, sert aujourd'hui principalement au domaine biomédical (implants) où l'aspect quantitatif est moins important. Désormais, les équipes du professeur Eugene Chen ont réussi à le synthétiser à grande échelle en laboratoire, tout en conservant ses propriétés mécaniques et thermiques initiales.
Des polymères mimant la peau des caméléons. Pour produire un implant médical, il est nécessaire de choisir un matériau aux propriétés mécaniques similaires à celles des tissus biologiques, au risque de provoquer inflammation ou nécrose.
Or nombre de tissus dont la peau, la paroi intestinale ou le muscle cardiaque ont la particularité d'être souples tout en durcissant quand on les étire. Jusqu'à présent, il était impossible de reproduire ce comportement avec des matériaux synthétiques. Les chercheurs ont tenté de le faire avec un unique polymère2. Pour cela, ils ont synthétisé un élastomère particulier composé d'un bloc central sur lequel sont greffées des chaînes latérales (comme un goupillon), et prolongé à chaque extrémité par deux blocs terminaux (voir figure). Les chercheurs ont trouvé qu'en choisissant bien les paramètres structuraux du polymère, le matériau suivait la même courbe de déformation qu'un tissu biologique, en l'occurrence la peau de porc. La lettre innovation - Liste d'actualités. Le Polyméthylméthacrylate PMMA – Ramène tes sciences !
Texte et encadrés : Swan Dumeige, Thomas Gueslin, Nicolas Otton (L2 promotion 2018 de l’Institut Villebon-Georges Charpak)
Slime. TP Rheologie. Et si tous nos plastiques délivraient le même secret ? @unistra @univamu @masterchimieAMU. An Error Occurred Setting Your User Cookie. This site uses cookies to improve performance. If your browser does not accept cookies, you cannot view this site. Setting Your Browser to Accept Cookies There are many reasons why a cookie could not be set correctly.
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In order to avoid this waste, Ak Inovex from Mexico developed a new green technology that doesn't require liquids, and has the capacity to process materials such as styrofoam, polystyrene and ABS (Acrylonitrile butadiene styrene) using the same type of customizable machinery. The technology developed by Marco Adame, founder of Ak Inovex, can process more than 90 percent of any type of plastic, avoids water waste and reduces production costs by half without reducing the quality of the pellets (small beads of recycled plastic) by avoiding stages with severe changes in temperature. Electronique : un transistor fabriqué en cellulose. POLLUTION.
Selon l’Agence américaine de protection de l’environnement, 152 millions d'appareils mobiles sont jetés chaque année, dont seulement 10 pour cent sont recyclés. Imprimer en 3D... avec du bois. CHIMIE.
Des polymères ou des métaux. Tels sont les matériaux le plus souvent utilisés dans les opérations d’impression 3D (si l’on excepte tout ce qui concerne la cuisine...), autrement dit des matériaux non-biodégradables. Partant de ce constat, le professeur de chimie Paul Gatenholm de l’école polytechnique Chalmers de Göteborg, en Suède, s’est employé à faire passer dans les buses d’une imprimante 3D… du bois.
Précisément, de la cellulose, le constituant principal du bois. Recyclable bioplastics cooled down, cooked up in chem lab. The textbooks and journals said it couldn't be done.
But Colorado State University chemists have done it: They've made a completely recyclable, biodegradable polymer, paving a potential new road to truly sustainable, petroleum-free plastics.