Jusqu’en 2005... les femmes devaient attendre 300 jours avant de se remarier - Le Parisien. Notre série sur les avancées oubliées des droits des femmes en quatre épisodes : Jusqu’en 2005... les femmes devaient attendre 300 jours avant de se remarierJusqu’en 2006... l’âge minimum du mariage était encore de 15 ans pour les femmes (le 28 février)Jusqu’en 2016... les protections périodiques n’étaient pas des produits de première nécessité (le 1er mars)Jusqu’en 2017... le clitoris était banni des manuels de SVT (le 2 mars) L’amour n’attend pas, dit-on.
Jusqu’au 1er janvier 2005 pourtant, les veuves et divorcées devaient s’armer de patience si elles souhaitaient convoler à nouveau. Pour pouvoir se remarier après le décès de l’époux ou la dissolution d’une union, elles étaient priées d’attendre presque 10 mois avant de pouvoir accomplir un tel projet. 300 jours précisément. Viols, violences conjugales, agressions… un site Internet pour accompagner les victimes - Le Parisien.
La sensation d'isolement, l'appréhension face aux multiples démarches à accomplir, l'incompréhension face à l'attente… Outre ses conséquences propres, la violence subie par une personne ouvre un long chemin semé d'embûches. « Un parcours d'obstacles », entend-on souvent.
A l'occasion de la Journée européenne des victimes ce lundi 22 février, la Fédération France victimes et le Fonds de garantie des victimes (FGTI) lancent un nouveau site Internet qui ambitionne d' aider les victimes de violences à surmonter solitude et difficultés : parcours-victimes.fr. Cet outil numérique, révélé en exclusivité au Parisien, s'adresse autant aux adultes qu'aux mineurs, pour tout type de violences, qu'elles soient « physiques, psychologiques ou sexuelles, actuelles ou passées, uniques ou répétées », expliquent ses créateurs, pour qui l'outil s'adresse « autant au grand public qu'aux professionnels. »
Violences intrafamiliales : 416 procédures en un an d'existence pour la cellu... Par Angélique GoyetPublié le 2 Fév 21 à 12:05.
Forte hausse des viols et des violences intra-familiales en 2020 - Le Parisien. Violences conjugales. Agressions / harcèlement de rue / #MeToo. Le viol comme outil disciplinaire. L’éducation sexuelle contre la culture du viol. Je me souviens de mon premier cours d’éducation sexuelle.
On parlait des infections transmissibles sexuellement (évidemment). « Les garçons, parfois, ne veulent pas mettre un condom. Les jeunes hommes ont conscience de la domination masculine, et veulent y rem... Temps de lecture: 13 min «À l'occasion d'un cours de philosophie, il m'a été demandé de rendre un papier lié aux questions féministes actuelles.
J'ai choisi un axe souvent peu mis en avant: celui de l'engagement masculin dans le combat féministe. En plein confinement, j'ai donc mené une enquête en ligne, anonyme, auprès d'une cinquantaine d'hommes ayant entre 20 et 25 ans, en études supérieures. Les résultats de cette enquête ont fait l'objet d'une analyse et d'un rendu. Dans ce second article, je vous présente les conclusions liées au rapport de ces enquêtés aux femmes de leur âge.» Education : "Fille-Garçon, même éducation" Terrafemina : Ce livre est-il une façon de tordre le coup aux injonctions, aussi bien de genre que parentales ?
« C’est désormais dans l’intime que les femmes cherchent leur dignité » Les clichés hommes-femmes persistent dans le monde malgré une volonté de réduire les inégalités. Une écrasante majorité de la population des pays du G7 (91%) estime qu'il est important de mettre fin aux inégalités hommes-femmes mais les réponses d'un grand nombre des répondants prouvent que certains stéréotypes de genre restent largement répandus à travers le monde.
C'est ce que révèle le premier baromètre du Women's Forum réalisé par Ipsos à l'occasion du Women's Forum Global Meeting (17-19 novembre). Ce baromètre Ipsos a été réalisé en ligne entre le 17 et le 31 août 2020 auprès d'un échantillon de 3.500 personnes interrogées dans les 7 pays du G7 (France, Royaume-Uni, Etats-Unis, Allemagne, Italie, Japon, Canada). 500 interviews par pays auprès d'un échantillon représentatif de la population âgée de 18 ans et plus dans chaque pays (hommes et femmes interrogés). Globalement, l'ensemble des populations concernées s'accorde sur ce point, avec toutefois quelques disparités. 48% pensent que les inégalités hommes-femmes sont exagérées : 54% des hommes contre 42% des femmes. Agnès Jaoui bouleverse avec un puissant discours aux Assises du Collectif 50/50. Télérama et des tiers selectionnés, notamment des partenaires publicitaires, utilisent des cookies ou des technologies similaires.
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Alizée Porto: «Le sexisme est toujours un sujet majeur dans le milieu hospitalier» Médiapart. Index de l’Égalité professionnelle femmes/hommes : les scores des entreprises... En 2020, les femmes sont en moyenne payées 9% de moins que les hommes à compétences et poste égal.
Un pourcentage qui monte à 27% tous postes confondus. A partir de 16h16 le 4 novembre, elles travaillent symboliquement gratuitement pour le reste de l’année. Élisabeth Borne, ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion, et Élisabeth Moreno, ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances, annoncent que les résultats de l’index de l’égalité femmes-hommes des entreprises de plus de 250 salarié·es seront désormais publiés sur le site internet du Ministère du Travail.
Depuis 2019, chaque entreprise d’au moins 250 salarié·es est tenue de calculer et de publier tous les ans son « index de l’égalité professionnelle hommes-femmes », créé par la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel en 2018. Une obligation qui s’impose aux entreprises d’au moins 50 salarié·es depuis mars 2020.