Faster Atlantic currents drive poleward expansion of temperate phytoplankton in the Arctic Ocean. Temperate rainforests near the South Pole during peak Cretaceous warmth. 2019-12-reveals-climate-impact-antarctic-penguins.amp?usqp=mq331AQCKAE=&_js_v=0.1#aoh=15781210685489&_ct=1578121077009&referrer= %1$s&share= Antarctic penguins have been on the forefront of climate change, experiencing massive changes to their natural habitat as the world's temperatures and human activity in the region have increased.
Now, new research has revealed how penguins have dealt with more than a century of human impacts in Antarctica and why some species are winners or losers in this rapidly changing ecosystem. Researchers from the University of Oxford, Louisiana State University, University of Rhode Island, University of California Santa Cruz, and the University of Saskatchewan have studied penguin populations with the goal of understanding how human interference in Antarctic ecosystems during the past century led to booms and busts in the availability of a key food source for penguins: Antarctic krill.
"Antarctic krill is a shrimp-like crustacean that is a key food source for penguins, seals, and whales. More information: Kelton W. This document is subject to copyright. Slate. Temps de lecture: 7 min.
MOSAiC Expedition. Irish teenager wins global science award for removing microplastics from water. Découvrez "Un été en Antarctique" en avant-première. Durant tout cet été, sur la grille de France Culture, Nicolas Martin vous emmène en Antarctique, à la rencontre d'ornithologues, glaciologues, menuisiers, mécaniciens, cuisiniers qui séjournent 9 mois durant sur le sixième continent.
Des carnets de voyage diffusés chaque matin à partir du 1er juillet pendant la matinale et sous forme de 10 épisodes de 12h à 12h30 entre le 1er et le 12 juillet. Les mystères glaciaires du Groenland éclaircis. En 2013/2014 la calotte glaciaire du Groenland avait surpris les glaciologues.
Un avenir incertain pour l’océan Arctique. Conserver la mémoire du climat - Institut de recherche pour le développement (IRD) Arctic ice carries heavy freight of plastic : Research Highlights. The first full sequence of a rose genome has revealed the source of key traits of today’s roses.
Roses have been intensively bred over centuries to improve characteristics such as scent and colour. As a result, modern rose genomes contain many gene variants, making their sequences hard to assemble. Mohammed Bendahmane at the École Normale Supérieure in Lyon, France, and his colleagues generated the genome of the ‘Old Blush’ variety of Rosa chinensis, an ancestor of hundreds of modern roses, by forcing its male reproductive cells to reproduce asexually. The genome that this created was less complex than those previously analysed. The results showed that genes for flower quality, such as recurrent flowering, are located on chromosomal segments transmitted to modern roses from Chinese roses imported to Europe in the eighteenth century. Polar Pod : le projet de Jean-Louis Etienne est sur les rails. 8 espèces du Grand Nord menacées par le changement climatique. L’augmentation des températures est deux fois plus intense dans les régions arctiques que sur le reste du globe.
Adaptées aux climats froids, la faune et la flore du pôle Nord sont donc les premières concernées par la modification soudaine de leur habitat. En premier lieu, la fonte de la banquise, dont la superficie pourrait atteindre moins de 520 000 km2 d’ici à 2050, contre 7,5 millions de kilomètres carrés dans les années 1980 (lire notre article). Ensuite, le verdissement de l’Arctique. Arbres et buissons sont en train de coloniser la toundra, cette étendue de végétation rase où vivent les rennes et un petit rongeur dont se nourrissent beaucoup d'espèces, le lemming. De plus, les animaux du sud se déplacent vers le nord, entrant en concurrence avec les espèces endémiques déjà fragilisées par les pollutions plastiques, les métaux lourds et les perturbateurs endocriniens.
L’élévation du niveau des mers pourrait atteindre 2 mètres à la fin du siècle. Selon une nouvelle étude américaine, la fonte de la calotte antarctique va entraîner une montée des eaux bien supérieure aux précédentes estimations.
LE MONDE | 30.03.2016 à 19h01 • Mis à jour le 31.03.2016 à 07h36 | Par Clémentine Thiberge Si la montée des eaux est inévitable, elle risque également d’être plus importante que prévu – jusqu’à 2 mètres d’élévation d’ici la fin du siècle. C’est ce que suggère une étude américaine publiée jeudi 31 mars dans la revue Nature. Les auteurs, Robert DeConto, de l’université du Massachusetts, et David Pollard, de l’université de Pennsylvanie, ont modélisé la contribution de l’Antarctique à l’élévation des mers et ont mis en avant la sensibilité de cette calotte glaciaire.
Pour établir leurs résultats, les chercheurs se sont basés sur deux précédents épisodes de déglaciation. En combinant données géologiques et données atmosphériques, les auteurs ont ainsi pu proposer un modèle applicable aux conditions actuelles. Guerres et pestes dans l’empire Romain, une signature en plomb dans les glaces du Groenland. Comme le plastique dans les océans au XXIe siècle, la pollution au plomb générée par la civilisation romaine a, elle aussi, finit sa course dans les glaces de l'Arctique !
Et les quantités de plomb qui y ont été piégées viennent d'en permettre une lecture extraordinairement détaillée. Publiés dans les Actes de l'Académie nationale des sciences (PNAS), ces résultats ont été obtenus par la modélisation des mesures d'anciennes émissions de plomb retrouvées dans des carottes de glace. Analyse d'un noyau de glace de carottages profonds. © Desert Research Institute (DRI). L'ensemble du projet étant mené par Andrew I.
Wilson de l'Université d'Oxford (Royaume-Uni). "Les données recueillies reflètent étonnamment le calendrier historique, confirme Yann Le Bohec, historien spécialiste de Rome, professeur émérite à l'université Paris-Sorbonne, joint par Sciences et Avenir. L'océan Arctique bientôt sans banquise ? Y aura t-il encore de la glace en Arctique cet été ?
Plus que jamais, cette question alarmiste se pose pour l'été 2018, avec une disparition de plus en plus inquiétante des glaces L'année 2017 a été l'une des trois plus chaudes jamais enregistrée depuis le début de l'ère industrielle (depuis que les relevés existent en continu) et les conséquences pour la banquise du Pôle Nord sont désormais connues : une quantité de glace qui diminue inexorablement.
La toute dernière étude met en évidence le fait que désormais, même la vieille glace, de plus de cinq ans ne résiste pas au réchauffement climatique. Chaque année, c'est en fin d'hiver, au mois de mars que le maximum de glace est atteint en Arctique. [Science] De la géoingéniérie glaciaire pour éviter la montée des eaux. Des traces de vie ont été découvertes sous l'épaisse glace de l'Antarctique. Christner a expliqué que de la teinture avait été ajoutée à l’eau afin de colorer l’ADN des micro-organismes ; ainsi, une forte lumière verte a indiqué aux scientifiques la présence de microbes.
Ces organismes sont certainement chémolithotrophes, organismes se nourrissant de composés minéraux de fer, de souffre et d’autres éléments. Nationalgeographic. Des vents soufflant jusqu'à 48 kilomètres par heure ont freiné l'équipe pendant plusieurs jours, pendant parfois plus de douze heures consécutives.