Anatomie impertinente: Le corps humain et lévolution - Alain Froment. Scientific Background. Why are humans hairless?
Why is childbirth so painful, and dangerous? Why is the human intellect so highly developed? Because we run. The Perfect Runner cracks open the modern-day sport of endurance running by exploring our evolutionary past as a species formed and defined by long-distance running adaptations. New archaeological research into the physiology of early hominids and a deeper understanding of climate conditions at critical points in our evolution are now revealing that two critical adaptations occurred simultaneously to produce modern Homo sapiens. The emergence of Homo sapiens The famous Australopithecene skeleton we call Lucy, discovered in the Ethiopian portion of Africa’s Great Rift Valley, reveals that 3.2 millions years ago, our ancestors moved in a vertical world. But Lucy’s world was changing. The perfect runner In fact, far from maladaptating into vulnerable and underpowered land walkers, Homo had come out the trees to emerge as a masterful endurance runner.
How running made us human: Endurance running let us evolve to look the way we do. Humans evolved from ape-like ancestors because they needed to run long distances – perhaps to hunt animals or scavenge carcasses on Africa's vast savannah – and the ability to run shaped our anatomy, making us look like we do today.
That is the conclusion of a study published in the Nov. 18 issue of the journal Nature by University of Utah biologist Dennis Bramble and Harvard University anthropologist Daniel Lieberman. The study is featured on Nature's cover. Bramble and Lieberman argue that our genus, Homo, evolved from more ape-like human ancestors, Australopithecus, 2 million or more years ago because natural selection favored the survival of australopithecines that could run and, over time, favored the perpetuation of human anatomical features that made long-distance running possible. Sans titre. Chasse à l'épuisement, running, & évolution de l'homme. Version française de: persistence hunting and a hypothesis about human evolution.
Chasse à l'épuisement (persistence hunting), par un Bochiman du désert du Kalahari: Ce documentaire est une partie de The Life of Mammals (2002), un film réalisé par David Attenborough, et produit par la BBC et Discovery Channel. Quand j'ai vu ce documentaire pour la première fois, certaines émotions et idées liées à la course à pied, qui étaient jusqu'alors assez confuses, sont devenues claires et pleines de significations. Je savais déjà que la chasse à l'épuisement existait, entre autres grâce à la lecture du livre de Christopher McDougall Born to run et du livre de Bernd Heinrich Why we run, mais le fait de le voir a changé quelque chose. Par exemple, je ne fais pas de tour autour d'une piste (un chien ne fait pas naturellement des tours de piste, s'il le faisait vous le prendriez pour un chien névropathe).
Qu'est-ce que la chasse à l'épuisement ? Un autre avantage est le rythme de notre course à pied. Pour ce que courir est le propre de l'homme - Le blog de Christian Julia. L’homme se distingue des autres membres de sa lignée par sa capacité à courir.
Je suis toujours fasciné par ce moment de notre histoire très ancienne où notre ancêtre se sépare des singes et devient un humain. Ainsi, l’une des grandes différences entre les singes et nous, c’est notre bipédie. Nos cousins à poils, certes, peuvent marcher sur deux jambes, mais la plupart du temps, ils se déplacent à quatre pattes. De fait, nous sommes sur terre considérés comme « le bipède de l’année »... depuis quelques millions d’années ! Nous sommes en effet les seuls êtres vivants à nous tenir debout sur nos deux jambes, avec une belle allure et une décontraction totale. Les pingouins sont les seuls êtres vivants, avec les humains, à être très à l’aise debout sur deux pattes. Nous ne sommes pas les seuls êtres vivants bipèdes, mais les autres, comme les autruches, n’ont pas la même structure morphologique, c’est-à-dire tout le corps à la verticale sous la tête.
Donc, on ne sait pas exactement.