Fables (Jean de La Fontaine) Contes interdits (Jean de La Fontaine) Les Fables de Jean de La Fontaine. La Maison des Contes et des Histoires. Conte. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Contes. Il y a deux pratiques du genre littéraire qu'est le conte : orale et écrite. Ces deux pratiques se différenciant par leur mode de création et de diffusion comme par leur contenu, il convient de les distinguer. Le conte est un objet littéraire difficile à définir étant donné son caractère hybride et polymorphe. Le genre littéraire comme les histoires elles-mêmes font l'objet d'études convoquant des savoirs connexes, à la lumière des sciences humaines, tels que l'histoire littéraire, la sémiologie, la sociologie, l'anthropologie ou la psychanalyse. Il faut noter que le terme de « conte » est utilisé parfois pour désigner l'activité de conter, quel que soit le type d'histoires (épopée, légende, histoire de vie, nouvelle…). Histoire d'un terme difficile à cerner[modifier | modifier le code] Origine du terme « conte »[modifier | modifier le code]
HISTOIRE - La grande fabrique de mots du 23 mai 2012, Histoires lues : RTBF Vidéo. Conte de conter. Récit, en général assez court, de faits imaginaires.
Le conte est une narration, généralement courte, ayant pour sujet des aventures imaginaires ou fantastiques. Le conte littéraire dérive directement du conte populaire, mais à la différence de ce dernier qui appartient à la littérature orale et reste le plus souvent anonyme, il est le fruit d'une véritable création littéraire et peut donc être facilement rattaché à un auteur, à une époque ou encore à mouvement. Parce qu'il entretient des liens étroits avec la littérature orale, parce qu'il a longtemps été considéré comme genre secondaire et peu sérieux, et enfin, parce qu'il semble parfois se confondre avec d'autres formes proches comme la nouvelle ou la fable, le conte est un genre difficile à cerner. Il a néanmoins connu une assez bonne fortune littéraire et nombreux sont les auteurs qui se sont laissés tenter par cette forme narrative.
Petite histoire du conte Le xviiie siècle correspond à l'âge d'or du conte. L'univers du conte. Comment l'esprit vient aux filles. Il est un jeu divertissant sur tous, Jeu dont l'ardeur souvent se renouvelle: Ce qui m'en plaît, c'est que tant de cervelle N'y fait besoin, et ne sert de deux clous.
Or devinez comment ce jeu s'appelle. Vous y jouez; comme aussi faisons-nous: Il divertit et la laide et la belle: Soit jour, soit nuit, à toute heure il est doux; Car on y voit assez clair sans chandelle. Or devinez comment ce jeu s’appelle. Le beau du jeu n’est connu de l'époux; C'est chez l'amant que ce plaisir excelle: De regardants pour y juger des coups, Il n’en faut point, jamais on n’y querelle. Or devinez comment ce jeu s’appelle.
Qu'importe-t-il ? Fable Jean de La Fontaine : La Femme noyée. Sergueï Prokofiev - Pierre et le loup / Петя и волк / Peter and the Wolf. Psychanalyse des contes de fées. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
The Uses of Enchantment, traduit en français sous le titre Psychanalyse des contes de fées, est un livre de Bruno Bettelheim paru en 1976. Selon l’auteur, il a « été écrit pour aider les adultes, et plus spécialement ceux qui ont charge d’enfants, à comprendre l'importance des contes de fée »[1]. À travers plusieurs contes populaires tels que Blanche-Neige ou La Belle et la Bête, Bettelheim y analyse le contenu psychanalytique des contes pour enfants, s'attachant en particulier à de grands thèmes comme le complexe d'Œdipe ou encore la rivalité fraternelle chez les enfants. Il montre comment ces contes répondent aux angoisses des enfants en les informant sur les épreuves à venir et les efforts à accomplir avant d'atteindre la maturité.
Il met en perspective différentes versions des contes et montre quelles sont celles qui correspondent le mieux à la structuration psychologique de l'enfant. Citations[modifier | modifier le code] Contes de fées - Bruno Bettelheim. Les contes de fées et la conjoncture existentielle Les contes de fées ont pour caractéristique de poser des problèmes existentiels en termes brefs et précis.
L’enfant peut ainsi affronter ces problèmes dans leur forme essentielle, alors qu’une intrigue plus élaborée lui compliquerait les choses. Le conte de fées simplifie toutes les situations. Ses personnages sont nettement dessinés ; et les détails, à moins qu’ils ne soient très importants sont laissés de côté. Tous les personnages correspondent à un type ; ils n’ont rien d’unique. Contrairement à ce qui se passe dans la plupart des histoires modernes pour enfants, le mal, dans les contes de fées, est aussi répandu que la vertu. Extrait de Psychanalyse des Contes de fées.