Définitions généralistes. Dépendance au smartphone. Des utilisateurs de smartphone.
La dépendance ou l'addiction au smartphone est un phénomène qui apparaît depuis la large diffusion des smartphones. Il relève, du moins en partie, de la cyberaddiction (dépendance à Internet) qui peut se développer, notamment dans le cadre du nomadisme numérique, ou révèle souvent d'autres addictions[1]. Il peut ajouter à la dépendance au téléphone et à l'information disponible sur l'Internet une autre dépendance, à certains des réseaux sociaux qui se sont développés grâce à l'internet. Cette nouvelle addiction semble tendre, pour partie au moins, à se substituer à l'addiction à la télévision. Histoire[modifier | modifier le code] Pour la plupart des gens sondés, le téléphone puis le smartphone sont d'abord un outil qui facilite la vie[8].
Smartphone – Cyberdependance.ca. Par Dre Marie-Anne Sergerie, Ph.D., psychologue spécialisée en cyberdépendance et nouvelles technologies Vous sentez-vous obligé de répondre ou de vérifier lorsque votre téléphone intelligent sonne, vibre ou lorsque vous recevez une notification ?
Ressentez-vous un malaise si vous oubliez votre téléphone intelligent, s’il est brisé ou si le réseau est en panne ? À table, votre téléphone intelligent est-il toujours présent ? Dormez-vous régulièrement avec votre téléphone intelligent ? Répondez-vous aux textos, aux courriels, aux tweets ou aux messages sur Facebook peu importe l’heure et ce, même si vous devez interrompre la tâche que vous faites ? Les internautes québécois passent en moyenne 22,2 heures à naviguer sur le web, dont 7,2 heures à partir d’un appareil mobile. Dépendance aux Smartphones. "Nomophobie" : l'addiction au portable devient une névrose moderne. La "nomophobie", vous connaissez ?
Ce terme étrange est un raccourci pour "no mobile phobia" (la phobie de l'absence de mobile), apparu au Royaume-Uni en 2008. Une récente étude britannique révèle maintenant que 66% des utilisateurs de téléphone portable ressentent une forte angoisse à l'idée d'égarer leur petit bijou. Chez les plus jeunes, entre 18 et 24 ans, le taux de nomophobie atteint 76%. Aspects spécifiques. 2167 1 study file. Addiction au téléphone portable: les plus accros seraient impulsifs et matérialistes, selon une étude américaine.
ADDICTIONS - Comment expliquer l'addiction de certaines personnes constamment accrochées à leur téléphone portable?
Des chercheurs de l'Université de Baylor et de l'Université de Seton Hall ont montré que les personnes les plus addicts au téléphone portable et aux textos seraient impulsifs et matérialistes, exactement comme les accrocs au shopping. L'étude a été publiée en novembre dans la revue The Journal of Behavioral Addictions.
LIRE AUSSI: » Vie quotidienne, stress, concentration: comment les smartphones ont changé votre vie » Du bon usage de son téléphone portable en société » Un tiers des hommes britanniques répondraient au téléphone même... pendant le sexe. TPE de Jordane Tescher, Marion Felzines et Floriane Degouy. Devenu petit et portable, le téléphone crée de la dépendance. Signe des temps : les études sur la dépendance au téléphone portable (ou cellulaire comme disent justement les Québécois) s'accumulent.
Ainsi, le journal californien Sacramento Bee, relayé par le site d'information canadien Canoë, évoque-t-il le témoignage du Pr Sergio Chaparro qui, dans le cadre d'un cours sur les technologies de l'information à l'université Rutgers, dans le New Jersey, a demandé à ses élèves de délaisser leur téléphone portable pendant trois jours.
Résultat : seuls 3 étudiants sur 220 ont réussi à aller jusqu'au bout de l'expérience. "Ils avaient réellement peur, déclare le Pr Chaparro, ils s'attendaient à vivre une expérience douloureuse, et ils n'avaient pas tout à fait tort. " Pour cet enseignant d'information et de communication, la réaction de panique des étudiants confirme "l'existence d'un phénomène à grande échelle de dépendance psychologique aux téléphones portables". Témoignages. La cyberdépendance. Être obligée, dans le cadre de ses études, de créer un blog et faire des recherches sur la cyberdépendance quand on est soi-même en plein doute sur sa propre addiction à internet ?
Pour alimenter cette dépendance en restant sur internet, je vais donc tenter dans un premier temps de définir cette cyberdépendance dans une approche scientifique et par rapport à la population concernée. Il conviendra de vérifier dans un deuxième temps ce que recouvre cette addiction à la connexion ou sous quelle forme elle se manifeste. Enfin, je m'interrogerai sur les enjeux pour le personnel d'éducation et d'enseignement face à cette cyberdépendance qu'elle soit subie ou observée. Qu’est ce que la cyberdépendance et qui sont les internautes concernés ? Même s’il n’existe pas actuellement de consensus parmi les spécialistes sur le sens de ce que recouvre la cyberdépendance, on peut toutefois tenter la définition suivante : "50 heures par semaine ! Les différentes formes de cyberdépendance "Aie, aie, aie....
" #nomophobie hashtag.