Les Frères Ripoulain, 'Chemins du désir' Chemins du désir - La criée. Les Frères Ripoulain 29 mars 2014 au 29 mars 2014 Chemin du désir.
Documentation. 2010. Rennes (Fr) © David Renault, Mathieu Tremblin Marche collective Samedi 29 mars 2014, 16h Quartier du Blosne, Rennes Les Chemins de désir sont des chemins tracés dans les espaces verts à mesure du passage des habitants, qui dessinent ainsi leurs trajets quotidiens, comme une résistance à la rigueur de la carte tracée par l’urbanisme. À la mesure du pas et grâce à une marche forcée, l’action à laquelle nous convie les Frères Ripoulain consiste à augmenter un chemin de désir existant d’extensions poétiques et afonctionnelles, le transformant ainsi en autant de Chemins du désir.
Accessible à tousChaussures tout terrain conseillées Rendez -vousStation de métro Triangle à 15h45 Les Frères Ripoulain, 'Chemins du désir' from La Criée art center on Vimeo. Ce Rayon Vert prend place dans le cadre de l’exposition Les Horizons. Streets With No Name. This past winter, the snow stayed so long we almost forgot what the ground looked like.
In Detroit, there is little money for plowing; after a big storm, the streets and sidewalks disappear for days. Soon new pathways emerge, side streets get dug out one car-width wide. Discovering Urbanism: The walking paths of Brasilia. The City of Brasilia, conceived and built in the 1950's and 60's, is the exemplar of modernist urban planning.
It's got it all: extreme separation of uses, access only by motor vehicle, mid-rise boxy buildings set in vast open spaces, and a conspicuous absence of any history before the mid-twentieth century. There are no traffic lights or sidewalks in the city (at least in the original design), and almost every four-way intersection is a cloverleaf interchange. The design ensures that motorists will never have to inconvenience themselves by stopping, and pedestrians don't mind because they theoretically don't exist. It all fits together like a machine - actually an airplane, by resemblance.
But when the city is viewed from above we can see incursions of organic human life superimposed on top of the plan. These rogue pedestrians don't have an easy task. Drawing the human use on the map reveals a complex network of activity very different from the plan. Dérive zonale. La « ligne de désir » est définie par Sonia Lavadinho comme « la courbure optimale du tracé qu’un piéton laisse dans son sillage lorsqu’il est totalement libre de son mouvement. ».
Elle poursuit, « les lignes de désir sont constamment contrées par d’autres forces » : véhicules, aménagements urbains… l’espace piétonnier est « obstrué par une multiplicité de dispositifs dont les fonctionnalités répondent à autant d’usages qui se superposent au sein des espaces publics. Il existe par ailleurs une tension forte entre les désir des concepteurs […] de canaliser le piéton au sein de lignes de forces désignées qui lui sont spécialement dédiées, et le désir des piétons eux-mêmes de pouvoir aller où bon leur semble, en utilisant toutes les ressources des multiples espaces à leur disposition » [1].
En période de pluie, ces chemins si pratiques se transforment en bourbiers, le passage humain ayant éliminé la végétation qui aurait fixé la terre. Quelques exemples Au delà de l’urbanisme notes : [10] La « ligne de désir », ou la ville inventée par le piéton. Une pelouse décorative, un carré d’herbe verte au pied d’un bâtiment universitaire ou d’un immeuble de bureaux.
Les dalles, bien alignées au milieu de la végétation, signalent un passage pour les piétons. Non loin de là, en diagonale, la pelouse a été foulée, jusqu’à former une sorte de sentier. Les piétons ont créé leur propre chemin, plus direct et plus simple que le passage obligé. Un raccourci. Raccourcis. La neige, puissant révélateur. La neige permet aussi de distinguer la surface réellement occupée par les usagers d’un espace donné. Opération #sneckdown. La chicane inutile. Cet exemple est le type même d’aménagement créé en dépit du bon sens, sans aucune réflexion sur l’usage qui en sera fait. Le retour du bon sens. Olivier Razemon, sur Twitter, Facebook et Instagram. La ville intelligente, c’est la ville humaine: 7 arguments pour la ville à 30 km/h (février 2013) Quand le vélo révèle la « smart city » (octobre 2016) Poésie urbaine, suite: Signaler ce contenu comme inapproprié.