L'obésité est-elle une fatalité ? Le site. Obésité. Dossier réalisé en collaboration avec Arnaud Basdevant, nutritionniste et chercheur, unité Inserm U872, Institut hospitalo-universitaire ICAN (Institute of cardiology metabolism and nutrition), Paris, président du Plan National Obésité 2010-2013 - Janvier 2014. © Fotolia Maladie de l’adaptation aux récentes évolutions des modes de vie, l’obésité résulte d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques.
Ce déséquilibre aboutit à une inflation des réserves stockées dans le tissu graisseux qui entraîne elle-même de nombreuses complications. L’obésité concerne aujourd’hui la quasi-totalité de la planète, y compris de nombreux pays émergents : selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 35 % des adultes dans le monde sont atteints d’obésité ou de surpoids. Les complications associées, en particulier le diabète et les maladies cardiovasculaires, entraînent le décès d’au moins 2,8 millions personnes chaque année. Mesurer l’excès de masse grasse © Inserm, D. . © Inserm, F. Sites. L'obésité en infographies. Alimentation et nutrition humaine. Face à la mondialisation des échanges, à l’apparition de nouveaux modes de consommation et à la diversité de l’offre, une grande vigilance s’impose pour prévenir de nouveaux risques dans le champ alimentaire.
Ceux-ci doivent être évalués, sans laisser de côté les risques « classiques » physico-chimiques ou microbiologiques (contaminations par des bactéries, salmonelles,…) ainsi que certains risques liés aux contaminants de l’environnement. C’est le rôle de l’Anses qui intervient à toutes les étapes de la chaine alimentaire et évalue les risques sanitaires de la production primaire à l’assiette du consommateur. L’Agence évalue les risques et les bénéfices nutritionnels des aliments et leurs constituants, la qualité sanitaire des eaux destinées à la consommation humaine, assure le suivi des comportements alimentaires et contribue à l’élaboration des objectifs et des recommandations de santé publique. Lire la suite. Cancer et nutrition. Dossier réalisé en collaboration avec l’Institut thématique multiorganismes Cancer (ITMO Cancer) et l’Institut national du cancer (INCa) - Mars 2012.
Nutrition, un impact prouvé sur la survenue de cancers © Fotolia Des travaux ont mis en évidence, avec des degrés de certitude variables, le rôle de certains aliments ou comportements individuels (diversité de l’alimentation, activité physique) dans l’initiation ou le développement de certains cancers. Toutefois, aucun aliment ne peut à lui seul s’opposer au développement d’un cancer. En outre, le développement du cancer fait intervenir un très grand nombre de facteurs dont certains sont indépendants de l’alimentation. Pour réduire le risque de cancer, les organisations de santé française et internationale recommandent une alimentation équilibrée et diversifiée, un apport calorique adapté aux dépenses énergétiques et une activité physique régulière. (*)WCRF/AICR. Aliments ou comportements alimentaires à risque(*) © Inserm, Jerôme Galon. INPES Nutrition. Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique.
Nutrition et santé / Maladies chroniques et traumatismes. Le programme de surveillance nutritionnelle réalisé au sein de l’unité de surveillance périnatale et nutritionnelle (Uspen : unité mixte de l’Institut de veille sanitaire (InVS) et de l’Université Paris 13) a pour mission, la mise en œuvre de la surveillance des consommations alimentaires, de l’activité physique et de l’état nutritionnel de la population vivant en France.
Ces trois dimensions de la nutrition sont en effet d’importants facteurs de risque ou de protection de maladies chroniques telles que les maladies cardio-vasculaires, certains cancers, le diabète, l’ostéoporose, etc. Plus spécifiquement, ses activités doivent permettent de : Ce dossier présente des éléments clés issus de la surveillance nutritionnelle en France et fournit des détails sur les principales études menées par l’Uspen. Obésité. L'obésité et la surcharge pondérale. 1.
Introduction L’obésité et la surcharge pondérale posent aujourd’hui un véritable problème de santé publique. La surcharge pondérale sévère ou l’obésité constituent un facteur de risque pour le développement de plusieurs maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires et respiratoires, le diabète de type 2, l’hypertension et certaines formes de cancer, aussi bien que la mortalité précoce. De nouvelles études scientifiques et les données compilées par les compagnies d’assurances montrent que le danger pour la santé est déjà bien réel, même pour une légère augmentation du poids corporel…
Obésité - Santé sur le net. Nutrition - Préserver sa santé. Publié le25.09.15 mise à jour14.04.16.