Découvrez la symbiose mycorhizienne en réalité virtuelle. Voyage au royaume des champignons. Ils sont omniprésents.
Dans l’air que nous respirons, dans le sol, dans l’eau, les prairies, les forêts, ou même sur nous et dans nos assiettes… Visibles ou invisibles, les champignons sont partout ! Ni animal, ni végétal, les scientifiques estiment qu’il en existe plus de 3 millions d’espèces. Or, à l’heure actuelle, seules une centaine de milliers d’espèces sont décrites. Ce règne est composé de trois grandes catégories, définies en fonction de la façon de leur mode de nutrition : les dégradeurs ou décomposeurs. Dans ce dossier, nous nous intéresserons plus particulièrement aux deux premières catégories de champignons. Lire le dossier : La circulation des sèves (animation) Des stomates fluorescents pour comprendre les échanges gazeux chez les plantes. Les stomates sont des pores à la surface des feuilles qui permettent les échanges gazeux entre la plante et l’atmosphère, ce qui les rend essentiels à la vie des plantes terrestres.
Le contrôle de l’ouverture du pore stomatique est fondamental pour limiter la perte d’eau de la plante par transpiration et optimiser l’absorption de la CO2 pour la photosynthèse. Une paire de cellules, appelées cellules de garde, délimite le pore stomatique et en module l’ouverture. Les cellules de garde sont capables de réguler l’ouverture du pore stomatique en réponse au stimuli environnementaux. Le mécanisme responsable de l’ouverture et de la fermeture des stomates repose sur le transport d’ions (H+, K+, Cl-, NO3- et malate2-) dans les cellules de garde pour en modifier la pression de turgescence. Ce mécanisme fait l’objet d’intenses études depuis des décennies, néanmoins de nombreux aspects restent obscurs et constituent une limite pour notre compréhension de la physiologie des stomates. L'auxine une phytohormone pas comme les autres. La découverte de cette phytohormone: En 1880, Francis Darwin étudie le phénomène de la courbure phototropique du coléoptile d'avoine.
Chez les poacées, les feuilles sont cachées par une sorte d'étui appélée coléoptile. Lors de la germination le coléoptile est capable d'orienter sa croissance en fonction de la lumière. Cette capacité d'orientation s'appelle le phototropisme. Il a ainsi pu observer qu'en plaçant une plantule dans une boite fermée et en perçant celle-ci d'un petit trou pour laisser entrer une lumière unidirectionnelle, le coléoptile se courbe vers la source de lumière. Par ces résultats, il en conclue que le stimulus est produit dans la partie haute du coléoptile et il est transmis vers le site d'action (la courbure) dans une partie plus basse.
Le gravitropisme. Comment obtenir des racines bien droites afin d'analyser la réaction gravitropique? Si on sème des graines sur une surface nutrutive, la croissance se fera de manière désordonnée dans un premier temps. Il est nécessaire d'obtenir des racines vien droites pour expérimenter. Pour cela, suivre le protocole : imbiber les graines de Radis pendant 2 à 3 heures environ placer les graines sur une feuille de papier essuie-tout imbibé d'eau, rouler le papier, entourer le rouleau dans un sac en plastique, et le suspendre verticalement.
Après le temps nécessaire à la germination (entre 2 à 3 jours) : Quelque soit la position d'origine de la radicule, toutes les racines ont poussé vers le bas et sont droites et verticales. couler 1 cm de gélose à 2 % dans des boîtes de Pétri, puis couper la gélose et en enlever la moitié. Placer les boites pour que les racines soient en position verticale ou horizontale. Pour observer avec précision la réaction gravitropique, il est nécessaire de : Expériences sur la photosynthèse. 1.
Introduction L’étude de la photosynthèse permet d’aborder la notion d’autotrophie. À cette fin, de nombreuses expériences sont réalisables. Les expériences présentées ici ont été regroupées en trois ensembles, en fonction des thèmes abordés : production de dioxygène à la lumière (une expérience historique) ;autotrophie au carbone ;études ExAO de la photosynthèse. Une version plus complète et des compléments sont disponibles sur le site Bmédia dans le document « La photosynthèse par les expériences ». 2.
Une expérience simple permet de montrer que les plantes vertes produisent du dioxygène à la lumière alors que, comme tous les êtres vivants, elles le consomment à l’obscurité. Mais bien que pédagogiquement intéressante, car très simple à comprendre et permettant d’aborder la photosynthèse de manière concrète, cette expérience est irréalisable dans une classe. Figure 1 : Expérience historique montrant que les plantes produisent du dioxygène à la lumière mais pas à l’obscurité. L'Accacia vainqueur contre l'antilope Koudou par KO mortel.
Anthocyanes (pigments) Chromatographie Pigments Chlorophylliens. Organisation générale de la fleur. Transformation d’une fleur en fruit. Germination des graines. La Fleur de cerise. La domestication des plantes à l’échelle de la génomique - Jardins de France. La domestication est la première étape de notre histoire partagée avec les plantes cultivées.
Cette histoire s’est ensuite enrichie de migrations, de plusieurs millénaires d’interactions dans le cadre d’une agriculture familiale et de pratiques très diverses. Le génome des plantes a donc continué à se modifier et continue à l’être. Un changement radical dans la relation entretenue avec la nature L’agriculture a pris naissance dans plusieurs endroits du monde au Néolithique. Les hommes commencent à élever les animaux et ensemencent les premiers champs, transformant les écosystèmes de manière radicale.
Pour être utile à l’homme Les données archéologiques suggèrent que les céréales sauvages ont été d’abord cultivées sans qu’une sélection consciente soit effectuée. Des gènes majeurs identifiés.