Doc. 1 : Marée verte. Marée verte faisant suite à une prolifération d'Ulva Armoricana, dans le nord-Finistère Une marée verte est un important dépôt d'algues laissé par la mer sur la zone intertidale à marée basse, ou flottant entre deux eaux lorsque la mer monte.
La putréfaction de ces algues, outre une mauvaise odeur et l'émission de gaz à effet de serre (méthane) peut avoir de graves conséquences pour les acteurs locaux : impact négatif sur le tourisme et la valeur des biens immobiliers et dégradation de l'environnement des littoraux concernés. Des phénomènes de toxicité (via l'émission d'hydrogène sulfuré notamment) sont soupçonnés dans des cas de fortes concentration d’être potentiellement mortels. Histoire et localisation géographique du phénomène[modifier | modifier le code] Après avoir été observé épisodiquement, par exemple à Belfast en 1911[1], ce phénomène a pris une plus grande ampleur à partir des dernières décennies du XXe siècle. France[modifier | modifier le code] En France : Doc. 3 : Changement climatique : les gaz à effet de serre. L'effet de serre additionnel Ce sont les activités humaines, principalement par l'exploitation massive de combustibles fossiles et la modification de la couverture des terres (notamment pour l'élevage), qui entraînent une augmentation des concentrations atmosphériques en Gaz à Effet de Serre (GES), ce qui modifie les bilans radiatifs et réchauffe l'atmosphère.
Ce phénomène naturel de piégeage par l'atmosphère de la fraction du rayonnement solaire ré-émis par la Terre, l'effet de serre, est amplifié par les rejets excessifs de gaz majeurs : gaz carbonique (CO2), méthane (CH4), protoxyde d'azote ou oxyde nitreux (N2O), ozone (O3) et de gaz mineurs comme l'hexachlorofluorocarbone (HCFC), le perfluorocarbures (PFC) et l'hexafluorure de soufre (SF6). Or, les concentrations des trois gaz majeurs "ont crû de façon notable du fait des activités humaines depuis 1750" (GIEC, 02/2007).
Doc. 4 : effet de serre. Doc. 5 : agriculture et gaz a effet de serre (p. 16, 22 et 36-38) Doc. 6 : Planète : comment nourrir tous les êtres humains dans le respect du climat. Une réforme agraire internationale par Xavier Compain Membre du Conseil national du PCF, en charge de l’agriculture, de la pêche et de la forêt Partout dans le monde les politiques d’austérité menacent les libertés, hypothèquent la paix et engendrent la faim, qui tue plus que le sida, le paludisme et la tuberculose réunis.
Ce que la FAO a confirmé en annonçant qu’une personne sur neuf souffre de la faim (795 millions). Toutes les dix secondes un enfant de moins de cinq ans meurt de faim. Il suffirait de 3,2 milliards de dollars pour les alimenter. Demain, il faudra nourrir plus de 9 milliards d’êtres humains dans le monde. Lors du sommet des chefs d’État du G7 à Schloss Elmau en Allemagne, la résolution s’est soldée par la reconnaissance de l’action contre la faim, sans aucun engagement financier. Le défi de civilisation que pose l’accès pour tous à une alimentation de qualité et en quantité doit conduire les institutions internationales à faire respecter ce droit des peuples. Doc. 7 : Climat : l’agriculture est la source d’un quart des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Non, l’énergie et les transports ne sont pas les seuls responsables du changement climatique.
A elle seule, l’agriculture pèse pour 24 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre. Plus gros pollueur, le méthane relâché par les ruminations de nos élevages... Si l’on vous dit « émissions de gaz à effet de serre » (GES), que répondez-vous ? Probablement combustion du pétrole, pots d’échappement, usines et autres traînées de kérosène laissées par les avions. Pourtant, un autre secteur économique, composé d’animaux ruminant paisiblement et de cultures champêtres, contribue lourdement au réchauffement de la planète : l’agriculture. L’agriculture émet deux principaux gaz à effet de serre : le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O)
. - La fermentation entérique est la principale source d’émissions de GES par le secteur agricole - L’élevage, puis les engrais Les émissions liées à l’agriculture et à l’élevage ont augmenté de 14 % entre 2001 et 2011. Qu’en est-il en France ? Doc. 8 : ALIMENTATION. Renoncer à la viande : une fausse bonne idée. Contribue-t-on à sauver la planète en devenant végétalien ou végétarien ?
Rien n’est moins sûr. Mais chacun pourrait réduire sa consommation. En tant qu’Occidental, vous avez probablement consommé près de 100 kilos de viande au cours de l’année écoulée. Ce fut presque certainement la part la plus coûteuse de votre alimentation, notamment en termes environnementaux. Les appels à la diminution de la consommation de viande pour sauver la planète ne cessent de se multiplier. Dans ce cas, ne serait-ce pas encore mieux de la supprimer totalement ? Un coût environnemental énorme D’après l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le monde a consommé environ 280 millions de tonnes de viande, 700 millions de tonnes de lait et 1,2 milliard d’œufs au cours de l’année 2008. Mais c’est le secteur de l’élevage qui cause le plus de dégâts.