Élisabeth BADINTER «Je n'étudie pas l'histoire des intellectuels, mais leurs passions» . Élisabeth Badinter publie le dernier volume de sa vaste fresque consacrée aux passions intellectuelles du XVIIIe siècle. Michel Audétat l'a interrogée sur ces philosophes du passé qui font résonner tant de préoccupations actuelles. Elisabeth Badinter nous rend le siècle des Lumières proche et aimable. Elle possède l'art de conjuguer l'histoire des idées et celle des individus., le souffle des passions et la retenue d'une écriture harmoniuse, souple et précise.
Si bien qu'on n'éprouve qu'un seul regret en terminant le troisième volume de ces : celui de voir s'achever avec lui ce prodigieux panorama d'une époque où l'intelligence philosophique brillait de ses feux. Dans la période que traite ce dernier volume, de 1762à 1778, on voit comment se nouent des liaisons entre l'intellectuel, le pouvoir et l'opinion publique.
Oui, c'est à ce moment-là que naît l'intellectuel engagé, presque un siècle et demi avant l'affaire Drevfus. Il est en effet absent de ce volume. mais pas des autres. Elizabeth Badinter : biographie de cette philosophe et femme de lettres française. Née Élisabeth Bleustein-Blanchet le 5 mars 1944 à Boulogne-Billancourt, dans les Hauts-de-Seine, Élisabeth Badinter est une philosophe et une femme de lettres française.
Fille de Marcel Bleustein Blanchet, le fondateur du groupe de communication Publicis, elle est surtout connue en tant que l'héritière de son père, détenant ainsi l'action majoritaire du groupe. Agrégée de philosophie, Élisabeth Badinter est également maître de conférence à l'École Polytechnique de Paris. Elle est aussi une auteure de renom. Son premier livre « L'amour en plus : histoire de l'amour maternel » est publié en 1980.
Mais loin d'être une actionnaire ou une femme de lettre ordinaire, Élisabeth Badinter constitue surtout un personnage controversé. S'inspirant de la philosophie du siècle des Lumières, mais aussi des idées féministes de Simone de Beauvoir, Élisabeth Badinter évoque souvent la différence qui existe entre les conditions des femmes et celles des hommes au niveau de la société. Elisabeth Badinter. Genre : Philosophie date de naissance :5 Mars 1944 Biographie Elisabeth Badinter Fille de Marcel Bleustein Blanchet, fondateur du groupe Publicis, Elisabeth Badinter assume aujourd’hui un lourd héritage paternel, puisqu’elle est l’actionnaire majoritaire du groupe.
Elisabeth Badinter est un personnage controversé : ses idées font souvent scandale. Cette agrégée de philosophie, aujourd’hui maître de conférence à l’Ecole polytechnique, est une penseuse engagée à gauche ; elle défend, comme son mari l’avocat Robert Badinter, une certaine idée de la démocratie sociale à travers ses écrits. Sa réflexion, nourrie par la philosophie des Lumières et les idées de Simone de Beauvoir, réévalue la place de la femme dans la société. Élisabeth Badinter. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Pour les articles homonymes, voir Badinter. Élisabeth Badinter Compléments Élisabeth Badinter, née Bleustein-Blanchet, le à Boulogne-Billancourt, est une femme de lettres, philosophe, féministe et femme d'affaires française. Élisabeth Badinter est surtout connue pour ses réflexions philosophiques qui interrogent le féminisme et la place des femmes dans la société, en accordant une place particulière aux droits des femmes immigrées.
Formation[modifier | modifier le code] Fortune et administration de Publicis[modifier | modifier le code] Son action militante se lie avec sa fonction de présidente du conseil de surveillance de Publicis, fondé par son père, Marcel Bleustein-Blanchet. En 2012, sa rémunération fixe pour présider le conseil de surveillance de Publicis s'élevait à 240 000 euros par an[11]. Essais et prises de position[modifier | modifier le code] Autres fonctions[modifier | modifier le code]