1 – Carte des digital humanities francophones. 2 – Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. 3 – MutEC : Mutualisation pour les éditions critiques et les corpus. 4 – ISH – Humanités numériques : images, texte, édition critique. Le numérique impacte très fortement toutes les recherches scientifiques.
Les sciences humaines et sociales (SHS) y trouvent un double intérêt. 5 – Intervention de Djamel Zighed, directeur de l'ISH. 6 – DigiMOM, la bibliothèque de la Maison de l’Orient et de la Méditerranée (MOM) 7 – Digital humanities : l'axe transversal du Ciham. 8 – L'album interactif de paléographie médiévale de l'Hisoma. Introduction La paléographie médiévale est une science à part entière, qui nécessite un long apprentissage.
Elle n'est pas que l'art de la lecture, mais comprend aussi l'histoire de l'écriture, l'analyse des formes et des contextes de l'écriture (culture matérielle, histoire sociale, ...). Cet album interactif, collection d'exercices de transcription, n'a pas pour but de remplacer une formation dans cette discipline, mais simplement de permettre aux étudiants ou amateurs désireux de se perfectionner de s'exercer de façon autonome à l'aspect pratique de la paléographie, c'est-à-dire la lecture des textes manuscrits.
Pour savoir comment utiliser ces exercices, vous pouvez consulter l'aide. 9 – Le Laboratoire Hisoma. 10 – Lancement du labo junior “Digital Humanities” à l’ENS de Lyon. Je recherche encore des candidats motivés pour participer à un labo junior “DH-Lyon” consacré au développement des Humanités numériques à l’ENS de Lyon : toutes les disciplines sont les bienvenues !
Je viens d’ouvrir un blog pour servir de base de lancement au projet. Ce blog servira d’espace de réflexions et d’échanges autour de ce projet. Toute idée, réflexion ou suggestion est elle aussi bienvenu ! Pour plus d’informations sur le labo junior, vous pouvez consulter la page du site de l’ENS consacré aux labos junior, qui définit les objectifs, les conditions à remplir, et donne une liste des labos existants ou clôturés. Cécile Armand. 11 – Faire part de naissance du labo junior “NHumérisme” Ca y est, c’est officiel : notre labo junior a été officiellement retenu par le Conseil scientifique de l’ENS au mois d’avril 2013 !
Nos activités commenceront donc tambour battant à la rentrée 2013… Le bébé a été rebaptisé depuis la première ébauche du projet : il répond désormais au doux nom de “Nhumérisme : des humanités à l’humanisme numérique”, ce qui signale une légère inflexion du projet, qui s’est affiné et affirmé depuis (pour consulter le dossier détaillé du projet, cliquer ici). Notre souci est précisément de mettre l’accent sur les valeurs, sur les enjeux éthiques, politiques et sociaux, sur la dimension culturelle voire civilisationnelle des humanités numériques, et pas simplement sur leur dimension technique voire technicienne.
Bref, notre labo junior existe désormais officiellement, à nous de lui donner vie et sens, alors… que l’aventure commence ! Imprimer ce billet Posté dans : Billets, Veille/Actualités/News, Projets/plateformes, Veille/Actualités/News. 12 – Utiliser une base de données dans un travail de recherche en histoire. 13 – Comment construire sa veille scientifique et optimiser ses méthodes de travail grâce au web 2.0. Le stage introduira méthodes et outils permettant une mise en activité des participants autour de l’élaboration d’un répertoire de pratiques « agiles » en matière de veille scientifique.
Les points suivants guideront la mise en activité : - cartographie des réseaux d’acteurs et experts dans le champ scientifique considéré,- cartographie des lieux de production (revues, colloques, etc.) du champ scientifique considéré,- maîtrise de l’univers sémantique du champ scientifique considéré (français / anglais),- étapes de la veille : collecte, traitement (dont indexation), diffusion,- articulation entre veille passive (actualités d’un domaine) et veille active (thématique plus ponctuelle),- articulation entre veille à partir de sources et veille sur des personnes expertes du champ,- modalités d’une veille répartie ou collective*,- avec des outils variés : push depuis sites web et bases de données, Yahoo Pipes, Twitter, Zotero, Mendeley, Diigo, Evernote.
14 – Traduire Barnes ensemble ! Comme je le faisais remarquer au détour d’un billet publié ici en novembre dernier, le texte considéré par beaucoup comme l’acte fondateur de l’analyse des réseaux sociaux n’est toujours pas traduit en français.
Il s’agit de l’article publié par John A. Barnes (1918-2010) dans la revue Human Relations en 1954, et intitulé « Class and Committees in a Norwegian Island Parish »[1]. 15 – Bulle(s) et ébullition(s) numériques. Conformément à ce qui avait été annoncé dans un précédent billet sur mon carnet de recherche personnel, voici un petit billet synthétique sur la place occupée par le numérique pendant le Lyon BD Festival 2013 qui s’est tenu les 14-16 juin dernier, et sur ce qu’on peut en tirer pour notre réflexion sur les relations entre bandes dessinées et numérique.
Le « numérique » était présent sur deux territoires principaux pendant le Festival de BD de Lyon : territoire de la BD dite « numérique », qui est elle-même multiforme par les formats, les usages, les usages pratiques, les « politique »s, les stratégies, les valeurs et les modèles économiques adoptés, ainsi que par la multiplicité des questions qu’elle soulèveterritoire du jeu vidéo et du pixel art …étant entendu que les frontières entre ces deux territoires sont perméables et que de multiples traversées sont possibles. Deux grandes approches de la « bande dessinée » peuvent déjà être distinguées : BD numérique (“born digital BD”)BD numérisée. 16 – Journées scientifiques MONEITHS.