Hard selling - Définition du glossaire marketing. Les consommateurs croient-ils à la publicité? A la question, « croyez-vous ce que raconte la pub?
», voilà ce que répondent les personnes interrogées: -47% répondent « parfois » -25% « en général non » -14% « la plupart du temps » -10% « oui » -3% « jamais » Si on ajoute réponses positives et négatives on obtient donc: 71% de réponses plutôt positives et 29% plutôt négatives. Une bonne nouvelle pour les annonceurs? Selon eux, voilà ce que pensent les consommateurs de la pub: -43% lui font confiance « la plupart du temps » -42% « parfois » -11% « tout le temps » -5% « en général non » -2% « jamais » Cela donne donc 95% d’opinions globalement favorables pour la publicité. Mais quelles sont les formes de publicités qui paraissent le plus crédibles pour les consommateurs? -Recommandations de proches: 9/10 -Opinions de consommateurs en ligne: 7/10 -Articles de presse: 6/10 -Sites de marques: 6/10 -Campagne de mailing: 5/10 -Pub TV: 4,5/10 -Sponsoring: 4,5/10 -Pubs dans la magazines et journaux: 4,5/10 -Pubs radio/cinéma: 4/10 -Placement de produits: 4/10.
Une publicité Nivea retirée au Royaume-Uni. L’affiche met en scène le mannequin de 62 ans, Cindy Joseph, aux côtés d’une fille plus jeune.
La plus âgée, centre d’attention de l’annonce, semble avoir utilisé la crème miracle de la marque. Avec un slogan : « réduit visiblement les rides » « aide à prévenir les tâches de vieillesse » (traduction). Problème selon l’ASA: le rajeunissement informatique censé montrer les effets du produit est exagéré par rapport aux preuves avancées par Nivea. Si la marque a admis avoir utilisé un procédé de retouche photographique, comme elle le fait généralement pour toutes ses publicités, elle a argué avoir délibérément laissé près des yeux de nombreuses rides, afin de respecter les signes de l’âge que le mannequin montrait.
La marque a également indiqué qu’elle n’avait pas fait de comparaison avant/après ni promis de réduction quantifiable des rides. C’est là tout le problème pour l’ASA, qui n’a pas à ce jour observé de preuves scientifiques suffisantes pour justifier des retouches de cette ampleur. Des techniques de vente très agressives - RTBF Au quotidien. Publicité mensongère : peine alourdie pour la Caisse d'Epargne. La peine de la banque alourdie à 100.000 euros © Maxppp C'est pour une gamme de placements, baptisée Doubl'Ô, commercialisée entre 2001 et 2002, que la Caisse d'Epargne fait l'objet de multiple procédures en France, pour "publicité mensongère".
La banque promettait dans ses plaquettes promotionnelles un doublement du capital "en toute sérénité", alors que certaines actions avaient perdu plus de 40% en six ans. Au final, les investisseurs avaient juste récupéré leur capital, amputé des frais bancaires. 266.547 souscripteurs des six produits Doubl'Ô et Doubl'Ô Monde sont concernés. Dans cette affaire, la peine de la Caisse d'Epargne vient donc d'être alourdie à 100.000 euros d'amende, par la Cour d'appel de Lyon.
En 2012, en première instance, la banque avait déjà été condamnée à 40.000 euros d'amende, infligée par le tribunal correctionnel de Saint-Étienne à la Caisse d'Épargne Loire-Drôme-Ardèche (CELDA), pour une quinzaine de dossiers.