Replay Infrarouge - Dans le secret de la violence sociale - France 2. Les papetiers de Stora-Enso sombrent dans l'indifférence après deux ans de lutte - Page 3. « Nous sommes les cobayes d'une loi inventée par la gauche » - Page 2. L'ANI, un double coup de force contre notre modèle social. « Antidémocratique et antisocial » : telles sont les caractéristiques de l'Accord national interprofessionnel, tel qu'il vient d'être transposé dans la loi, développe ici André Chassaigne , député du Puy-de-Dôme, Président du groupe GDR à l’Assemblée nationale et porte-parole des députés Front de Gauche.
Chaque législature est marquée par quelques textes phares et emblématiques, des lois qui reflètent l’orientation et l’identité politiques de l’exécutif et de sa majorité parlementaire. Incontestablement, la loi de transposition de l’Accord national interprofessionnel (ANI) relève de cette catégorie. Pourtant, son adoption définitive est actée dans un silence politico-médiatique assourdissant. Pis, cette loi ne s’inscrit pas dans la grande lignée des textes de justice sociale qui ont été adoptés par la gauche au pouvoir. Au contraire, il s’agit ici d’un texte de régression sociale, s’alignant sur les axes idéologiques de la droite libérale.
Accord Made in Medef : un recul historique des droits des travailleurs. L'Accord National Interprofessionnel du 11 janvier 2013. Le Sénat adopte la loi sur la sécurisation de l'emploi. Le Sénat a adopté dans la nuit de samedi à dimanche le projet de loi sur la sécurisation de l'emploi, déjà voté par l'Assemblée nationale, après que le gouvernement a demandé un vote bloqué pour accélérer les débats.
Ce projet de loi, qui transpose dans la législation l'accord national interprofessionnel conclu le 11 janvier par le patronat et trois centrales syndicales, a été adopté par 172 voix pour et 24 contre avant que la séance soit levée à 1h30 du matin. Les sénateurs socialistes, du Rassemblement démocratique et social européen (RDSE) et centristes ont voté pour. L'UMP et les écologistes se sont abstenus. Les sénateurs communistes en colère Les communistes ont voté contre, ainsi que la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, figure de l'aile gauche du PS. Le gouvernement peut maintenant décider de provoquer la réunion d'une commission mixte paritaire Assemblée-Sénat pour mettre au point un texte commun aux deux assemblées en vue de son adoption définitive. Hollande reste droit sur sa ligne. Déshonneur et discrédit. – 22 avril 2013Classé dans : A Gauche Sarkozy ne l’avait utilisée que trois fois.
La dernière, au Sénat, sur les retraites. Aubry déclarait alors : « Cette décision déshonore et discrédite le gouvernement et le Président ». Pour renforcer les droits des salariés : Le NON socialiste au Medef. À l’initiative d’élus et de responsables socialistes de Seine-Maritime, l’appel ci-dessous a été lancé.
Thierry Lepaon : "C'est un accord donnant-perdant" Des milliers de manifestants, dont Thierry Lepaon (CGT) et Jean-Claude Mailly (FO), sont partis mardi en début d'après-midi de Montparnasse vers l'Assemblée nationale, où le projet de loi sur l'emploi, rejeté par ces syndicats, devait être adopté en fin d'après-midi avant d'être réexaminé au Sénat.
"Ce n'est pas du tout un accord donnant-donnant, comme le dit Michel Sapin mais un accord donnant-perdant", a lancé au départ du cortège Thierry Lepaon, secrétaire général de la CGT. Selon lui, "on voit bien l'intérêt que peuvent avoir les employeurs à avoir plus de flexibilité et de mobilité. Par contre pour les employés, ils ont du mal à nous convaincre que ça permettra de répondre à l'objectif fixé qui est la création d'emplois dans notre pays". De son côté, Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force ouvrière, a affirmé: "Je veux que les députés sachent qu'il y en a qui ne sont pas d'accord avec eux.
Analyse du scrutin n°481 - Première séance du 09/04/2013. Accueil > Travaux en séance > Liste des scrutins Scrutin public sur l'ensemble du projet de loi relatif à la sécurisation de l'emploi (première lecture).
Navigation. SÉCURISATION DE L'EMPLOI(no 847) - Amendement no 4126. Le licenciement automatique bientôt inscrit dans la loi ? - Régression sociale. L’accord national interprofessionnel, conclu le 11 janvier, cela vous dit quelque chose ?
Signé par le Medef et trois organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC), il est censé apporter « plus de souplesse pour les entreprises et plus de protection pour les salariés ». Ses dispositions doivent désormais être inscrites dans la loi. Il a été qualifié de compromis « historique » dans plusieurs médias. S’il est retranscrit tel quel par les parlementaires, cet accord pourra effectivement être qualifié d’ « historique ».
Historique, dans le sens où il marquera une régression sociale jamais égalée depuis un demi-siècle. Jusqu’à présent, pour vous licencier, un employeur doit justifier d’une « cause réelle et sérieuse ». Si l’entreprise procède à plus de dix licenciements économiques, elle doit mettre en œuvre un « Plan de sauvegarde de l’emploi » (PSE). Licenciement automatique. 28 février : NON à l'accord «compétitivité-emploi» Le collectif unitaire à l’origine de l’appel contre l’accord "compétitivité-emploi" organisera une réunion publique le 28 février 2013, à La Bellevilloise , à Paris, avant la journée d’action du 5 mars 2013 décidée par les syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires.
Associations, syndicats, partis politiques et citoyen-ne-s, nous lançons un appel afin que l’accord national interprofessionnel (ANI) signé le 11 janvier 2013 par le patronat et trois syndicats ne soit pas transcrit dans la loi. Cet accord illégitime constitue, en effet, un recul social majeur, qui ne fera qu’aggraver la précarité du travail.
Nous appelons chacun-e à s’en emparer et à s’engager pour qu’il n’acquière pas force de loi. L’appel a été rendu public le 19 février 2013 lors d’une conférence tenue symboliquement devant l’hôtel de Crillon, à Paris. Texte de l’appel : Un ANI qui nous veut du mal ! Enfin cet accord est illégitime. Signez l'appel : non à l'accord «compétitivité-emploi» ! A signer et faire circuler largement, et tous à la manif le 9 avril !
(Pour plus d’information sur l’accord, consultez ici les vidéos de Gérard Filoche ) Si vous ne voyez pas le formulaire permettant de signer la pétition, cliquez ici . Revivez la mobilisation contre l'accord sur l'emploi qui a réuni 9.000 personnes à Paris, selon la préfecture. 18h00: Fin du live et faible mobilisation.
Merci de nous avoir suivis. 17h11: 9.000 personnes ont défilé à Paris cet après-midi, selon la préfecture de police de la capitale qui a répondu à 20 Minutes. 17h05: Le Front de Gauche a encore et toujours la parole. Un mot d'ordre: résistance absolue. La manif ! A lire sur Acrimed (www.acrimed.org/) l’interview de 3 syndicalistes par Jean-Pierre Elkabbach - à savoir Jean-Pierre Mercier (délégué CGT de PSA Aulnay), Mickaël Wamen, de la CGT de Goodyear et, au téléphone, Édouard Martin (CFDT Arcelor Mittal)- on est content qu’un site comme luttopiste existe pour contrebalancer un peu le point de vue de Jean-Pierre Elkabbach. Pour celles et ceux qui ne peuvent pas accéder au site d’acrimed (indisponible pour cause de maintenance ce samedi 9 mars) l’interview est accessible ici : Mépris de classe ou non, à chacun de juger, mais cette interview bien illustre ce que dit gilles Balbastre ? V=oCAHsAQwz9g (extrait à 48’29) "...Il faut imposer des rapports de force, il faut arrêter d’être bisounours.
Il faut remmettre en question les médias, même peut-être de nouveau les attaquer sur les plateaux en disant "Qui tu es toi pour dire ça ? " Le site de Luttopiste ? 13 raisons de se mobiliser contre l'accord MEDEF sur l'emploi. Le 14 mars, Gérard Filoche, ancien inspecteur du travail, était à Argelès-sur-Mer pour décrypter l’accord passé entre le MEDEF et la CFDT, la CFTC et la CGC sur l’emploi (ANI ou accord national interprofessionnel).
Voici un petit découpage par thème de cette intervention. (Vidéo (c) Banyulsinfo mars 2013, contact : banyulsinfo@gmx.fr) « La liberté de penser s’arrête là où commence le droit du travail » Accord sur l'insécurisation de l'emploi : Pourquoi les «socialistes» sont-ils si pressés ? Jeudi, 14 Mars 2013 14:08 Après avoir prié les «partenaires sociaux» d'adopter un texte avant avril 2013 (vous allez comprendre pourquoi…), le gouvernement veut faire en sorte de raccourcir les débats parlementaires. Mais l'affaire n'est pas encore pliée. «Je me suis engagé depuis plusieurs semaines auprès de tous les partenaires sociaux à faire en sorte que, s’il y a accord, nous le retranscrivions de façon précise, fidèle, loyale, dans la loi» : ainsi s’exprimait Bruno Le Roux, président du groupe socialiste à l’Assemblée, le lundi 14 janvier à propos de l’accord national interprofessionnel (ANI) concocté par le Medef.
La logique néfaste de l'accord national interprofessionnel sur l'emploi (ANI) Jump to navigation L'Humanité.fr , c'est aussi La Fete de L'Humanité Formulaire de recherche Mes journaux. Le 1er mai, ça va pas être la fête des travailleurs ! Pendant des mois on n’a vu et entendu qu’eux : les réacs bas du front qui luttent, non pas POUR quelque chose, mais CONTRE la liberté et l’égalité de certains. Au final et au bout de cinq mois de n’importe quoi, la loi du mariage pour tous a été votée.
Dans le même temps, l’accord national interprofessionnel (ANI) sur l’emploi a été signé par le patronat et les organisations syndicales (CFDT, CFE-CGC, CFTC soi-disant représentatifs…) le 11 janvier, débattu puis adopté par l’Assemblée nationale le 9 avril et passé en force par un vote bloqué le 20 avril au Sénat. L’ANI marque un recul historique des droits des travailleurs ; je te parle même pas des autres, ceux qui n’en ont pas, du travail. Cet accord qui n’est en fait qu’une liste d’exigences imposées par le MEDEF, va faciliter les licenciements et permettre au patronat de baisser les salaires et d’augmenter le temps de travail selon son bon vouloir.
Vous avez dit « sécurisation » ? Retour sur un accord social déséquilibré. Anidecryptage.pdf. La loi sur l'emploi divise la gauche en profondeur - Page 3. ANI: des socialistes et écologistes contre la destruction du Code du travail (vidéo) ANI : un plancher pour les temps partiel ? Accord emploi: la pétition du non-socialiste fait boule de neige contre l'ANI. Lancée par des élus et responsables socialistes locaux, la pétition contre l'Accord national interprofessionnel sur la réforme du travail atteint ce mercredi plus de 1200 signatures.
Ce nombre qui augmente de jour en jour en bas de la pétition ne passe pas inaperçu, à une semaine de l'ouverture à l'Assemblée nationale de la discussion du projet de loi de transcription de l'ANI sur l'emploi. Le Parti socialiste n'est donc pas comme un seul homme derrière ce texte législatif en préparation qui entérinerait de nombreuses régressions dans le droit de travail pour les salariés. "Des marges de manoeuvre existent" Sans surprise, les noms de Marie-Noëlle Lienemann, Emmanuel Maurel, Gérard Filoche, Marianne Louis, Jérôme Guedj, Julien Dray, Jean-François Thomas, Anne Ferreira et, Jonathan Munoz, tous membres du bureau national du PS, se trouvent parmi les signataires de l'appel initié par les socialistes de Seine-Maritime.